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Le blog de Merlin...

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Quand ébola se réveillera, le monde tremblera...!

Publié par MERLIN sur 17 Octobre 2015, 20:48pm

Catégories : #Actu Importante

Quand ébola se réveillera, le monde tremblera...!

C'est désormais prouvé, le virus Ebola est sexuellement transmissible.

Le virus Ebola n'en finit pas de sévir en Afrique : le 16 octobre dernier, l'Organisation Mondiale de la Santé (OMS) a ainsi révélé deux nouveaux cas en Guinée, dans les villes de Forecariah et de Conakry - la capitale. À ce jour, le virus a ainsi fait près de 28 000 victimes (parmi lesquelles 11 000 sont décédées), principalement en Guinée, en Sierra Leone et au Libéria.

Des chercheurs de l'U.S. Army Medical Research Institute of Infectious Diseases (aux États-Unis) viennent de découvrir qu'Ebola se transmettait aussi par voie sexuelle. Pour en arriver à cette conclusion, les scientifiques ont analysé des échantillons de sang et de sperme provenant d'une femme infectée par le virus et d'un homme sain, avec lequel elle avait eu des relations sexuelles. Les données ainsi recueillies ont été comparées avec d'autres cas similaires, en Guinée, en Sierra Leone et au Libéria.

Résultat : 9 mois après les relations sexuelles en question, le sperme de l'homme contenait des traces de virus. Il était donc un vecteur de contamination potentiel.

Le virus toujours présent dans le sperme 9 mois après une infection ! Les survivants d'Ebola devront attendre un moment avant de faire une croix défintive sur le virus !

Pour parvenir à cette conclusion, 93 participants de Sierra Leone ont fourni des échantillons de leur sperme jusqu'à dix mois après le début de leur infection. Premier résultat, le sperme de 100 % de ces hommes  a été retrouvé positif à Ebola durant les trois premiers mois qui suivaient leur infection.

65 % des sujets (26 sur 40), dont le sperme a été testé entre quatre et six mois après leur maladie, se sont révélés positifs. Et  26 % (11 sur 43) entre sept et neuf mois après l'infection. Cette recherche a été menée par le ministère de la Santé de Sierra Leone, l'OMS et les Centres américains de contrôle et de prévention des maladies (CDC).

 

Ebola s’est même réactivé chez un patient qui en avait guéri. Pauline Cafferkey, l’infirmière britannique infectée par le virus en janvier après une mission en Sierra Leone, a été admise ce vendredi au Royal Free Hospital de Londres en raison d’une « complication tardive inhabituelle liée à sa précédente maladie ».

Deuxième cas de réactivation…

« C'est déjà le deuxième cas de réactivation d'Ebola, le premier étant un survivant dont l'oeil est passé de bleu à vert à cause d'une infection persistance », a indiqué le Ben Neuman, de l'Université de Reading, cité par l’agence.

« Le virus Ebola peut persister pendant des mois dans certains tissus chez les survivants. Le risque de transmission par ces individus semble très bas mais, avec tant de survivants en Afrique de l'Ouest, il y a un risque que de nouvelles épidémies se déclenchent.

Des mutations font émerger des résistances aux traitements…

Des chercheurs américains ont montré que des modifications apparues dans le génome du virus Ebola lui permettraient d'échapper aux traitements.

Les mutations génétiques affectant le virus Ebola semblent bloquer l’action des traitements à base d'anticorps, révèle une étude menée par des chercheurs de l’Armée américaine et publiée dans le journal Cell Reports. Des résultats qui peuvent avoir des répercussions sur le développement actuel et futur des médicaments.

Selon ces travaux, l’efficacité des « cocktails d’anticorps » censés neutraliser le virus Ebola est limitée par l’apparition de variants viraux résistants. A l’heure actuelle, il existe plusieurs options thérapeutiques. Le MB-003 efficace chez le singe, et le ZMAb n’ont encore jamais été testés chez l’homme. Ces deux formules ont, en revanche, permis l’élaboration du sérum ZMapp, un traitement expérimental toujours soumis à études mais d’ores et déjà utilisé chez des malades infectés par Ebola.

