Merci à Nabilkar, un membre de notre forum, qui nous fait découvrir une interview intéressante et pleine de sagesse sur les Hopis, la kachina "l'étoile bleue" et la relation avec la constellation d'Orion et les extraterrestres.
Source : Karmapolis.
Gary David s’est intéressé à la région des Four Corners aux Etats-Unis depuis plus de douze ans. En 1994, il déménagea en Arizona pour mener une étude intensive des Indiens Pueblos et de leurs descendants, les Hopis.
Fin 2006, après une dizaine d’années de recherches indépendantes et d’investigations sur les sites archéologiques et les gravures rupestres indiens, son travail est publié par les éditions Adventures Unlimited Press : The Orion Zone, Ancient Star Cities of the American Southwest - Une réflexion inédite sur la relation entre les villages hopis et la constellation d’Orion.
Une étude qui se concrétisera en 2008 par un deuxième livre, Eye of the Phoenix, Mysterious Visions and Secrets of the American Southwest. Deux ouvrages accessibles chez Adventures Unlimited Press et sur le site de Gary A. David.
UNE INTERVIEW AVEC GARY DAVID…
Karmatoo :
Comment les Hopis ont-ils protégé leur mode vie et leurs traditions face aux cultures anglo-américaines et hispaniques ? Ont-ils réussi ?
Gary David :
Si vous regardez en direction du sud depuis les mesas des Hopis, vous apercevrez des masses de roches volcaniques noires qui, pareilles à des sentinelles, se dressent dans les vastes étendues délavées par le vent et le temps. C’est le centre du territoire des Hisatsinom, les anciens Hopis autrefois appelés les Anasazis.
Ce pays, l’un des endroits les plus isolés de la planète, est loin des principales pistes historiques du sud ou des voies ferrées de Santa Fe. L’auteur Hopi, Edmund Nequatewa, raconte quel est l’avantage d’être au milieu de nulle part, comme ils disent : « [Les Hopis] considéraient que vivre dans un tel endroit désolé les protégeaient des étrangers qui jamais n’auraient pu imaginer y trouver quoi que ce soit d’intéressant à prendre. »
C’est en partie ce qui a permis aux Hopis, qui ont développé un cycle de cérémonies parmi les plus élaborés au monde, de survivre et de perpétuer leurs rituels. De tous les amérindiens, les Hopis sont ceux qui ont été les moins influencés par la doctrine de la destinée manifeste et du crédo du « progrès à tout prix. »
Malheureusement, les Hopis, particulièrement les jeunes, sont maintenant de plus en plus influencés par le monde extérieur. Il existe encore quelques villages qui n’ont toujours pas l’électricité ou l’eau courante, mais les autres sont plus ouverts à la modernité du monde d’aujourd’hui.
En conséquence de quoi, le cycle des rituels, qui avait été préservé depuis des milliers d’années, est maintenant touché par l’offensive de la culture contemporaine avec ses chaînes télévisées, ses jeux vidéo, son matérialisme et l’attrait considérable que suscite l’Internet. Les jeunes qui apprennent la langue Hopi sont de moins en moins nombreux, tout comme le sont les fermiers Hopis à cultiver le maïs traditionnel, les haricots et les courges.
Ce qui les rend de plus en plus dépendants d’un approvisionnement extérieur. La pauvreté qui est le lot commun de nombreuses réserves indiennes force beaucoup d’entre eux à partir travailler dans des villes comme Phoenix et, par conséquent, les cérémonies sacrées qui demandent du temps et beaucoup d’énergie sont donc de moins en moins bien exécutées. Séduits par les attraits de la vie moderne, les Hopis sont également moins nombreux à participer « à l’ancienne » aux rituels.
A ce propos, les Anciens des clans Hopis avaient prophétisé que toutes leurs cérémonies s’arrêteraient à la Fin des Temps. Parmi les Indiens Hopis qui vivent encore selon les préceptes de leur culture, beaucoup pressentent que l’axe de la terre vacille de plus en plus dangereusement et que l’on se rapproche de la fin du Quatrième Monde.
