Grand merci à Wizzil, une membre du forum, pour cet article passionnant qu'elle nous a fait découvrir...
Notre Dame de l'Apocalypse :
« Le "Secret de Fatima" doit être enterré dans l'endroit le plus caché, le plus profond, le plus obscur et le plus inaccessible du monde ». Cardinal Ottaviani, 1967…

« J'aurais aimé révéler le 3e secret de Fatima, car ce serait un tel choc chez les gens que les confessionnaux de toutes les églises, cathédrales et basiliques seraient pleines à craquer même le samedi soir ». Père Malachi Martin, 1997…
« Vous savez , si le Vatican révélait le 3e secret, les églises seraient immédiatement remplies de fidèles à genoux » Père Malachi Martin, 1998…
« Le quatrième Ange répandit sa coupe sur le soleil, et il lui fut donné de surchauffer les hommes par ses ardeurs ainsi les hommes furent surchauffés d'une chaleur torride, ils maudirent le nom de Dieu qui peut déclencher ces fléaux, et ne voulurent pas se repentir, ni le glorifier ». Apocalypse de Jean…
Communiqué de presse du Vatican envoyé à l'agence portugaise ATI en 1960 :
Le troisième secret de Fatima ne sera pas publié. L'Église reconnaît l'apparition de la Vierge à Fatima, mais Elle ne souhaite pas prendre la responsabilité de garantir la véracité des mots que les trois pastoureaux disent avoir entendus de la Vierge… !
Les Égyptiens rapportent que le soleil avait quitté sa course.
Les Grecs rapportent que le soleil avait quitté sa course.
La Vierge a montré à Fatima le soleil quittant sa course.
Pierre Jovanovic :
Voici cinq ans, j'avais trouvé tout à fait par hasard un livre d'occasion intitulé Les Prophéties des Papes de Malachie, publié à Paris en 1968 par un certain Raoul Auclair. Je me souvenais vaguement que cette prophétie datant du Moyen-Âge était en réalité une liste contenant les 111 noms de tous les papes qui occuperont le trône de saint Pierre et que le dernier verrait... l'Apocalypse.
Par simple curiosité, j'ai feuilleté l'ouvrage en me demandant ce que l'auteur avait bien pu broder, en plein Mai 68, sur un pape à venir en... 1978, et qui aura la malchance d'être « rappelé par le Seigneur » quelques jours après son élection en tant que représentant sur cette terre de ce même Seigneur !
Et, je dois l'avouer, la lecture de la notice, comme celle des commentaires de l'auteur, m'ont sidéré : Malachie avait simplement qualifié le pape Jean-Paul Ier « De la moitié de la lune » ( De medietate lunae ). Quant à Raul Auclair, il parlait d'un maléfice :
« Et c'est le maléfice de la lune, étendu à la moitié du monde dont nous menace ce redoutable oracle (...) La devise ne pourrait-elle pas concerner quelque événement qui aurait la lune pour objet. L'homme est à l'instant de porter une main sacrilège sur le ciel».
De la moitié d'une lune décrivait bien une fatalité. Le pauvre cardinal Albino Luciani a été trouvé mort quelques semaines après sa prise de fonction.
Triste, mais beau destin quand même car devenir pape n'est pas donné à tout le monde. À l'époque cependant, son décès avait fait sensation et l'ensemble de la presse mondiale s'était précipitée sur les prophéties de Malachie pour vérifier la concordance.
Jean-Paul Ier a été élu sous une moitié de lune ( 25 août ) et mort sous une autre moitié (28 septembre ), le calendrier lunaire de 1978 le prouve. Quant à son collaborateur direct, le cardinal Villot, il est né ( ça ne s'invente pas ) à Tassin la Demie-Lune ! Villot a d'ailleurs assuré l'intérim jusqu'à l'élection de Jean-Paul II... Daniel Réju, historien spécialiste de Malachie, a rappelé la surprise du monde chrétien de l'époque :
« Ce matin, 29 septembre 1978, vers 5h30, le secrétaire particulier du pape, le père Magee, est entré dans la chambre à coucher du pape Jean-Paul I. Ne l'ayant pas trouvé dans la chapelle comme d'habitude, il l'avait cherché dans sa chambre et l'a trouvé mort dans le lit, avec la lumière allumée, comme s'il lisait. Le médecin, immédiatement accouru, a constaté le décès, intervenu probablement vers 23 heures, le 28 septembre, par mort soudaine, dû à un infarctus aigu du myocarde ».
