De nombreux sites mégalithiques à travers le monde témoignent de l’existence d’une civilisation avancée qui était florissante avant qu’un immense cataclysme ne mette un terme à l’ère du Pléistocène, il y a environ 12000 ans.
L’acropole de Baalbek...
C’est le célèbre Trilithon, trois pierres gigantesques incorporées à la base de la plate-forme, qui retient toute notre attention. Selon Sir Mortimer Wheeler, il s’agit
« des plus grosses pierres taillées du monde »
(Ragette, 1980). Chacune d’elles mesure près de 20 mètres de long, 3 mètres 50 de large et plus de 4 mètres de haut, et pèse entre 800 et 1000 tonnes. Une quatrième pierre, la plus grosse pierre taillée du monde, mesurant près de 21 mètres de long et pesant entre 1000 et 1200 tonnes, se trouve toujours dans la carrière à plus de 800 mètres de là (Mitchell, 1969).
La pierre de la femme enceinte…
Les dimensions du bloc de calcaire sont :
longueur : de 20,31 à 20,76 m - largeur à la base : 4 m - largeur au sommet : de 4,14 à 5,29 m -
hauteur : de 4,21 à 4,32 m - densité : de 2,6 à 2,8
Elle pèse environ 1 000 tonnes.
La pierre de la femme enceinte ou pierre du Sud, (en arabe : Hadjar el Hibla) située sur le site de Baalbek (anciennement Héliopolis) au Liban est, tout comme un bloc ancien à proximité, parmi les plus longs monolithes jamais taillés et transportés par l'humain.
Ci-dessous : Modélisme comparatif à propos de la pierre de la femme enceinte : nombre de grues nécessaires à sa levée !
Ci-dessous, le
n autre monolithe découvert dans les années 1990 et pesant ...1 242 tonnes !.
Ces pierres massives ont été découpées du soubassement rocheux, transportées sur 800 mètres jusqu’à « l’acropole » au sommet de la colline et mises en place quatre rangs au- dessus du niveau du sol par-dessus d’autres pierres dans la plate-forme en construction. Le rang situé juste sous le trilithon contient au moins 24 pierres, mesurant chacune entre 9 et 10 mètres de long et pesant jusqu’à 450 tonnes.
Comment ces pierres gigantesques ont-elles été apportées de la carrière et positionnées de façon si parfaite ?
La colline sur laquelle l’acropole a été construite descend en pente de tous les côtés, on se demande donc comment des grues ou autres systèmes de levage auraient pu être placés. Il n’y a aucune trace de rampes ayant pu mener à l’acropole.
Cette plate-forme a-t-elle été construite par les Romains, comme le croient certains archéologues, ou était-elle déjà là lorsqu’ils sont arrivés ?
Si elle ne remonte pas aux Romains, de quand date-t-elle ?
Fait encore plus déroutant, la partie mégalithique de ces ruines n’a jamais été terminée (Ragette, 1980). Qu’est-ce qui a stoppé la construction ? Les bâtisseurs ont-ils été interrompus par un terrible cataclysme ? Si les Romains ont vraiment construit la plate-forme, pourquoi n’ont-ils pas aussi déplacé le monolithe qui se trouve encore dans la carrière ? Et s’ils ont « fini » le projet en édifiant les magnifiques temples, pourquoi auraient-ils fait l’effort de détacher cet énorme monolithe pour finalement ne pas l’utiliser ?
Malgré ce qu’ont indiqué certaines «autorités», la plate-forme a des milliers d’années de plus que le temple romain bâti dessus, si l’on en croit les signes d’érosion visibles sur les surfaces, totalement absents des ruines du temple au-dessus.
Une base mégalitique anachronique...
Les premiers archéologues croyaient dur comme fer que la plate-forme était bien plus ancienne que le temple romain édifié dessus. Louis Félicien de Saukey, un archéologue français qui a visité Baalbek en 1851, pensait qu’elle datait de l’époque préromaine. Même le célèbre expert Ernest Renan (qui avait l’intention de prouver que le complexe entier était romain) s’est rallié à l’opinion de ses prédécesseurs après avoir examiné les ruines.