Karmatoo :
« Hopi » veut dire « peuple pacifique ». Que signifie le mot « paix » pour un Hopi ?
Gary David :
Le terme hopi se traduit par pacifique, poli, bien élevé, civilisé ou encore équilibré. D’une façon ou d’une autre, toutes les cérémonies Hopi visent à maintenir cet équilibre, pas seulement pour les Hopis mais aussi pour le monde entier. Les Hopis ont un mot pour définir le chaos actuel qui est à l’opposé de l’équilibre naturel de la Terre : Koyaanisqatsi, ce qui veut dire, 1. Une vie absurde. 2. Une vie bouleversée. 3. Une vie déséquilibrée 4. Une vie en décomposition. 5. Une vie qui appelle une autre façon de vivre.
En 1982, un film du même nom s’attachait à montrer l’environnement social déstabilisant dans lequel nous nageons et quelques fois perdons pied. Ce film a été réalisé par Godfrey Reggio, mis en musique par Philip Glass et filmé par Ron Fricke. Une œuvre tout à fait hallucinante et hypnotique, sans personnage, sans dialogue et dénuée d’intrigue qui évoque l’expérience viscérale d’un monde perpétuellement en guerre, continuellement en déséquilibre.
Karmatoo :
Vous affirmez que la disposition des sites sacrés Hopis reflète la position des étoiles de la constellation d’Orion. Comment avez-vous trouvé cette correspondance ciel-terre et que signifie-t-elle ?
Gary David :
Ça remonte à juillet 1997. A cette époque, j’avais entrepris de traverser en voiture les grands espaces du nord de l’Arizona pour aller voir une des danses kachina qui se déroulent chaque année dans les réserves indiennes Hopis. Les kachinas sont des esprits que les Hopis prient pour obtenir la pluie et la fertilité dans ce pays rude mais incroyablement beau.
Les danseurs portaient des masques et des costumes de toutes les couleurs et exécutaient une cérémonie sacrée pendant toute la journée sous un soleil de plomb. Le rythme monotone d’un tambour en peuplier accompagnait cette danse lente et très digne. Plutôt que d’imiter les kachinas, il serait plus juste de dire que ces danseurs étaient adombrés par les kachinas, le temps d’un rituel.
Je venais juste d’achever la lecture de The Orion Mystery, de Robert Beauval et Adrien Gilbert. En résumé, les auteurs de ce livre y affirment que les trois grandes pyramides de Gizeh sont alignées sur les trois étoiles du Baudrier d’Orion. J’avais encore leur théorie en tête pendant que je regardais distraitement les trois mesas équidistantes sur lesquelles les Hopis avaient construit leurs villages en dur, environ en 1100 après J.C.
Je me demandais si ces pueblos ne formaient pas, eux aussi, un alignement avec la ceinture d’Orion et si le plateau désolé du Colorado ne cachait pas une autre relation terre-ciel.
En revenant chez moi, j’ai sorti mes cartes ainsi que la carte du ciel et je les ai comparées. Ce que j’ai trouvé m’a stupéfié : à chaque pueblo ou ruine d’un ancien village hopi correspondait une étoile majeure de la constellation. La terre reflétait le ciel avec une perfection troublante. Cette première constatation m’a emmené de découvertes en découvertes pendant presque dix ans.
Le sens de cette relation entre les villages Hopis en Arizona et la constellation d’Orion s’explique par la multiplicité même des alignements terre-ciel disséminés autour du globe. Ces reflets sur terre de la constellation d’Orion se retrouvent non seulement en Arizona et en Egypte, mais aussi en Afrique du Sud, en Italie, en Ecosse et ailleurs.
La dispersion de ces modèles célestes sur Terre ne peut s’expliquer que par l’existence d’une culture maritime précolombienne ou même antédiluvienne qui a répandu ce concept du reflet terre-ciel à une échelle planétaire. Nous sommes en quelque sorte les témoins d’un hommage mondial à Orion qui a été propagé voici longtemps par une seule et même intelligence.
