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Le blog de Merlin...

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Des salles secrètes et inconnues dans le tombeau de Toutankhamon…?

Publié par MERLIN sur 28 Août 2015, 17:45pm

Catégories : #Découvertes Scientifiques...

Des salles secrètes et inconnues dans le tombeau de Toutankhamon…?

Mais où dort donc Néfertiti ?

On a longtemps cherché la reine légendaire. Un archéologue britannique croit l’avoir trouvée dans une chambre jouxtant le tombeau de Toutankhamon. Mais ses confrères sont sceptiques…

Sa théorie fait frémir d’excitation le monde de l’égyptologie. Et avec elle, Carl Nicholas Reeves, spécialiste britannique des souverains de la XVIIIe dynastie, pourrait bien faire la lumière sur un chapitre entier de l’histoire de l’Egypte antique.

Selon ses récentes observations, deux portes scellées se cacheraient dans la chambre funéraire du pharaon Toutankhamon, mise au jour en 1922 par l’archéologue Howard Carter dans la vallée des Rois, près de Louxor, en Egypte. Si l’existence de deux pièces encore inexplorées est déjà une hypothèse audacieuse, Reeves va encore plus loin.

Ces salles inconnues, situées derrière les décors peints de la chambre principale, renfermeraient la momie et les trésors funéraires de la légendaire Néfertiti, épouse du pharaon Akhenaton, lui-même père de Toutankhamon.

Des salles secrètes et inconnues dans le tombeau de Toutankhamon…?
Des salles secrètes et inconnues dans le tombeau de Toutankhamon…?

Plan du tombeau : (1) Chambre du trésor, (2) Chambre funéraire, (3) troisième porte, (4) Antichambre, (5) Annexe, (6) quatrième porte, (7) deuxième porte, (8) Corridor, (9) première porte, (10) Escaliers, (A) Mur de plâtre scellé, (B) Mur de briques, (C) Niche destinée à une figurine protectrice.

 

Néfertiti reste l’une des figures les plus mystérieuses de l’Egypte antique.

Largement représentée dans la statuaire ou sur les bas-reliefs, elle reste pourtant l’une des figures les plus mystérieuses de l’Egypte antique. Où est-elle enterrée ? Qui fut-elle vraiment ? A-t-elle régné à la mort de son époux le temps que Toutankhamon soit en âge de gouverner ? Si sa tombe se cache bel et bien derrière ces murs, elle pourrait définitivement apporter les réponses à toutes ces questions.

Des tracés invisibles à l’œil nu…

Carl Nicholas Reeves a étudié minutieusement les relevés photographiques en haute définition du tombeau, effectués initialement pour la réalisation d’une réplique à l’identique ouverte au public. L’égyptologue britannique y a décelé ce qu’il n’aurait pu voir à l’œil nu : des fissures et des tracés rectilignes sous les peintures, laissant entrevoir de potentielles ouvertures.

Dans le monde de l’archéologie, les réactions sont plutôt enthousiastes. « C’est un argument fascinant », a déclaré l’égyptologue américain Kent Weeks, à l’origine d’une cartographie souterraine de la vallée des Rois.

Le professeur Marc Gabolde, spécialiste français de la période amarnienne – soit celle concernant Akhenaton et sa descendance – se montre, lui, un peu plus réservé : « La présence de pièces supplémentaires jusque-là ignorées est tout à fait probable. Mais celle de la reine Néfertiti à l’intérieur de celles-ci l’est beaucoup moins. »

Pour Marc Gabolde, certains arguments apportés par Carl Nicholas Reeves pour en arriver à de telles conclusions peuvent être remis en question. On sait par exemple que la plupart des chambres funéraires construites à cette période possédaient quatre annexes. « Reeves s’appuie sur cette généralité pour affirmer qu’il en existe forcément deux autres dans le tombeau de Toutankhamon.