Renan a clairement considéré l’érosion comme un facteur décisif, mais il n’a pas réussi à trouver « de lien inhérent » entre le temple romain et sa base mégalithique (Ragette, 1980). Ses investigations personnelles ont entraîné un revirement total d’attitude vis-à-vis de la partie mégalithique de ces ruines.
Les archéologues « modernes » ont du mal à concevoir que des peuples ayant vécu des milliers d’années avant les Romains aient su manipuler des pierres aussi massives, ils s’appuient donc sur des données archéologiques peu solides pour se convaincre que tout est romain.
Une perfection jamais égalée …
Le lien entre la Grande pyramide et l’Atlantide dépend de la date de sa construction. Puisque c’est la plus parfaite, et puisque l’Égypte est littéralement jonchée de pyramides moins parfaites, nous supposons, avec notre approche « progressiste », que les plus imparfaites étaient des ébauches expérimentales et que les mieux construites étaient les dernières. Le contraire est plus probable.
Ayant un exemple quasi parfait devant eux, les Égyptiens auraient pu essayer d’imiter ce qu’une civilisation évoluée avait déjà accompli, et les exemples mal construits disséminés dans toute l’Égypte peuvent être le résultat de leurs futiles tentatives de copier cette technologie avancée.
Les non-professionnels savent rarement que bon nombre de pyramides d’Égypte ont été construites après la Grande pyramide; en fait, la construction des pyramides a continué pendant plusieurs siècles par la suite. Le fait est pourtant qu’elles sont toutes inférieures tant en taille qu’en qualité à celle de Gizeh.
Pourquoi, après avoir surmonté tous les problèmes techniques rencontrés, les Égyptiens seraient-ils revenus à des méthodes aussi mauvaises ?
Ce fait en soi étaye la théorie selon laquelle les Égyptiens n’ont jamais atteint le niveau d’expertise requis pour construire la Grande pyramide et que, malgré tous leurs efforts, ils n’ont pas réussi !
Quelles autres preuves pourraient indiquer que la datation acceptée des pyramides de Gizeh est peut-être mauvaise ?
Joseph Jochmans propose l’observation suivante. Retraçant la succession communément admise de Khufu, Khafre et Menkhare (tous pharaons de la quatrième dynastie), il souligne que les tailles relatives des pyramides démentent l’ordre de construction accepté.
Les égyptologues nous disent que la première pyramide du groupe de Gizeh a été construite par Khufu. Si le point de vue « progressiste » a une quelconque validité, Khafre, qui lui a succédé, n’aurait-il pas dû bâtir une pyramide plus grande et plus belle que son prédécesseur ?
Faire autrement aurait sérieusement mis en péril son statut de pharaon. Pourtant, la deuxième pyramide est nettement plus petite que la Grande pyramide. Et Menkhare, le pharaon qui allait régner ensuite, n’aurait-il pas dû faire encore mieux que ses deux prédécesseurs ? Or la sienne est de loin la plus petite des trois, celle attribuée à Khufu étant la plus grande.
Bien qu’elle soit manifestement contraire à la nature humaine, on nous demande de croire à la chronologie admise comme s’il s’agissait d’un fait établi.
Tout comme 10 500 avant J.-C. s’est révélée être la date la plus probable de la sculpture du Sphinx, il s’avère comme par magie que l’orientation des coursives de la Grande pyramide renvoie à la même date (Bauval, 1994). Cette date a été déterminée à l’aide d’ordinateurs ultramodernes pouvant littéralement « remonter le temps » et nous indiquer où se trouvaient ces constellations dans le ciel à une date donnée, Il s’avère que cela correspond à l’ère de l’Atlantide.
Tiahuanaco …
Tiahuanaco (ou Tiwanaku) a été appelée « la Baalbek du Nouveau monde ». C’est une ville préhistorique en ruine, apparemment un port (Posnansky, 1945), située dans les Andes boliviennes à plus de 30 kilomètres du Lac Titicaca, à 3800 mètres au-dessus du niveau de la mer !
