Séismes : le gouvernement américain pris en flagrant délit de mensonge
Avril 2011 (Nouvelle Solidarité) – Dans une vidéo publiée hier et intitulée « Accroissement frappant des séismes de grand magnitude » (Vidéo plus bas), nos camarades américains du LaRouchePAC exposent les mensonges de l’Institut d’études géologiques des États-Unis (USGS – l’agence fédérale chargée de la surveillance de l’activité sismique).
Alors que Barack Obama a expliqué cette semaine que l’on ne peut rien faire contre les catastrophes naturelles et que la seule chose que l’on peut maîtriser sont les dépenses publiques – il a notamment coupé dans les programmes scientifiques permettant de prévoir les séismes – l’USGS affirme sur son site internet que la fréquence des tremblements terrestres décroit…
Mais l’argument est purement statistique car il choisit arbitrairement de mesurer le nombre de séismes supérieurs à 7 sur l’échelle de Richter. Or, si l’on prend comme mesure les tremblements supérieurs à 8, c’est-à-dire les « grands » séismes, l’on observe clairement un accroissement de la fréquence.
Séismes de magnitude 7 et plus.
Séismes de magnitude 8 et plus.
Le changement de repère entre 7 et 8 n’est pas anodin puisque l’échelle de Richter est logarithmique, c’est à dire qu’un séisme de magnitude 8 est 30 fois plus puissant qu’un séisme de 7, qu’un séisme de 9 est 30 fois plus puissant qu’un séisme de 8 et donc 900 fois plus puissant qu’un séisme de 7.
Si l’on regarde la fréquence des magnitudes 9, l’accroissement est encore plus grand puisqu’il y en a eu deux dans la dernière décennie (magnitude 9.0 en mars dernier au Japon et 9.1 à Sumatra en 2004) alors que le précédent date de 1964.
Et si l’on ajoute les grands séismes aux éruptions volcaniques ayant un indice d’explosivité (VEI) supérieur à 4, nous sommes dans la décennie la plus sismique depuis un siècle.
Eruptions volcaniques supérieures à 4 (VEI).
Séismes de magnitude 8 et plus (bleu) et éruptions volcaniques supérieures à 4 (vert).
Ne pas investir dans les systèmes de mesures et la recherche permettant de comprendre les causes des grands séismes et donc de les prévoir, est une négligence criminelle, aggravée lorsqu’on tente de dissimuler la réalité d’un phénomène menaçant la vie de millions d’êtres humains.
La relation entre activité sismique et activité solaire est établie, montrant une fois de plus que la vie terrestre est largement déterminée par des phénomènes physiques extraterrestres, y compris galactiques.
Pour assurer sa survie et son expansion, l’espèce humaine doit aller au devant de cette nouvelle frontière et se risquer dans l’inconnu, au contraire d’une société qui aujourd’hui se recroqueville sur de fausses certitudes, faute de voir loin.
Source : Solidarité & Progrès
Vidéo mentionnée en début d'article
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Obama contre les systèmes de détection sismique
29 mars 2011 (Nouvelle Solidarité) – Un nombre croissant de scientifiques n’exclus plus la forte probabilité que les Etats-Unis puissent être frappés dans un proche avenir de violents séismes identiques ou plus grave que celui subi par le Japon le 11 mars.
En effet, le pourtour de la cote ouest du continent américain, coïncide avec la « Ceinture de feu », un arc allant la Nouvelle-Zélande au Chili en passant par le Japon, l’Alaska, la Californie et l’Amérique centrale. On y dénombre 452 volcans (75 % des volcans émergés actifs ou éteints de la planète), qui bordent l’océan Pacifique sur la majorité de son pourtour, soit environ 40 000 kilomètres.
La Ceinture de feu coïncide avec un ensemble de limites de plaques tectoniques, de failles et de fosses océaniques, susceptible de se « réveiller » dans le cadre du regain actuel d’activité solaire intense.