Ces alignements avec la constellation d’Orion sont très certainement l’héritage d’une sorte de super civilisation perdue ou peut-être un message venant des étoiles.
Karmatoo : Avez-vous présenté votre thèse aux anciens ?
Gary David :
Certains Hopis connaissent ma théorie. Mais qui sont au juste les Hopis ? Et c’est bien là que se situe le problème, car ces derniers ne sont pas une tribu « indienne » en soi, mais plutôt un ensemble d’environ douze villages autonomes ayant chacun leur chef spirituel ou kikmongwi. Sans compter le Conseil Tribal et le B.I.A. (Bureau des Affaires Indiennes) qui sont fréquemment en désaccord avec les chefs spirituels.
Ces conflits entre factions que partagent de nombreuses réserves indiennes amènent certains chefs religieux à être contestés. Une question revient de manière cyclique: quel est le chef qui a le plus de pouvoir et qui représente la plus grande autorité religieuse ?
Il y a aussi la division entre les « hostiles » (qui sont contre la disparition de leur culture traditionnelle) et les « amicaux » (qui sont pour la croissance économique qui finalement anéantira leur culture). Un schisme qui est entretenu par le B.I.A. et le gouvernement tribal. Pour autant, il n’existe pas de ligne clairement définie dans la réserve. Tout se fait en cercle fermé et un non-Indien comme moi est constamment frustré en essayant d’obtenir une réponse claire et nette.
Je n’en veux pas aux Hopis ; par le passé, ils ont été exploités à outrance par des anthropologues, des hommes d’affaire et des chercheurs new âge en quête d’un chemin facile vers l’illumination. Par contre, ma thèse devrait bientôt être présentée aux Anciens par des Hopis natifs de la réserve. Jusqu’à maintenant, les réactions ont été positives.
Quoi qu’il en soit, je pense que le tracé de la constellation d’Orion dans le désert de l’Arizona parle de lui-même. Le lien entre des villages et d’anciens sites Hopis avec plusieurs étoiles de la constellation est incontestable. Orion est la constellation la plus importante des Hopis. Elle symbolise, par exemple, la cérémonie cruciale du solstice d’hiver.
Karmatoo :
Selon les prophéties Hopi, la Grande Purification commençera quand le kachina “Etoile Bleue” retirera son masque lors d’une danse devant des enfants non initiés. Que symbolise ce kachina : la découverte d’une planète cachée? La revelation “officielle” d’un contact extraterrestre?
Gary David :
Les Hopis ont une légende sur le kachina « Etoile Bleue » appelée Sakwa Sohu. Dans Le livre du Hopi de Frank Waters et de son informateur Hopi Oswald White Bear Fredericks, un ouvrage qui aujourd’hui est devenu une référence, on peut y lire que « la fin de toutes les cérémonies hopi aura lieu quand un kachina enlèvera son masque pendant une danse devant des non-initiés. » Selon la rumeur, cela se serait récemment passé dans la réserve Hopi, mais c’est évidemment difficile à confirmer.
Un certain nombre de candidats potentiels sont en compétition pour incarner la véritable identité de l’étoile bleue des Hopis qui, selon la prédiction, annoncera la fin du Quatrième Monde. Parmi eux on trouve :
La supernova 1987A. La lumière de cette supergéante bleue a été émise voici 160.000 ans et a atteint la Terre le 23 février 1987, quelques mois avant la Convergence Harmonique* et le début du compte à rebours jusqu’à 2012.
La venue de la comète Hyakutake en 1996 qui avait la plus longue trainée jamais observée.
Hale-Bopp, la « Grande Comète de 1997 ». De nombreuses personnes étaient dehors pour la regarder quand les « Lumières de Phoenix »* ont fait leur apparition en Arizona, la terre des Hopis.