Pourquoi construire un port maritime à plus de trois mille mètres au-dessus du niveau de la mer ? Plusieurs théories s’affrontent, parmi lesquelles une sera mentionnée ici.
La zone portuaire de Tiahuanaco (jadis supposée être une ruine séparée) est connue sous le nom de Puma Punku (« Port du Puma »). Dans cette zone, près des traces d’anciens rivages, d’énormes blocs de pierre semblent disséminés ici et là tels des allumettes, si ce n’est qu’ils pèsent entre 100 et 150 tonnes. L’un d’eux pèserait jusqu’à 440 tonnes !
Les géologues ont déterminé que certains des blocs ont été apportés de carrières situées à 385 kilomètres (Hemming 1979). On se demande, évidemment, comment de tels blocs ont été extraits sans outils métalliques, transportés jusqu’au chantier et assemblés pour former les quais et jetées qui existaient jadis.
Mais encore plus étonnant : comment se sont-ils retrouvés dans un tel désordre ? Un terrible cataclysme géologique aurait-il renversé et éparpillé ces gigantesques monolithes ?
Il y a ensuite le centre cérémonial avec ses pyramides, ses temples, ses idoles en pierre et la Puerto del Sol (« Porte du Soleil ») de dix tonnes. À l’origine, ce grand monolithe a été trouvé cassé au milieu et presque entièrement recouvert de boue solidifiée.
Sculpté dans un seul bloc d’andésite, il mesure près de 3 mètres de haut et plus de 3 mètres 50 de large (Mason, 1968). De superbes dessins imbriqués sont gravés dans sa partie supérieure, notamment divers symboles, condors, toxodons et éléphants, avec au centre une figure humaine dont on a pensé qu’elle représentait le Dieu Soleil, Viracocha, ainsi que le « Dieu en pleurs » (des larmes semblent être représentées sur les deux joues).
Il tient dans chaque main une crosse stylisée, dont une pourrait représenter des éclairs. Les figures d’oiseau ornant le personnage central sont inachevées, laissant penser aux premiers chercheurs (Mason, 1968) que les bâtisseurs ont été interrompus (peut-être à cause d’une catastrophe ?).
La Porte du Soleil s’élève désormais dans l’angle nord-ouest du Temple de Kalasasaya (Bennett, 1934).
Pyramides, mégalithes et statues...
Les édifices du centre sont connus sous le nom de temple de Kalasasaya, temple semi-enterré, un certain « Palace » et la pyramide d’Acapana. Quelques autres constructions sont en évidence.
Bon nombre de blocs de construction pèsent près de 200 tonnes (Posnansky, 1945). La pyramide d’Acapana est une pyramide à étages et, comme la Grande pyramide, elle est parfaitement alignée sur les points cardinaux. Elle était à l’origine couverte d’une pierre d’andésite lisse, dont il ne reste aujourd’hui que 10 %.
L’état délabré de la pyramide s’explique par le fait que des pirates ont enlevé les pierres pour s’en servir sur des chantiers à La Paz.
Au centre du temple semi-enterré se trouvait une statue monolithique haute de plus de 7 mètres, sculptée dans du sable rouge.
Cette immense sculpture était inconnue jusqu’à sa découverte lors des fouilles de Bennett en 1934. Elle a depuis été transportée à La Paz et érigée sur une place (Mason, 1968). Bien que son corps soit en partie gravé, la moitié inférieure est couverte d’écailles de poisson, ce qui rappelle la déité mésopotamienne Oannes, qui enseigna les sciences et les arts aux abyloniens.
Outre ce très grand monolithe en pierre, Bennett a trouvé une statue barbue. Elle a de gros yeux ronds, un nez droit et étroit, une bouche ovale, et mesure plus de deux mètres de haut.
Des éclairs sont gravés sur son front et des animaux non identifiables sont gravés tout autour de sa tête. Ses bras sont croisés sur sa tunique à l’ourlet orné de pumas, qui descend jusqu’aux chevilles. Des serpents montent de chaque côté, rappelant Quetzalcoatl, le héros culte des Toltèques. Datation « incertaine »
La méthode de datation conventionnelle de Tiahuanaco est basée sur la datation au carbone de nombreuses poteries, statuettes et autres artefacts. Un fait évident ignoré par les archéologues orthodoxes est qu’il est courant que de nouveaux arrivants soient effrayés par de vieilles ruines (attribuant leur origine à des dieux ou à des géants) puis les intègrent à leurs propres poteries, textiles, etc.