Ce laconique communiqué du Vatican, tombé sur les téléscripteurs, repris par les chaînes de radio et de télévision des cinq continents, plongeait le monde entier, et la chrétienté en particulier, dans la consternation la plus totale.
Stupéfaction, incrédulité, émotion, angoisse, les mots manquent pour décrire les sentiments variés et confus qu'éprouvèrent les hommes lorsqu'ils apprirent cette nouvelle tellement inattendue, quasiment impensable la veille même.
Le 6 août au soir, Paul VI rendait l'âme. Le 28 septembre, Jean-Paul I son successeur s'éteignait à son tour. Celui qui quittait ainsi ce monde, Jean-Paul Ier, jusqu'alors l'unique souverain pontife à avoir choisi un prénom composé dans l'histoire de la papauté ( ce que d'aucuns avaient interprété comme un mauvais augure ) après un règne de 33 jours, correspondait à la 109e devise de saint Malachie, De medielate Lunae.
Conséquence logique : depuis, Malachie est plus que jamais vu comme le doigt de saint Pierre en personne. Pour l'anecdote, en 1958 lors du conclave qui allait élire le 107e pape annoncé comme pasteur et marin, le cardinal de New York, Francis Spellman, s'était dépêché de louer un bateau et de passer ses journées à monter et descendre le Tibre qui divise Rome en deux, afin de coller à la prophétie de Malachie !
C'est l'archevêque de Venise, pasteur et marin bien avant l'heure du conclave, qui a été élu. Mauvais perdant, le cardinal Spellman a déclaré à la presse américaine à propos du nouveau Jean XXIII : « Celui-là, ce n'est pas un pape ! Il devrait plutôt vendre des bananes ».
Le pape Pie VI lui, a même fait mieux : il a émis des médailles commémoratives avec sa devise de Malachie ( Peregrinus Apostolicus ) sous son portrait. Inutile de souligner qu'au dernier conclave de 2005, comme d'habitude, tous les cardinaux avaient consulté la liste avant de se rendre à Rome, histoire de vérifier s'ils avaient une chance.
C'est ainsi que la presse italienne a rapporté que tous les cardinaux riaient sous cape lorsque les deux principaux candidats, le cardinal Ratzinger et le cardinal Martini, n'ont pu être départagés. En effet, la gloire de l'olive collait assez bien à Martini, et beaucoup ont voté pour lui uniquement en l'honneur du cocktail aux olives bien connu de tous les barmen. Mais l'Intelligence Supérieure veillait au grain...
Cependant, c'est la définition du numéro 110, Jean-Paul II, qui est stupéfiante, De labore Solis ( de l'éclipse solaire, ou du labeur du soleil ).
Ce brave moine qui vivait dans les heures sombres du Moyen-Âge ne pouvait décemment pas savoir que le très solaire cardinal Woytola viendrait au monde un jour d'éclipse solaire, le 18 mai 1920 et qu'il sera enterré pendant une éclipse du soleil. Cela ne s'invente pas. Décemment, il ne pouvait voir de choses aussi précises avec autant de siècles d'avance, fut-il le plus grand médium de son époque.
Est-il un véritable messager divin, obéissant à un plan ordonné par l'Intelligence supérieure ? On peut pencher en faveur de cette possibilité surtout avec sa description de Religion Dépeuplée pour le pape de la Première Guerre mondiale Benoît XV ( 1914 - 1922 ). Cette dernière définition est la preuve, s'il en fallait une, de son génie visionnaire.
Pourtant, Malachie s'était contenté d'attribuer une simple phrase en latin, motto, à chaque pape. Le seul à bénéficier de plusieurs lignes est celui de la Fin des Temps :
« In persecutione extrema Sacrae Romanae Ecclesia sedebit Petrus Romanus qui pascet oves in multis tribulationibus civitas septicollis diruetur populum ».
« Pendant la dernière persécution que souffrira la Sainte Église Romaine, siégera Pierre le Romain il paîtra les brebis au milieu de nombreuses tribulations. Celles-ci terminées, la ville aux sept collines sera détruite peuple ».
