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Le blog de Merlin...

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Notre Soleil aurait un compagnon…Némésis le Soleil noir… !!

Publié par MERLIN sur 23 Mars 2010, 16:54pm

Catégories : #Insolite


Les extinctions massives et l’hypothèse Némésis …

 

C’est bien un astéroïde qui fut la cause de la disparition des dinosaures, nous apprend une dépêche de l’AFP du 5 mars, c’est officiel ça y est !

 

Puis 2 semaines plus tard c’est le contraire que l’on apprend. En effet voir cet article : Extinction des dinosaures: la thèse de l'astéroïde remise en cause ...

 

http://www.astrosurf.com/luxorion/Images/ecl990811-ando.jpg

Mais cela n’est pas nouveau depuis longtemps déjà beaucoup de scientifiques  soupconnent l'astéroïde d’innocence. Désigné coupable de la disparition des trois quarts des espèces vivantes terrestres il y a 65 millions d'années, l'énorme astéroïde, dont le cratère d'impact a été retrouvé au Mexique, est innocent.

 

A l'heure du crime, il était tombé depuis déjà très longtemps…

 

La science officielle veut à tout prix faire porter le chapeau à cet astéroide, on se demande bien pourquoi un tel acharnement ?!

 

Mais sait-on que l’extinction des dinosaures fut loin d’être le pire drame qu’ait connu la vie sur notre planète ? La vulgarisation scientifique parle généralement de 5 grandes extinctions massives qu’aurait connues l’évolution de la vie durant la préhistoire.

 

Pourtant, elles auraient été beaucoup plus nombreuses. L’hécatombe qu’elles auraient engendrée va bien au-delà de ce qu’on peut imaginer : « On considère que la biodiversité actuelle représente tout au plus 1% de toutes les espèces qui ont vécu dans le passé. En clair, cela signifie que 99% des espèces se sont éteintes ».

 

La vie n’a pas eu la vie facile…

 

Comment la Terre, lors de ces différents épisodes, a pu préserver la vie ? »  Personne ne sait encore comment la vie a pu traverser également ces banquises successives étendues à la planète entière.

 

Vint ensuite l’extinction du cambrien. Annoncée comme extinction massive, les récentes découvertes ont fait valoir un discernement plus fin ; c’est en fait 4 extinctions majeures qui eurent lieu durant le cambrien, réparties au début de cette période pour la première, puis irrégulièrement vers la fin.

 

Vers -440, c’est l’extinction massive de l’Ordovicien, peut-être attribuée aux rayons gamma d’une explosion cosmique. Elle serait la seconde extinction parmi les plus importantes. En fait, et pour être précis, il y eu deux extinctions qui se suivirent sur la période -450 à -440 Ma, marquant la transition entre l’Ordovicien et le Silurien, occasionnant la perte de 85% des espèces.

 

L’extinction du Dévonien est encore largement débattue. Survenue vers -376 Ma, elle pourrait avoir été une très longue extinction, mais aussi deux extinctions distinctes et rapprochées, voire une série d’extinctions lissées sur plusieurs millions d’années.

 

Les experts estiment que le taux de disparition des espèces aurait atteint de 70 à 82%. Parmi les deux causes évoquées (climat et impact extra-terrestre), aucune n’est pour l’instant retenue.

 

Le pire cauchemar de tous les temps arriva vers -250 Ma. Peter Ward parle d’Armageddon. C’est l’extinction la plus massive connue à ce jour. Elle aurait duré une dizaine de millions d’années pour finir par rayer de la carte la plupart des espèces : 70% de la faune terrestre et 90% de la faune marine.

 

Rien n’est clair, cependant, il aurait aussi pu y avoir une succession d’extinctions distinctes, et les causes proposées (volcan, corps céleste) sont toujours débattues.