Ce peut être une énorme erreur de fusionner plusieurs cultures en une seule, en faisant correspondre les dates des ruines mégalithiques à celles d’artefacts ultérieurs. Par conséquent, plusieurs grandes autorités archéologiques qualifient la datation des constructions et sculptures de Tiahuanaco de «incertaine» (Mason, 1968 ; Willey, 1971 et al.).
Les ruines en pierre ne peuvent pas être datées au carbone.
La seule chance de dater des constructions en pierre est que des matières organiques aient été écrasées sous les pierres lors de leur édification. Les techniques de datation au carbone peuvent alors être appliquées à ces matières organiques récupérées. Ce n’est pas parce que certains « renégats » n’appliquent pas les dates au carbone aux ruines en pierre elles-mêmes qu’ils font fi d’années de travail archéologique, comme s’en plaignent certains.
C’est la représentation d’animaux éteints du Pléistocène (non abordée par la plupart des experts) qui empêche d’accepter les dates au carbone généralement appliquées aux constructions mégalithiques. Comment un animal que l’on n’a jamais vu peut-il être gravé sur des monuments ?
En outre, certaines caractéristiques géologiques ne sont pas prises en compte, et ne parlons même pas d’archéoastronomie aux archéologues
L’édifice le plus important à des fins de datation est la Kalasasaya («Place des pierres verticales »). Au lieu d’être alignée sur les points cardinaux, elle est légèrement décalée vers le nord-ouest.
Dans son angle sud-ouest, se trouve une grande statue appelée « L’idole », en face de la Porte du Soleil. Sachant que de nombreuses cultures anciennes intégraient les alignements astronomiques dans l’orientation de leurs édifices les plus sacrés, l’orientation de la Kalasasaya a retenu l’attention du professeur Arturo Posnansky, ingénieur qui étudiait les ruines (Hancock, 1995).
Puisque la Terre est inclinée sur son axe par rapport au plan du système solaire, l’angle qui en résulte est connu sous le nom d’obliquité de l’écliptique. Actuellement, notre Terre est inclinée à un angle de 23 degrés 17 minutes, mais cela n’a pas toujours été le cas.
L’axe de la Terre oscille entre 22 degrés 1 minute et un extrême de 24 degrés 5 minutes. Une oscillation complète met environ 41 000 ans à s’effectuer. Posnansky a fait vérifier cette théorie par un certain nombre d’astronomes d’institutions hautement respectées et ils ont conclu que le Temple de Kalasasaya a indiqué une inclinaison égale à 23 degrés 8 minutes 48 secondes (Posnansky, 1945). cela semblait désigner une date proche de 15 000 ans avant J.-C.
Bien entendu, les archéologues professionnels sont entrés en orbite !
Une telle date expliquerait la représentation d’animaux éteints depuis 12 000 ans. Le fait que Tiahuanacu semble inclure des jetées et des débarcadères pour des centaines de bateaux, en se dressant pourtant aujourd’hui à près de 4 000 mètres au-dessus du niveau de la mer, a conduit certains archéologues à lui chercher une autre utilité.
Enfin, le transport de pierres de 400 tonnes sur d’immenses distances n’aurait pu être accompli que par une civilisation (jusqu’ici inconnue) aux technologies avancées.
Il n’est pas impossible qu’un cataclysme mondial ait créé des montagnes presque du jour au lendemain à certains endroits, élevant ainsi un port maritime bien au-dessus de son niveau d’origine. Le lac salé Titicaca lui-même semble être un vestige océanique qui disparaît lentement, son rivage se situant aujourd’hui à 23 kilomètres des quais.
ce même bouleversement géologique aurait-il pu provoquer l’extinction du Pléistocène, mettre un terme à l’âge glaciaire, décimer l’humanité du Paléolithique et engloutir l’Atlantide il y a environ 12 000 ans ?