Des modifications permanentes…

En examinant des singes morts de la fièvre hémorragique malgré l’administration de MB-003 un ou deux jours après l’infection, les scientifiques américains ont observé des modifications dans deux groupes de gènes, aussi appelés clusters. Plusieurs de ces modifications touchent des protéines virales justement ciblées par les traitements par anticorps.

Des analyses plus approfondies montrent que ces changements dans le génome du virus sont progressifs. Ils commencent par affecter une petite partie de la population virale avant de devenir permanents. Les virus possédant ces mutations évitent donc l’élimination et continuent à infecter l’organisme.

« Nos travaux mettent en évidence que peu de modifications suffisent pour bloquer l’action de plusieurs anticorps, commente Jeffrey Kugelman, un des auteurs de l’étude.

Il faut noter également la capacité et la rapidité du virus à muter pour échapper aux défenses immunitaires.

Ci-dessous : Microscopie électronique à balayage montrant des particules virales Ebola (en vert) bourgeonnant d'une cellule VERO à partir d'un patient contaminé au Mali en novembre 2014.

Un pouvoir pathogène impressionnant…

La période d’incubation varie de 2 à 21 jours, le plus souvent de 4 à 9 jours. Une semaine après le début des symptômes, les virions envahissent le sang et les cellules de la personne infectée. Les cellules les plus concernées sont les monocytes, les macrophages et les cellules dendritiques. La progression de la maladie atteint généralement le fonctionnement des organes vitaux, en particulier des reins et du foie.

Ceci provoque des hémorragies internes importantes. La mort survient, peu de temps après, par défaillance polyviscérale et choc cardio-respiratoire.

Le virus Ebola sature tous les organes et les tissus à l’exception des os et des muscles moteurs. Il se forme d’abord de petits caillots de sang diffus dans l'ensemble des vaisseaux par coagulation intravasculaire disséminée. Les caillots se collent ensuite aux parois des vaisseaux sanguins pour former un « pavage ».

Plus l’infection progresse, plus les caillots sont nombreux, ce qui bloque les capillaires. Finalement, ils deviennent si nombreux qu’ils bloquent l’arrivée sanguine dans les divers organes du corps. Quelques parties du cerveau, du foie, des reins, des poumons, des testicules, de la peau et des intestins se nécrosent alors car elles souffrent d'un manque de sang oxygéné.

Une des particularités du virus Ebola est la brutalité avec laquelle il s’attaque aux tissus conjonctifs. Il provoque aussi des taches rouges appelées pétéchies résultant d'hémorragies sous-cutanées. Il affecte le collagène de la structure de la peau. Les sous-couches de la peau meurent et se liquéfient ce qui provoque des bulles blanches et rouges dites maculopapulaires.

À ce stade, le simple fait de toucher la peau la déchire tant elle est amollie. Le virus provoque une réaction inflammatoire importante !

 

 

Terrorisme !

En 1992, la secte japonaise Aum Shinrikyō, profitant d'une épidémie, tente en vain de se procurer le virus Ebola au Zaïre, lors d'une mission « humanitaire » menée par le gourou en personne avec quarante autres membres de la secte.

Nous verrons dans un prochain sujet ( le prochain ), que ce ne sont pas des terroristes qui causeront le chaos, mais comment ceux qui nous gouvernent dans l'ombre, vont infecter les populations, à l'aide de manipulations médicale, avec des cellules zombies, et autres virus modifiés, qui feront de nous des "croqueurs" revenus à l'instinct de bêtes féroces, digne des films les plus violent de zombis !

Cette dernière phrase peut prêter à sourire et/ou à moqueries, j’aimerai moi aussi en sourire…

 

 

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Comme toujours c'est à vous de juger...

 

 

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S
Le même délire que le covid, comme quoi, plus c'est gros plus ça marche.
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C
Encore les américains, à tout les coups... Avant, pour ne citer que le principale, Ils nous ont fait le sida, maintenant ils nous font le virus Ebola. Il faut croire que ça ne suffisait plus...
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