 

C’est suite à l’extinction de la fin du Trias que les dinosaures auraient eu le champ libre à leur évolution, peut-être en raison d’un impact météorique qui,

ironie du sort, aurait provoqué leur disparition près de 150 Ma plus tard par un autre tueur de l’espace. Un pas essentiel dans l’évolution du vivant vient d’être franchi, puisque c’est après cette extinction, située aux alentours de -208 Ma, qu’apparaissent les premiers mammifères.

 

Enfin, dernière grande extinction, la plus populaire, et pourtant loin d’être la pire, celle des dinosaures, vers -65Ma, sur laquelle le lecteur n’aura aucun mal à trouver une abondante documentation.

 

Jusqu’à présent, c’est l’hypothèse de l’origine cosmique, en raison du pic d’iridium mis en évidence au passage K-T, qui prévalait sur l’hypothèse volcanique, mais le consensus n’était pas encore établi récemment. C’est la semaine dernière qu’on apprenait que le doute était levé, et que la cause était bien l’impact météorique.

   

Puis une nouvelle fois remise en cause tout récemment, cette théorie n’en finit pas de séparer le milieu scientifique !

 

PERIODICITE DES EXTINCTIONS : UN PHENOMENE CELESTE CYCLIQUE ?

 

Les approximations sur les datations de fossiles, ainsi que le mauvais discernement concernant la distinction entre plusieurs extinctions confondues en une seule, comme celles du cambrien, ont généré trop d’incertitudes pour établir l’existence d’une périodicité sur ces anciennes extinctions.

 

Toutefois, les découvertes d’extinctions plus récentes, réparties sur les derniers 250 Ma, moins célèbres en raison de leur caractère moins spectaculaire, ont laissé penser certains chercheurs que l’émergence d’une périodicité était parfaitement envisageable.  

 

En premier lieu, c’est Richard Muller et Robert Rohde, du Berkeley Lab, qui ont proposé la période de 60 Ma. Selon eux, cette période correspondrait à l’oscillation du système solaire de part et d’autre du plan galactique, créant des perturbations susceptibles d’envoyer des comètes du nuage d’Oort vers notre système solaire, et la Terre.

 

Un chiffre corroboré, au multiple près, pour la même théorie, par une étude plus récente, mais uniquement basée sur l’étude des impacts de cratères terrestres sur les derniers 250 Ma, menée par W.M. Napier et J.T. Wickramasinghe, pour qui la périodicité se situerait entre 25 et 35 Ma.

 

Une périodicité d’impacts terrestres semble donc bien établie…

 

Nous laisserons de côté, dans cet article, l’hypothèse de l’oscillation autour du plan galactique, qui nécessiterait une autre étude, pour faire une revue de la seconde hypothèse, celle de Némésis. Elle a été instaurée par D.M. Raup et J.J. Sepkoski, de l’université de Chicago, qui ont établi une période de

26 Ma.

 

Némésis… ?

 

Némésis y est présentée comme une « étoile de la mort », orbitant autour du soleil, et arrachant par interaction gravitationnelle, du fait de la forte excentricité de sa révolution, des comètes du nuage d’Oort. Cela générerait, durant chaque période, une « douche de comètes » pour le système solaire qui durerait entre 100.000 ans et 2 millions d’années.

 

La durée des douches de comètes pourraient expliquer pourquoi les experts ont du mal à distinguer si une extinction n’est pas en réalité la conjonction de plusieurs extinctions rapprochées, comme au Dévonien, et la légère instabilité de l’orbite expliquerait pourquoi on a du mal à fixer une période dans l’intervalle proposé : la période pourrait être légèrement variable.

 

Les correspondances récentes, relativement aux dernières extinctions, sont assez troublantes : en 1977, Walter Alvarez, géologue de Berkeley, constate le taux d’iridium anormalement élevé d’une couche K-T en Italie, et émet l’hypothèse d’une collision extra-terrestre ayant décimé les dinosaures.

 

Quand fut découverte une seconde anomalie en iridium dans le golfe du Mexique, et la mer des Caraïbes, datant de -35 Ma, l’évidence imposait la même hypothèse : une autre collision extra-terrestre, 30 millions d’années plus tard.