On comprend dès lors pourquoi ces lignes tracées à la plume d'oie voici 900 ans planent encore aujourd'hui sur Rome. Faut-il ajouter qu'à cause de la Prophétie de Malachie bien des gens retiennent aujourd'hui secrètement leur souffle, en priant chaque jour pour qu'il n'arrive rien de grave à Benoît XVI, sans parler de tous ceux qui affirment haut et fort sur d'innombrables sites Internet que nous vivons les dernières années avant la fameuse Apocalypse car le 111e et dernier pape de Malachie est en poste en ce moment même.
Techniquement donc, selon ce marqueur, nous sommes entrés « dans la Fin des Temps ».
Notons quand même, et c'est très ennuyeux pour nous parce qu'elle nous rapproche de l'issue fatale, que les cardinaux élisent toujours le candidat le plus âgé, et cela pour que cette place fort enviée devienne vacante le plus rapidement possible. Benoît XVI par exemple a été le deuxième « plus vieux élu à ce poste » en 2000 ans.
Dans le cas de Jean XXIII, les éminences avaient aussi fait le bon choix : le « vendeur de bananes » est mort au bout de quatre ans et demi seulement. Mais leur meilleur choix de tous les temps à bien été Jean-Paul Ier ce qui permet de dire que l'Intelligence Supérieure qui a dicté la liste à Malachie suit son plan à la lettre : le 109e a duré un peu plus d'une « moitié de lune ».
Cependant, je n'aurais jamais écrit ce livre si une autre prophétie, encore plus précise, ne m'était pas revenue à l'esprit, celle, incroyable, donnée par la Vierge en 1962, à une petite fille qui n'en demandait pas tant. Incroyable à nouveau car, 16 ans avant les événements ( !! ) elle avait rapporté les propos suivants :
« Après la mort du pape Jean XXIII, il y aura encore trois papes, et l'un d'eux aura un règne très court. Après cela, viendra la Fin des Temps, mais pas la Fin du Monde ».
Après Jean XXIII, les catholiques ont eu Paul VI, puis Jean-Paul Ier, suivi de Jean-Paul II. Cela fait bien 3 papes. Cette prédiction de la Vierge ( publiée dans tous les journaux et livres bien avant 1978 ) recoupe celle de Malachie. C'est notre second marqueur.
Benoît XVI serait donc bien le dernier pape de cette liste qui n'annonce rien de bon ! Ajoutez à cette prophétie insensée, une autre apparition du XIXe siècle ( à La Salette ) dans laquelle la Vierge avait prédit qu'un pape ferait l'objet d'une tentative d'assassinat et on se retrouve dans un film gothique avec des vieux parchemins, des moines fous comme dans Le Nom de la Rose d'Umberto Eco et une Vierge qui annonce l'Apocalypse comme dans le livre de saint Jean. Vous mélangez le tout et vous obtenez un cocktail explosif en conjonctures et hypothèses pour les neurones, le tout sur fond de siège pontifical éjectable...
Mais comment ce mystique irlandais né en 1094 et canonisé en 1199 pour sa sainteté, a-t-il eu cette liste ?
On ne sait pas grand chose de Maolmhaodhog O’Morgair, hormis qu'il a été ordonné prêtre en 1119 et qu'il est devenu le vicaire d'Armagh, puis l'évêque de Connor en 1124. Ses parents l'ayant mis sous le patronage du dernier prophète biblique, Malachie, il était logique que ce prénom l'ait en quelque sorte prédestiné à une carrière de prophète de la Fin des Temps.
En effet, le Livre de Malachie termine l'Ancien Testament, comme l'Apocalypse de saint Jean termine le Nouveau Testament. Malachie et Jean semblent être voués à « terminer » les temps.
Selon sa biographie sans grand intérêt écrite par Bernard de Clairvaux, notre homme était connu pour sa capacité à guérir les malades et surtout celle de prédire l'avenir.
Pour l'anecdote, il a prédit le lieu et l'année de sa propre mort comme celle de bien des gens qui avaient croisé son chemin, une sérieuse indication de son aptitude insensée à « voir » le futur et le poids du destin...
Au sommet de sa carrière, il a pris la décision de se retirer dans le petit diocèse de ses débuts, Down, afin de retrouver la vie monastique cistercienne de sa jeunesse. La légende affirme que c'est sur la place saint Pierre en 1139 qu'il a eu une vision-extase de chaque pape à venir et de son œuvre, et cela jusqu'à la fameuse Fin des Temps qui se caractérise par la destruction de la ville de Rome.