Mais on sait aussi que plusieurs pharaons, morts prématurément comme le jeune monarque, n’ont eu droit qu’à deux annexes faute de temps pour les travaux », explique-t-il. Autre point de désaccord : pour l’égyptologue français, la momie de Néfertiti aurait déjà été découverte et ne serait autre que celle baptisée génériquement « Younger Lady », aujourd’hui conservée au Musée égyptien du Caire.

L’hypothèse Mérytaton, fille d’Akhenaton…

« On a longtemps dit que cette momie, dont on sait avec certitude qu’elle est la mère de Toutankhamon, était la sœur du pharaon Akhenaton. Je pense qu’elle était en réalité l’une de ses cousines, et par ailleurs son épouse. La reine Néfertiti, donc. » Sur cette question pourtant, les avis des experts divergent encore énormément.

Mais si ces deux pièces existent vraiment, qui d’autre que Néfertiti pourrait y reposer ? « Peut-être Mérytaton, fille aînée du couple Akhenaton-Néfertiti, qui aurait régné avant son frère Toutankhamon », suggère Marc Gabolde.

Quoi qu’il en soit, si les autorités égyptiennes accordent à Reeves l’autorisation de fouilles qu’il a demandée, les techniques actuelles permettront de vérifier rapidement et sans dommages la véracité, ou non, de ces présomptions prometteuses. En attendant, Carl Nicholas Reeves assume : « Si je me trompe, je me trompe. Mais si j’ai raison, cette découverte pourrait être la plus grande jamais faite ! »

Source : Le Monde.fr / Par Marine Benoit

Retour sur la découverte du tombeau de Toutankhamon…

Le tombeau de Toutânkhamon (KV621) est un hypogée (une tombe creusée dans le sol à flan de colline).

Découvert  le 4 novembre 1922 dans la vallée des rois sur la rive ouest du Nil face à Louxor par Howard Carter, égyptologue anglais qui avait été chargé d'effectuer ces fouilles par Lord Carnarvon. Il est célèbre pour son trésor et la malédiction qui aurait poursuivi tous les étrangers ayant violé sa tombe.

Des salles secrètes et inconnues dans le tombeau de Toutankhamon…?

La découverte :

En 1902, l'Américain Theodore Monroe Davis obtient la concession de fouilles dans la vallée des rois. Pendant une douzaine d’années, il découvre une trentaine de sépultures d’importances diverses. Mais quand il cède sa concession à Lord Carnarvon au tout début de 1915, il est persuadé que « la vallée des Tombes est désormais épuisée ».

À partir de l'automne 1917, Howard Carter reprend le travail de fouille avec l’unique objectif de trouver enfin la tombe de Toutânkhamon. Les résultats sont cependant peu encourageants et après la décevante campagne de 1921-1922, Lord Carnarvon est sur le point d’abandonner à son tour. C’est l’opiniâtreté de Carter qui seule parvient à le convaincre d’entreprendre une ultime campagne de fouilles en automne 1922. Il s'attaque aux huttes d'ouvriers construites sur 2 m d'épaisseur de déblais.

Le mercredi 1er novembre 1922, le travail de fouille commence. Le 4 novembre, un porteur d'eau découvre la première marche d'un escalier qui s'enfonce dans le sol. Le lendemain, douze marches sont dégagées, laissant apparaître le haut d'une porte dont les sceaux sont estompés et peu lisibles. Le 6 novembre, Carter envoie un télégramme crypté à Lord Carnarvon alors en Angleterre : « Avons enfin fait une découverte extraordinaire dans la vallée : une tombe somptueuse dont les sceaux sont intacts ; l'avons refermée jusqu'à votre arrivée ; félicitations ».

Carnarvon arrive à Louxor le 23 novembre 1922, accompagné de sa fille Evelyn Herbert.

Le 24 novembre, les fouilles reprennent : la totalité de la rampe d'escaliers est rapidement dégagée et les sceaux apparaissent très lisiblement sur le bas de la porte scellée et muée à la chaux : il s'agit bien de la tombe de Toutânkhamon. Malheureusement, des traces de maçonnerie sur la partie supérieure gauche de la porte laissent penser que la tombe a été « visitée » dès l'Antiquité.