 

On tomba pile sur l’extinction qui marque la fin de l’Eocène et le début de l’Oligocène, survenue une trentaine de millions d’années après celle des dinosaures.

 

La dernière extinction, bien que mineure, est celle du Miocène moyen, survenue vers -11 Ma. Si son origine est toujours controversée, l’hypothèse d’une collision extraterrestre est en liste ; elle pourrait correspondre au cratère Nördlinger Ries en Allemagne.

 

Les 4 dernières extinctions se suivent selon une périodicité qui, si elle n’est pas parfaite, n’en reste pas moins troublante :

 

L’extinction du Cénomanien/Turonien vers -93 Ma, celle du crétacé vers -65 Ma, celle de l’Eocène vers -35 Ma, puis celle du Miocène vers -11 Ma. Respectivement suivant des périodes d’environ 28 Ma, 30 Ma et 24 Ma.

 

L’extrapolation de ces périodes en remontant le temps permet de retomber sur les anciennes extinctions ; sur les 10 dernières périodes, 8 extinctions correspondent, sauf la période 7 et la période 5, où l’on ne tombe pas sur une extinction, deux trous pour lesquels on a émis l’hypothèse d’évènement géologique à découvrir.

 

Raup et Sepkoski ont poussé le bouchon encore plus loin, en démontrant la pertinence de la période de 26 Ma sur les 12 dernières extinctions.

 

 CARTE D’IDENTITE DE L’ASTRE OBSCUR …

 

Ainsi le soleil pourrait avoir un compagnon obscur. Pourquoi obscur ?

 

Parce que si cet astre existe, sa non-détection, en dépit des immenses moyens technologiques à notre disposition, force l’évidence à opter pour une naine rouge. C’est l’hypothèse qu’ont émis Muller, Hut et Davis, qui semble la plus probable, quand on sait que les naines rouges correspondent à près de 90% de l’inventaire des étoiles de notre galaxie.

 

Leur faible masse et leur faible luminosité en font des objets difficilement détectables.

 

Un autre groupe de chercheurs, dirigé par Daniel Whitmire, astrophysicien à l’université de Louisiane, voit plutôt Némésis comme un trou noir, ou une naine brune (étoile avortée plus proche de la structure de Jupiter que du

soleil), qui serait totalement indétectable en raison de son éloignement.

 

Le système solaire pourrait donc bien être un système d’étoile double…

 

Quoi d’étonnant, puisque les experts estiment que plus de la moitié des étoiles de l’univers sont en fait des systèmes doubles. Le système solaire, système double ? Impensable ?

 

Pourtant, la signature de l’astre obscur pourrait d’ores et déjà avoir été détectée. De la même manière que Neptune avait été découverte par le calcul avant sa première observation, par mesure des anomalies orbitales d’Uranus, une équipe de chercheurs (Walter Cruttenden, Richard Muller et Daniel Whitmire) ont mis en évidence, ( en 2006 ), des perturbations dans l’orbite de Sedna qui trahiraient la présence du compagnon solaire.

 

Une précédente équipe, formée par J. Matese, P. Whitman et D. Whitmire, en étudiant la trajectoire de 82 comètes, avait déjà découvert, comme l’indique un article du Daily Telegraph du 18/10/2002, que leur anomalie orbitale laissait présager la présence d’un astre invisible.

 

En 2005, deux astronomes indiens (V. Balherao et M.N. Vahia) ont calculé que la masse de Némésis ne pouvait excéder 4% de la masse solaire. Elle serait actuellement à son aphélie, dans une trajectoire très excentrique, vers 180.000 UA, soit environ 3 années-lumière du soleil.

 

Un groupe de recherche, constitué par Carl Pennypacker, Frank Crawford, et Roger Williams, est actuellement sur ses traces, en mission à l’observatoire de Leuschner en Californie. C’est 5 000 naines rouges qui sont actuellement passées au peigne fin dans l’hémisphère nord.