Mira (comme « miraculeux ») est une grosse étoile géante rouge avec une queue de couleur bleue. Sa queue qui ressemble à une traînée de comète fait 13 années-lumière de long. Les Hopis disent qu’après l’apparition de l’Etoile Bleue (Sawa Sohu) qui prédira la Fin des Temps, l’Etoile Rouge viendra purifier la terre.
Entre le 23 et le 24 octobre 2007, la comète 17P/Holmes explosa, passa d’une magnitude de 17 à 2,8 (plus la magnitude est basse, plus elle est brillante) en à peine quelques heures et devint presque un million de fois plus brillante !
Le 14 mai 2008, la NASA annonçait la découverte de G1.9+0.3, la plus jeune supernova de notre galaxie. Elle a explosé il y a 140 ans à 26 000 années-lumière de la Terre. Elle a produit les électrons les plus énergétiques jamais observés pour un tel objet. (Astrophysicien de la NASA) et grandit à une vitesse de 5% de la vitesse de la lumière.
D’autres événements célestes à venir peuvent aussi être vus comme l’Etoile Bleue des Hopis. De plus, de nombreux présages signalent que la fin de notre ère est imminente. Des signes connus depuis longtemps par les chefs spirituels Hopis. Les prophéties suivantes ont été révélées au début et au milieu du 20ème siècle :
Des carrosses sans chevaux rouleront sur des rubans noirs (voitures sur l’asphalte)
Les gens se parleront à travers des toiles d’araignées (le télégraphe, le téléphone et aujourd’hui, le World Wide Web).
Une gourde de cendres tombera sur la terre et causera sa destruction (L’explosion de la bombe A à Trinity au Nouveau Mexique, Hiroshima et Nagasaki, les tests de la bombe H au Nevada.)
Des routes parcourront le ciel (contrail ? chemtrail ?) sur lesquelles des véhicules aériens se déplaceront.
Par quatre fois, des porte-parole Hopis se rendront dans la « Maison en Mica » (Le bâtiment des Nations Unies) et leur appel en faveur de la paix sera ignoré.
Les femmes s’habilleront comme des hommes (Mouvement de Libération des Femmes, etc.)
Des gens habiteront dans le ciel (Station Spatiale Internationale)
Inondations, famines, tremblements de terre et tsunamis ravageront la Terre.
Un événement se passera quand l’Amérique ne s’y attendra pas et provoquera des guerres. (11 septembre 2001 ?)
Karmatoo :
Certains Hopis se sont publiquement impliqués dans le phénomène ovni, comme Robert Morningsky et les Stars Warriors ou encore le Chef Dan Katchongva qui pensait que les apparitions d’ovnis étaient liées aux prophéties hopis. Est-ce purement anectotique ou le signe d’une connection réelle entre le peuple Hopi et des entités extraterrestres ?
Gary David :
En août 1970, de nombreux ovnis furent aperçus au-dessus de Prescott en Arizona. En deux semaines, plusieurs centaines de soucoupes volantes avaient été vues par des centaines de témoins. Cet événement poussa le chef du clan Hopi du Soleil, Dan Katchongva, ainsi que son conseiller et un interprète à partir pour Prescott, à 125 miles de son village de Hotevilla, pour en apprendre plus sur ces apparitions d’ovnis.
Il donna au Prescott Courier la signification d’un ancien pétroglyphe qui se trouve près du village de Mishongnovi, sur la deuxième mesa. Cette ancienne gravure rupestre montre un objet en forme de dôme. «Nous croyons que d’autres planètes sont habitées et que nos prières y sont entendues », disait-il. « La flèche sur laquelle est posé le dôme permet à ce dernier de voyager à travers l’espace, » expliquait encore Katchongva. « La jeune fille Hopi sur le dôme représente la pureté.
Les Hopis qui survivront au Jour de la Purification partiront vers d’autres planètes. Nous, les Hopis, avons vu ces vaisseaux et savons qu’ils existent. La pureté des vierges hopis au travers des âges ont attiré les kachinas volants qui sont des esprits messagers bienveillants. Paul Solem, un expert des prophéties Hopi et de la doctrine Mormon était aussi un personnage clé des apparitions de Prescott.