Le 25, la première porte murée est ouverte et le couloir sur lequel elle donne porte bien les traces d'un tunnel creusé par les pillards. Le dimanche 26 novembre, le couloir est dégagé. Une deuxième porte scellée (avec le sceau de la nécropole « le chacal couché et les neuf prisonniers ») est percée à la barre de fer. Carter est le premier à jeter un œil dans « l'antichambre » :

    « Lentement la scène devenait plus nette et nous parvînmes à distinguer quelques objets. Tout d'abord, juste en face de nous - nous le savions mais refusions d'y croire - se trouvaient trois imposants lits funéraires, dorés aux côtés sculptés en forme d'animaux monstrueux dont le corps était curieusement stylisé dans un but utilitaire, mais dont les têtes faisaient preuve d'un réalisme stupéfiant. En toute circonstance, ces figures auraient paru étranges, mais vues comme nous les vîmes, tandis que nos lampes électriques tels les feux de la rampe arrachaient aux ténèbres leur surface dorée et que leurs têtes projetaient sur le mur derrière elles des ombres fantastiques, distordues, ces créatures devenaient presque terrifiantes. Puis à droite, deux statues attirèrent notre attention ; deux statues de roi, noires, grandeur nature, en vis-à-vis telles deux sentinelles, pagnes et sandales d'or, armées d'une massue et d'une canne, le front orné du cobra sacré protecteur... »

— Howard Carter.

Des salles secrètes et inconnues dans le tombeau de Toutankhamon…?

Le 28, un passage est creusé dans la porte qui ferme la « chambre funéraire » puis celui-ci est rebouché : l'ouverture officielle de la porte n'a lieu que le 17 février 1923. Carter décide de révéler officiellement la découverte le 29 novembre, mais le moment est assez mal choisi : depuis la proclamation unilatérale d'indépendance de mars 1922 par le roi Fouad Ier, la situation politique est tendue et les autorités britanniques en Égypte sont confrontées à une vague de meurtres de leurs ressortissants.

La cérémonie se déroule donc en petit comité, mais Carter a eu la présence d'esprit de joindre à l'invitation d'Arthur Merton, le représentant de The Times, un petit résumé sur Toutânkhamon et la XVIIIe dynastie : le 30 novembre, le journal londonien consacre deux pleines pages à l'événement. Même le célèbre égyptologue Flinders Petrie, sollicité par The Times, se fend d'un commentaire élogieux.

Dans les jours qui suivent, l'agence Reuters et les journalistes égyptiens transmettent leur propre version de la découverte. La nouvelle se répand dans le monde. Aussitôt, des visiteurs de plus en plus nombreux affluent à Louxor et veulent visiter le déjà fameux tombeau : dès le 6 décembre, Carter profite d'un déplacement au Caire pour acquérir du matériel technique et photographique et pour commander une porte en fer pour fermer la tombe.

Cette popularité va pourtant servir l'égyptologue : de nombreuses institutions scientifiques se proposent spontanément pour l'aider à exploiter la découverte, à commencer par le Metropolitan Museum of Art de New York.

Rapidement, Carnarvon et Carter comprennent qu'ils ne parviendront pas seuls à exploiter la découverte et qu'ils ont besoin du support d'une équipe renforcée, laquelle se constitue progressivement de plusieurs chercheurs et spécialistes, qui souvent proposent spontanément leur assistance : le chimiste Alfred Lucas, l'égyptologue Arthur Cruttenden Mace, James Henry Breasted, les architectes Walter Hauser et Lindsay Hall, le philologue britannique Alan Gardiner, le photographe Harry Burton, Arthur Callender, l'égyptologue Percy Newberry…

Le dégagement total de la tombe demande dix ans, délai qui exaspérait la presse ; celui de l'antichambre commence le 27 décembre 1922. Carter procède avec beaucoup de minutie et manière systématique : numérotation de tous les objets découverts, photographies nombreuses, croquis, relevés, descriptions, etc. Les tombes avoisinantes servent d'abri, de studio photographique ou d'atelier de restauration. Les pièces dégagées sont envoyées au Caire par bateau ou par train.