 

Mais Muller a provoqué un véritable tollé dans le monde scientifique en déclarant que Némésis aurait une magnitude située entre 8 et 12 (un télescope de 200 mm pouvant observer jusqu’à la magnitude 13). Elle serait, selon lui, dans la constellation de l’Hydre, dans l’hémisphère sud.

 

Qui croire ?

En clair, avec un peu de chance, un astronome amateur pourrait la découvrir, à supposer son existence. Imaginez la gloire, le découvreur de la très discrète compagne du soleil, aurait son nom gravé dans le marbre pendant des millénaires. Anonymes, astronomes amateurs, à vos télescopes !

 

Nous ne connaîtrons jamais les effets destructeurs de Némésis, si son existence devait être avérée. A son aphélie aujourd’hui ( si les calculs sont justes), il faudrait attendre une bonne dizaine de millions d’années avant d’assister à une éventuelle nouvelle extinction. D’ailleurs, nous n’avons besoin de personne, nous sommes assez adultes pour nous détruire nous-mêmes en quelques siècles.

 

Mais deux chiffres étrangement similaires devraient attirer notre attention.

Une coïncidence, me dira le lecteur ! Peut-être … Mais une coïncidence suffisamment troublante pour être exposée :

 

- Les récentes études montrent que la biodiversité met entre 10 et 30 millions d’années pour se reconstituer après une « extinction ».

 

- Quelle est la périodicité des extinctions massives ? 20 à 30 millions d’années. La même !

 

C’est précisément quand la vie vient juste de se rétablir suite à une longue convalescence que le grand nettoyage suivant survient ; à peine les choses rentrées dans l’ordre, la Nature semble vouloir redistribuer les cartes.

 

On nous a toujours enseigné que la Nature arrivait seule à instaurer un équilibre. C’est en réalité le contraire qui se passe. A peine l’équilibre atteint, elle détruit tout, pour redéfinir une nouvelle création, mettant l’ancienne à la poubelle, comme si le temps d’une espèce donnée était compté.

 

99% de biodiversité déjà disparue, se rend-on réellement compte de l’énormité du chiffre ? Une espèce aurait-elle une espérance mathématique de survie sur une période donnée ?

 

C’est une des conclusions à laquelle arrive, quoique par un autre biais, la théorie du principe anthropique proposée par Brandon Carter : « Le principe anthropique prédit, par exemple, que la survie de notre espèce à travers les siècles est très improbable ».

   

Source : Alterinfo : John Lloyds

 

Némésis découverte… ?

 

Némésis est le nom donné à cet hypothétique compagnon du Soleil formant  avec celui-ci un système binaire à très longue période. Ce compagnon serait une étoile très peu lumineuse voire une naine brune (Les naines brunes forment une classe d'astres originale, de masse intermédiaire entre les planètes et les étoiles.) non détectée à ce jour.

 

Son orbite serait très excentrique, amenant celui-ci à s'approcher assez près du Soleil à chaque révolution. La proximité du compagnon causerait alors des perturbations dans le nuage de Oort, amenant un certain nombre de comètes s'y trouvant à plonger vers le système solaire  interne.

 

Cet excès de comètes dans la région où sont situées les planètes donnerait lieu à des risques accrus de collision entre ces comètes et la Terre, et serait responsable d'une grande partie des grandes extinctions des espèces vivantes.

 

Le nom de Némésis est tiré de la mythologie grecque, où il représente le nom de la déesse de la vengeance. Cet astre hypothétique ne doit pas être confondu avec l'astéroïde Némésis.

 

L'hypothèse Némésis…Caractéristiques attendues de Némésis…

 

 

D'après la troisième loi de Kepler, un corps orbitant autour du Soleil avec une période de 26 millions d'années aurait une orbite dont la taille (demi-grand axe) serait d'environ 90 000 unités astronomiques, soit plus d'une année-lumière.

 

Pour expliquer que ce compagnon hypothétique n'ait pas été détecté, il faut donc supposer que celui-ci soit extrêmement peu brillant, et soit donc une étoile de faible masse (naine rouge) ou une étoile avortée (naine brune), ce qui en fait un corps significativement plus léger que le Soleil.