Il prétendait même pouvoir attirer des soucoupes volantes par le seul contact télépathique. Un jour, il a réuni un groupe dehors et a commencé à se concentrer mentalement sur un contact extraterrestre. Peu après il s’est écrié : « Ils sont ici ! Je ne peux pas les voir, mais je sais qu’ils sont ici. J’entends un qui vient me dire, ‘nous sommes ici, Paul !’ Il y a plusieurs personnes dans la soucoupe. Je les entends me parler. » Quelques minutes plus tard, un ovni qui ressemblait à une étoile apparu, s’arrêta et ensuite bougea dans une direction et puis dans une autre.
Il pensait qu’à l’instar des kachinas des Hopis, les êtres du vaisseau spatial étaient bienveillants et angéliques et qu’ils venaient de la planète Vénus. Il disait qu’ils portaient des cheveux longs, bien coupés qui tombaient jusqu’aux épaules et que la tonalité de leur voix était chantante et androgyne. Ce qui, somme toute, ressemble assez bien aux descriptions contemporaines des extraterrestres dits « Nordiques ».
Il reçut même un message de ces extraterrestres qu’il transcrivit comme suit :
« Nous venons pour donner un signe et ajouter foi aux prophéties hopis qui sont de nature divine. La peur et le chagrin affligeront très bientôt cette planète et peu en réchapperont. Notre maître qui avait parlé des prophéties hopis est mort ici (sur Terre) et était connu comme l’apôtre Saint Jean (le même que celui des évangiles). La venue du frère Blanc sera précédée par un énorme incendie et un tremblement de terre se produira lors de son arrivée. Nous sommes une des 10 tribus perdues et, à moins d’être rejetés, nous reviendrons ici plusieurs fois la nuit tombée. »
Dan Carlson, un investigateur local, disait que la région de Prescott exerçait un attrait quasi magnétique pour de nombreuses personnalités aussi connues que controversées de la sphère ufologique dont Georges Adamski, Daniel Fry, George Van Tassel et aussi d’anciens résidents de Prescott comme Bethurum et Georges Hunt Williamson.
« D’après les prophéties Hopis, remarqua Carlson, c’est parce que la région de Prescott est une terre promise que les ovnis apparaissent ici plus souvent et que de nombreux contactés y semblent attirés. Prescott est située sur les terres sacrées des Hopis où des êtres venus d’un autre monde sont supposés venir accomplir la prophétie. »
Parmi les anciens, le chef Katchongva était le plus actif à faire connaître au grand public les légendes du peuple Hopi et les prophéties sur la fin du monde. Il croyait que les visites continuelles d’ovnis présageaient, avec d’autres signes, la fin imminente du Quatrième Monde. Apparemment, lors de sa dernière visite à Prescott, un vaisseau spatial non identifié survola la ville à très basse altitude, environ huit cents pieds.
Dan Katchongva décéda dans d’étranges circonstances en 1972 à l’âge de 107 ans. Son corps ne fut jamais retrouvé. La dernière fois qu’il fut aperçu, il marchait dans un canyon ou un ovni avait été très récemment observé.
La relation historique entre les « boucliers volants », ou paatuwvota et les Hopis de l’Arizona s’inscrit dans leurs traditions. Les légendes parlant d’êtres venus des étoiles à bord de vaisseaux spatiaux et s’accouplant parfois avec les autochtones sont perçues comme une réalité par les peuples premiers et ne sont pas sujets à polémique.
Les lumières de Phoenix observées en 1997 ne sont qu’un exemple récent de ces légendes amérindiennes. Peut-être devrions-nous commencer à écouter la grande sagesse et l’expérience des premiers habitants de ce continent, spécialement des Hopis. Ils sont sur l’affaire depuis des siècles.
Source : Interview pour Karmapolis
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