Des salles secrètes et inconnues dans le tombeau de Toutankhamon…?

Au total dans toute la sépulture on dénombre 2 099 pièces.

 

L'entrée de la tombe : Seize marches descendent vers la porte d'entrée de la tombe.

De là, un corridor conduit à une porte fermant l'entrée de la première pièce, appelée « antichambre » L'antichambre, dont les murs blanchis à la chaux sont nus et sans décorations, contenait plus de 700 pièces entassées pêle-mêle.

Sur le mur de droite, des traces de creusement abandonné indiquent que cette pièce aurait dû être plus grande d'environ deux mètres vers le nord. Sur le mur du fond à gauche, une petite porte surmontée de traits noirs délimitant l'ouverture qu'elle aurait dû avoir, permet d'accéder à une autre chambre.

Appelée « annexe » par Carter, qui constate qu'il y a des traits rouges sur les murs et qu'elle est en contrebas de 90 cm de l'antichambre. Elle contenait, en désordre, des paniers, des jarres de vin, de la vaisselle en calcite, des maquettes de bateaux et des ouchebtis. (statuette funéraire).

Des salles secrètes et inconnues dans le tombeau de Toutankhamon…?

Le sceau de la deuxième porte encore intact, juste avant d'être brisé, en 1922. Il n'avait pas été touché pendant 3245 ans.

Au fond du mur droit de l'antichambre, une porte dont des traits délimitent également l'ouverture projetée donne accès à la chambre funéraire (6,3 x 4 m). Son sol est en contrebas d'environ un mètre et ses murs sont enduits de plâtre peint en jaune. Cette chambre contenait 300 objets en plus du tombeau situé au centre de la pièce. Seule cette chambre est décorée ; les scènes ne sont pas dans le style traditionnel du décor des tombes. Hâtivement peintes, elles représentent le livre des morts décrivant le voyage de la mort à la résurrection divine.

Une autre petite chambre, appelée « chambre du trésor » par Carter, contenait environ 500 objets, dont vingt maquettes de bateaux, 176 ouchebtis, de nombreuses statues, une statue d'Anubis, le dieu au corps de chacal, deux momies de fœtus (les filles de Toutânkhamon mortes avant terme) et un coffre-chapelle aux canopes.

 

Passons à présent aux décès ‘’suspects’’ pour la plupart…qui ne serait qu’une légende contemporaine pour les esprits retors !

Des salles secrètes et inconnues dans le tombeau de Toutankhamon…?

Lord Carnavon... Collectionneur d'antiquités, subventionna les fouilles entreprises par Howard Carter.

 

En cette nuit du 4 au 5 avril 1923 un homme de 57 ans agonise dans une chambre de l'hôtel Continental au Caire. Soudain, le moribond se dresse à demi sur son lit. Il crie - C'est fini, j'ai entendu l'appel et je me prépare -. Presque au même moment, la lumière s'éteint dans la chambre. Affolée, l'infirmière qui veille le malade se précipite dans le couloir: tout est sombre là aussi. Le hall de l'hôtel n'est plus qu'un trou noir. Quand la jeune femme, ayant réussi à trouver une bougie, revient dans la chambre après dix minutes d'absence, elle constate que ses soins sont désormais inutiles.

L'homme qui vient de mourir dans cette atmosphère digne d'un conte d'Edgar Poe se nomme Lord Carnavon…

Pour un esprit imperméable à toute superstition, les causes du décès paraissent fort claires. Une piqûre de moustique qui s'infecte, on voit cela presque tous les jours en Egypte. Une congestion pulmonaire chez un homme approchant de la soixantaine et qui souffre depuis vingt ans de difficultés respiratoires, quoi d'étonnant, quoi de plus normal peut-on même dire ?