Devant ce danger, 18 géophysiciens, sismologues et ingénieurs ont cosignés une lettre envoyé à l’Advisory Committee on Earthquake Hazards Reduction, chargé de réduire les dangers liés aux tremblements de terre, lui demandant de rétablir le financement du projet de satellite radar dit DESDynI (Deformation Ecosystem Dynamics of Ice). Ce projet, considéré comme prioritaire par le National Research Council, avait été confié à la NASA.
Les signataires notent que ce programme « fournirait un soutien essentiel aux priorités nationales liées à l’évaluation, la mitigation et la réponse aux catastrophes naturelles et anthropogènes (séismes, inondations, éruptions volcaniques, incendies, marées noires, etc.) ».
Pourtant, « à la grande surprise de l’ensemble de la communauté scientifique », l’administration Obama a supprimé le financement du satellite DESDynI du budget proposé par le Président pour 2012.
Les scientifiques estiment que : « dans le contexte des récents séismes à Baja California, Haïti, au Chili et en Nouvelle-Zélande, nous encourageons votre Comité à tenir compte de l’effet que le satellite radar DESDynI pourrait avoir sur la réduction des dangers liés aux séismes et sur la capacité d’évaluer rapidement les tremblements de terre et d’y réagir, pendant leur déroulement. »
Le programme DESDynI prévoyait au départ deux satellites, l’un transportant un système radar et l’autre un système Lidar (mesures par laser), pour un coût total de 1,6 milliard de dollars sur neuf ans. Autrement dit, une bagatelle par rapport au nombre de vies que le projet permettrait de sauver, ainsi que d’infrastructures vitales.
Rappelons que le principal conseiller scientifique d’Obama est John Holden, un écolo-pessimiste malthusien pour qui la plus grande menace pour la nature, c’est l’homme.
Source : Solidarité & Progrès
A chacun de juger, comme toujours…
Quelques sujets liés :
On pourrait presque se demander, pourquoi vouloir cacher les choses en déformant les explications ? comme si ces séismes n’étaient peut être pas si naturel que cela ?
Mais dans quel but ? rétorquerons certains, peut être une piste par ici :
Pour l’onu, éliminer les hommes sauverait la planète… !
Sur le site Planete-info, on trouve la véritable hantise des écolo-malthusiens : "Des décennies de gaspillage énergétique sont enfin possibles sans recours aux énergies alternatives et renouvelables, de quoi nous combler, nous enchanter !"
La vérité est que si ces technologies étaient au point, et elles ne le sont pas, elles réduiraient à néant la fantasmagorie millénariste des écologistes sur les hydrocarbures...
Le Club de Rome pourrait aller se rhabiller.
Le véritable problème est que les industriels, taraudés par les banquiers assoiffés de rendements à deux chiffres, entendent mettre en oeuvre une technologie destructrice, sans prendre le temps et les moyens d'envisager des solutions techniquement plus coûteuses mais moins invasives.
L'ampleur de la galette explique, sans la justifier, la précipitation des consortiums privés tandis que sur Wikipedia, l'article prétendument scientifique (en réalité consensuel) sur le gaz de schiste est en grande partie rédigé à charge.
C'est donc un cas d'école pour l'écologie qui, à deux pas des présidentielles, souhaite montrer ses muscles sur une situation abusive du point de vue de la santé publique et du point de vue industriel.
Source : Gaz de schistes : un cas d'école pour l'écologie malthusienne.
Chine versus usa… quand haarp entre en jeu…part.1
Anomalie magnétique, orages magnétique, présagent de catastrophes…?
Plus loin, plus vite, plus haut…Vers la folie industrielle !
Prédire les séismes depuis l’espace…Un bon pretexte ?
Vivons nous ‘’ les derniers jours ‘’ prédit par la bible… ?
Géo-ingénierie : l’ homme est devenu fou…!
Les enfants de la matrice, la prison ou nous naissons…
Manuel pour le nouveau paradigme…partie 1…
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