Pour compliquer les choses, sa liste n'a été rendue publique que 452 ans après sa mort, c'est-à-dire en 1595, et cela de manière purement accidentelle, par le bénédictin-bibliothècaire Arnold de Wion, dans son Arbre de Vie ou Lignum Vitae ornamentum et decus Ecclesiae8, sorte de Who's Who monastique. Il s'agit d'une simple notice de dictionnaire à la lettre D comme Down :
Saint Malachie, Irlandais, évêque de Down. Moine de Bevehor et archevêque d'Arnagh.
Après avoir occupé ce siège plusieurs années, il abdiqua vers l'an du Seigneur 1137 et retiré sur le siège de Down, il y demeura jusqu'à la fin de sa vie. Il mourut le 2 novembre 1143 d'après sa Vie par Saint Bernard.
Il reste sous les numéros 315, 316 et 317, trois lettres adressées à lui par Bernard.
Lui-même, dit-on, a écrit quelques opuscules dont je n'ai rien vu hormis une certaine Prophétie des Souverains Pontifes. Celle-ci, parce qu'elle est courte, qu'elle n'a jamais été, que je sache imprimée, et que beaucoup désirent la connaître, je la reproduis ici.
Frère Arnold ne pouvait s'imaginer que la simple idée de publier cette fastidieuse liste ferait par la suite couler des hectolitres d'encre et donnerait une sorte de fil conducteur du siège pontifical. Et si on admet que Malachie a bien eu une expérience mystique qui l'a plongé dans le futur, alors ce n'est plus d'une prophétie qu'il s'agit mais bien d'un avertissement.
Si on le suit à la lettre, après le règne brillant de Jean-Paul II, Rome risque d'être très agitée. Mais là, ouf, deux écoles s'opposent.
La première, l'école latine, a toujours affirmé que la liste des 111 papes de Malachie est exacte et que la Fin des Temps commencera avec le 111e à savoir Benoît XVI. Comme on l'a vu, cela correspond aussi aux « déclarations » de la Vierge à La Salette, et à Garabandal en 1962 : Conchita Gonzales, l'une des petites voyantes, avait rapporté : « La Vierge m'a dit qu'il n'y aura plus que trois papes ». Pour la Vierge donc, Benoît XVI n'est pas un vrai pape, ou bien il est ''Le'' Pierre le Romain de saint Malachie.
La seconde école, l'anglo-saxonne, soutient que le dernier pape, le fameux Pierre II, n'arrivera qu'après le décès de « la gloire de l'olivier » ( Benoît XVI ). Cette affirmation a été principalement répandue par Peter Bander, professeur de théologie à Cambridge, avec son livre Les Prophéties de Saint Malachie et Sainte Columbkille publié dans le monde anglo-saxon en 1970. Donnant comme prétexte un obscur texte médiéval sans en préciser la source, il a ajouté un 112e pontife, ce qui donne selon lui : Jean-Paul I, Jean-Paul II, Benoît XVI et le futur Pierre II.
Question : pourquoi Malachie se serait-il pris la tête à laborieusement dresser la liste précise de 111 papes à venir pour justement oublier le 112e, le plus important ? Mais en admettant qu'il y ait encore un autre pape, le Petrus Romanus, encore faudrait-il un cardinal suffisamment idiot pour prendre le nom de Pierre II après son élection.
Daniel Réju, auteur du livre Les Prophéties de Saint Malachie, mort des Papes et Apocalypse remarquait déjà il y a 30 ans que Malachie pesait très très lourd dans la balance pontificale, même si son nom n'était jamais officiellement prononcé :
« Il convient d'envisager une curieuse coutume de l'Église, par crainte, "superstition", respect d'une tradition dont le sens est oublié, ou volontairement tu : aucun souverain pontife n'a jamais choisi le nom de Pierre pour monter sur le trône pontifical. On suppose même que l'adoption d'un prénom pontifical a été prévue pour éviter à un prélat nommé Pierre, accédant au souverain pontificat, d'avoir à porter ce prénom.
Or c'est quand même du trône de Pierre dont il s'agit, du disciple du Christ, du fondateur de l'Église romaine. Logiquement, le nouvel élu devrait se faire une joie de se placer sous un tel patronage. Pourtant ceci ne se produisit jamais : aucun prélat ne choisit Pierre comme prénom pontifical.