 

L'hypothèse d'une période de 26 millions d'années ajoutées au fait que Némésis serait responsable du déclenchement de l'extinction des dinosaures lors d'un précédent passage au périastre indique qu'elle serait aujourd'hui située au voisinage de l'apoastre, c'est-à-dire qu'elle serait au voisinage de son point le plus éloigné du Soleil.

 

Pour provoquer périodiquement un excès de comètes dans le système solaire interne, elle doit également avoir une excentricité importante de façon à pénétrer le plus profondément dans le nuage de Oort à chaque révolution.

 

Il a été calculé qu'une étoile de 0,6 masse solaire aurait une influence négligeable sur le nuage de Oort si celle-ci le traversait à son extrémité. Pour affecter significativement le nuage de Oort, Némésis devrait certainement avoir une distance minimale d'approche au Soleil inférieure à une demi-année lumière, ou alors une masse significativement plus grande que 0,6 masse solaire.

 

Dans un tel cas sa luminosité aurait été telle qu'elle aurait été détectée et identifiée comme telle depuis longtemps. Némésis n'ayant pas été détectée, elle doit nécessairement avoir une distance d'approche plus faible qu'une demi-année lumière et une masse très faible. Même dans ce cas il semble difficile d'expliquer pourquoi elle n'a pas été détectée.

 

Muller prétend que c'est parce qu'elle se situe dans une région du ciel très dense en étoiles, à savoir celle du centre galactique (constellation du Sagittaire).

 

Némésis le soleil noir…

 

La douzième planète pourrait être un compagnon de notre soleil. La plupart des systèmes solaires observés dans notre ciel sont en effet des systèmes à double étoiles. Evidemment, le second soleil de notre système aurait pu être Jupiter comme l'a si bien montré le film 2010.

 

 

Contrairement à ce que l'on croyait, les naines brunes ne sont pas des étoiles complètement mortes. Elles sont capables de surprenants, mais brefs sursauts d'énergie, comme on l'a découvert par hasard.

 

Le télescope spatial Chandra, conçu pour observer les phénomènes les plus violents de l'univers, a enregistré de manière inattendue une éruption extrêmement faible, survenue sur une naine brune. Ces données exceptionnelles jettent un nouvel éclaire sur ces étoiles trop peu massives pour s'allumer, dont l'activité demeure mal connue.

 

Alors que l'on s'attendait à ce que l'étoile émette continuellement un faible rayonnement, elle n'a au contraire presque rien émis pendant neuf heures, avant d'éjecter une bonne quantité d'énergie sur une période de deux heures.

 

La recherche astronomique active de ce compagnon n'a à ce jour rien donné, mais elle continue…

 

http://fr.wikipedia.org/wiki/Plan%C3%A8te_X

 

 

La loi de Titius-Bode, qui donne une progression dans les positions des planètes, est utilisée avec succès pour prédire la présence de nouvelles planètes. D'une part en plaçant entre Mars et Jupiter une planète V qui aurait existé par le passé, corrigeant une anomalie de la loi. D'autre part en prédisant la position d'une planète plus lointaine que les planètes déjà connues.

 

William Henry Pickering en 1919 prédit l'existence et la position d'une nouvelle planète, nommée Planète O, en se basant sur les anomalies mesurées dans les orbites d'Uranus et de Neptune, mais les recherches menées à l'observatoire du Mont Wilson n'amenèrent aucun résultat.

 

Pluton fut découverte en 1930 par Clyde Tombaugh à Flagstaff, mais nous savons aujourd'hui que la masse de Pluton est beaucoup trop faible pour pouvoir engendrer des effets observables sur les mouvements d'Uranus et Neptune, et de Sedna.

 

En 1978, deux astronomes de l'observatoire de la Marine US à Washington, Richard Harrington et Thomas Van Flanders, établirent que les orbites de Neptune et Uranus avaient subi des perturbations venant de l'attraction gravitationnelle d'un mystérieux corps céleste non identifié et qui fut appelé la Planète X.