Cuzco et Sacsahuaman...
Cuzco était la capitale de l’Empire inca et Sacsahuaman semble avoir été un lieu où le peuple inca est venu se réfugier lorsqu’il a été attaqué. L’Empire inca n’existait que depuis une centaine d’années au moment de la conquête espagnole. Alors, quel rapport ces ruines pouvaient-elles avoir avec l’Atlantide ?
Un simple profane venant visiter ces ruines remarquera tout de suite quelque chose qui saute aux yeux: les magnifiques pierres de taille qui ont fait la réputation des Incas sont encore juste au-dessus de pierres bien plus grosses, appelées constructions de style polygonal (ou mégalithiques).
La plupart des archéologues, américains comme péruviens, s’accordent à dire que bien que les pierres de taille disposées de façon régulière soient dans le style inca classique, les blocs polygonaux plus gros et plus complexes appartiennent à une culture « mégalithique » antérieure non datée.
La datation archéologique des anciennes ruines mégalithiques « reste en suspens » (Mason, 1968).
Des pierres de deux à trois tonnes …
Ce sont les parties « mégalithiques » des ruines qui nous intéressent ici. Elles n’ont jamais été datées, et par conséquent, personne ne sait depuis combien de temps elles étaient là avant que les arrivants incas se mettent à les exploiter à leur avantage. La plupart des pierres de taille de style inca pèsent deux à trois tonnes. La plus grosse pierre mégalithique de Sacsahuaman pèse pratiquement 300 tonnes !
Un être humain debout à côté de l’un de ces géants cyclopéens a l’air d’un nain ! Autre fait impressionnant concernant le style mégalithique, au lieu de tailler la pierre d’une forme parfaitement régulière, comme dans le style inca, les bâtisseurs mégalithiques ont choisi d’utiliser des formes très irrégulières.
Chose incroyable, une énorme pierre possède jusqu’à 32 angles différents, mais s’ajuste si parfaitement aux pierres alentour qu’on ne pourrait même pas passer une lame de couteau entre les joints ! . Et il ne semble pas que l’on ait utilisé de mortier.
Une construction parasismique…
Toutes les pierres sont légèrement convexes, ce qui leur donne un petit aspect bombé, et elles ont les bords biseautés, il ne s’agit donc pas de pierres des champs brutes.
Elles ont été découpées et façonnées avec précision de manière à s’ajuster parfaitement à toutes sortes d’angles, et cela pour une très bonne raison. La région des Andes est connue pour ses nombreux séismes, et ces blocs aux formes étranges rendent pratiquement les murs parasismiques, même si beaucoup font 18 mètres de haut (soit six étages).
Une fois de plus, nous restons perplexes quant à l’extraction et au transport de pierres aussi massives (Hemming, 1979). Nous avons là encore du mal à comprendre comment des hommes sans grues ni poulies (autrement dit sans la technologie moderne) ont pu façonner et disposer ces blocs, pesant souvent plus de 100 tonnes, avec une telle précision (Mason, 1968).
La technologie utilisée dépasse de toute évidence celle de n’importe quelle culture sud- américaine connue à ce jour.
D’autres indices de l’Atlantide…
D’autres ruines spécifiques disséminées à travers le monde pourraient être associées à l’Atlantide. J’ai visité certains de ces sites : l’île de Malte, avec des « ornières » jusque dans la mer Méditerranée ; la mer Égée ; en Atlantique, près des Bahamas ; près de Cadix, en Espagne ; au large du Maroc, entre 15 et 18 mètres de profondeur ; près des Canaries ; en Bretagne, les cromlechs qui se perdent dans l’Atlantique.
Plusieurs de ces vestiges sont totalement immergés, d’autres émergent en partie. Certaines semblent avoir été des ports. Puisque personne de sensé ne suggérerait que les anciens bâtisseurs aient à l’origine édifié ces structures sous les eaux, la seule autre option est que la montée des eaux les a recouvertes. Cela ayant dû se produire il y a environ 10 000 ans (±3 000), elles doivent au moins dater de cette époque.
Source : R. Cedric Leonard / infos-paranormal.net
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