Quel mystérieux tabou peut-il être assez puissant pour être aussi scrupuleusement observé ? Quel interdit entoure-t-il ainsi avec une telle rigueur le prénom de Pierre pour entretenir une peur quasi surnaturelle ?
Oui, c'est vrai, pourquoi aucun cardinal élu ne s'est-il jamais appelé Pierre 2, donnant ainsi naissance à une dynastie numérique comme les Benoît 16, les Clément 5, les Pie 14, etc. ? Ce n'est pas plus idiot que de s'appeler Léon 11 ou Innocent 7 ou Urbain 2 ( initiales U2 ).
S'appeler Pierre II représente plus que jamais un danger à cause justement de la Liste de Malachie, le danger de l'Alpha et de l'Oméga, le premier et le dernier. Alors Benoît XVI est-il l'oméga des papes ?
Jean-Paul II est mort en 2005 à 85 ans. Joseph Ratzinger est né en 1927, ce qui met le début de son règne en 2005 déjà à 78 ans. En admettant qu'il aille jusqu'à ses 90 ans sans aucune maladie, et en admettant aussi que la théorie du pape supplémentaire, le 112e, soit juste, cela nous transporterait donc en toute sécurité jusqu'en 2017. Joseph Ratzinger aura par exemple 86 ans en 2013 !
Oui, mais...
Au Vatican, il n'y a jamais de fumée sans feu, surtout si l'on tient compte de cette conjonction étrange entre la vision d'un mystique cistercien du Moyen-Âge et les prophéties de la Vierge. Cette conjonction nous dit peut-être quelque chose de très important, et en même temps de très simple : que les années à venir seront les plus dramatiques à vivre de toute l'histoire de l'humanité.
Malachie a vu notre ère « étalonnée » par des papes, exactement comme les prêtres étrusques ont vu leur civilisation étalonnée sur mille ans. Avec de la poésie, on peut alors considérer les papes de saint Malachie comme des graduations sur la règle du temps de notre propre cycle.
Et selon sa vision, on arrive au bout de la règle !
D'ailleurs les signes ne manquent pas, en particulier ceux du climat, de l'espace et surtout du soleil...
Du « réchauffement » du Soleil …
Avec l'accélération du dérèglement du climat, on a, depuis quelque temps, le sentiment d'être sur une sorte de tapis roulant qui nous mène, lentement mais sûrement, vers un bouleversement peu rassurant.
L'environnement autour de nous change et pas dans le bon sens : les neiges fondent, la banquise disparaît, la température grimpe, les rivières et les fleuves s'assèchent à une vitesse jamais vue, l'eau commence à manquer et les déserts progressent, tout comme les pluies diluviennes, les tempêtes de neige, les canicules, les tornades et les sécheresses.
Nous sommes bien au bord de quelque chose, mais on n'ose pas poser un nom dessus, de peur de l'attirer encore plus. C'est un sujet de réflexion tabou.
Pourtant, la Nature se moque des tabous : quiconque a vécu la tempête française de l'an 2000 et la canicule de 2003 qui a causé le décès de 35.000 personnes en deux semaines sur toute l'Europe le sait.
En 2005, la côte Est des États-Unis a été balayée par 5 hurricanes successifs et l'un d'eux a même rasé la Nouvelle Orléans ! Les Japonais sur leur île en ont compté 7, mais de ceux-là personne n'a parlé. Après le temps nécessaire pour analyser les données satellites, les explications des scientifiques ont commencé à fuser les unes après les autres fin 2006 : le grand responsable de tous ces drames serait le soleil, devenu violent alors qu'il devrait être dans sa phase la plus calme.
Le public n'y a vu, si je puis dire, que du feu : habitué à entendre que l'activité humaine était la seule responsable du dérèglement du climat, il a naturellement mis les drames de 1999, 2000, 2003, 2005 et 2008 sur le compte du réchauffement.
Et pendant qu'on le culpabilise sans cesse, au-dessus de nos têtes, le petit 4x4 de la NASA qui sillonne Mars, le Mars Global Surveyor, envoie ses informations montrant « que les niveaux d'eaux glacées sur les pôles martiens ont fondu de presque 3 mètres en l'espace d'une année martienne, soit presque deux ans pour nous».
Information incroyable, passée totalement inaperçue : la Terre n'est donc pas la seule à se réchauffer. Mars aussi. Quant à la planète Neptune et à ses lunes, distantes de 4,5 milliards de kilomètres du soleil, c'est même pire :
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