Et pourtant la mort de lord Carnavon va donner naissance à une débauche d'hypothèses toutes plus terrifiantes les unes que les autres, de caractère tantôt médical, tantôt religieux, ou purement fantastique. Tout cela, évidemment, sous le signe de la malédiction des pharaons.

Six mois après la mort de Lord Carnavon son jeune frère. le colonel Aubrey Herbert, mourut. Très peu de temps après, l'infirmière mourait aussi. Etait-ce véritablement le hasard ?

Ensuite décéda le secrétaire de Carter, Richard Bethell, fils unique de lord Westbury. Trois mois plus tard son père le suivit. Ces deux morts sont parfaitement explicables pour les médecins. Bethell meurt de tuberculose, un mal dont on ne réchappe pas souvent à cette époque. Lord Westbury  se suicide.

Quelques jours après, arrivait à Louqsor le professeur La Fleur, ami intime de Carter. Il ne put assister aux travaux que quelques semaines car, ensuite, il mourut d'une maladie mystérieuse, trois mois après la mort de son fils.

Le cas suivant fut celui du savant Arthur Mace, proche collaborateur de Carter. Lorsqu'il eut percé le mur qui le séparait de la chambre mortuaire, ses forces l'abandonnèrent, il dut s'aliter et mourut.

Célèbre archéologue, le docteur Evelyne White était lui aussi, un des collaborateurs les plus zélés de Carter. Impatient, il fut parmi les premiers dans la chambre mortuaire. En sortant, il ressentit un malaise et depuis ce jour, souffrit d'une dépression nerveuse. Au grand désespoir de sa famille, quelques jours après il se pendait ! Dans sa lettre d'adieu, il écrivait ‘’ J'ai succombé à une malédiction qui m'a forcé à disparaître. ‘’

Avant de remettre la momie au musée du Caire un savant du gouvernement égyptien, Archibald Douglas Reed, reçut l'ordre de la radiographier, pour savoir s'il y avait des corps étrangers à l'intérieur de la dépouille mortelle. Reed, intéressé par cette tâche, se mit à l'œuvre. Dès le lendemain, il eut un malaise. Bien qu'il fût d'une constitution extrêmement saine, il succomba quelques jours après.

Le professeur Douglas Derry mourut aussi après avoir été en contact direct avec la momie. Le savant Garriès Davis, qui avait trouvé un gobelet portant le nom de Toutankhamon, découverte qui fut à la base de toutes ses recherches, mourut également dans des circonstances mystérieuses.

Il y eut 17 savants, Lady Carnavon, et en tout 27 personnes qui y laissèrent leur vie.

Sauf celui qui a découvert le tombeau, le docteur Howard Carter (dessous). Il vécut de longues années encore en excellente santé et mourut en 1939 de mort naturelle…

Des salles secrètes et inconnues dans le tombeau de Toutankhamon…?

Sources et pleins d’autres infos/photos/explications : Histoire en questions / Wikipédia

Pour les hypothèses, je vous laisse en juger…

Aller: 77 secondes pour y réfléchir !

Comme toujours c'est à vous de juger...

 

 

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C
Ils attendent quoi pour faire des fouilles ?
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O
Un passage au radar géologique et on sait !
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M
Il faut simplement des autorisations... et c'est le plus difficile à obtenir !
Q
Seul le dieu protecteur humain Egyptien et chef de la "nasa Egyptien", Zahi Hawass pourrait nous en dire plus.
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A
nefertiti devais être d une grande beauté par en jugé, de sont buste
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M
Oui apparemment elle était très belle, mais un doute subsiste sur la réalité de ce buste : buste de néfertiti : vrai ou faux, enquête ! voir ici par exemple : http://www.pharaon-magazine.fr/actualites/actualite/buste-de-nefertiti-vrai-ou-faux-enquete