 

Cette mystérieuse planète aurait précédemment éjecté Pluton et Charon de leurs anciennes positions en tant que satellites de Neptune. Selon un rapport de Harrington à l'observatoire naval des États-Unis en août 1988, la Planète X, qui ferait trois à quatre fois la taille de la terre, aurait été piégée par le soleil dans une orbite très excentrique, très inclinée (30 degrés) sur l'écliptique avec une périodicité de 3 300 à 3 600 ans.

 

En 1992 ces mêmes scientifiques affirmèrent qu'il existait bien une 10ème planète intruse dans notre système solaire.

 

En janvier 1981, un astronome du National Radio Astronomy Observatory déclara que des irrégularités avaient été constatées dans l'orbite de Pluton, ce qui laissait supposer l'existence d'une planète encore inconnue au sein de notre système solaire.

 

En 1983, un télescope spatial IRAS embarqué à bord d'un satellite américain repéra dans l'espace lointain un objet inconnu ce qui fut rapporté dans le Washington Post du 30 décembre 1983 où fut publiée l'entrevue du responsable d'IRAS qui déclara qu'un corps céleste pouvant atteindre la taille de la planète Jupiter et pouvant être orienté vers la Terre au point de faire partie du système solaire avait été découvert vers la constellation d'Orion par ledit télescope en orbite.

 

Toutefois, une analyse plus approfondie et sans doute mensongère, révéla que, parmi les dix objets non-identifiés, neuf furent des galaxies lointaines tandis que le dixième était un intergalactic cirrus !

 

Aucun de ces objets n'a été identifié comme étant un objet céleste appartenant au système solaire, bien entendu...

 

L'année suivante, en 1985, D. Whitmire, J. Matese et Luis Walter Alvarez émettent la « théorie Némésis », qui suppose l'existence d'une « étoile ou planète tueuse » qui reviendrait périodiquement avec son essaim de météorites... pour semer déluge et extinction, dont celle des dinosaures : l'étoile Némésis, une planète X…

 

En 1987, un diagramme publié dans l'ouvrage New Science and Invention Encyclopedia montrait la position des sondes Pioneer 10 et Pioneer 11 par rapport à deux corps célestes officiellement non répertoriés : un soleil éteint situé à 537 unités astronomiques et une planète inconnue à 0.05 unités astronomiques de notre soleil.

 

La même année, la NASA reconnut officiellement l'existence de cette planète inconnue, une information répercutée dans Newsweek qui rapporta que la NASA mentionnait l'hypothèse de l'existence de cette planète : « La semaine dernière, la NASA fit une déclaration étrange : une dixième planète, excentrique, pourrait être en orbite autour du soleil ». Cette hypothèse n'a pas été confirmée à ce jour.

 

En 2003, l'astronome Alessandro Morbidelli de l'observatoire de la Côte d'Azur déclara qu'il s'attendait à ce qu'une planète soit découverte avec une orbite très allongée dont la période pourrait se compter en milliers d'années.

 

En effet, on a observé que la ceinture de Kuiper semble s'arrêter brusquement.

 

Cela révèlerait qu'une planète de la taille de Mars se serait formée dans cette région au début du système solaire et qu'elle aurait nettoyé, à mesure qu'elle grossissait, l'extérieur de la ceinture.

 

Suie au déclassement de Pluton de planète en plutoide, cela mis un sérieux coup d'arrêt aux recherches de la planète X, car les planètes naines du genre de Pluton dans notre système solaire sont beaucoup trop nombreuses pour intéresser individuellement le public.

 

Nos techniques de détection les plus poussées sont capables de détecter une planète de la même taille que la Terre à 70 ua du Soleil, une de la même taille qu'Uranus à 90 ua, une de la taille de Jupiter à 120 ua.

 

Bien sûr, les cieux sont très grands et le plus puissant des télescopes ne peut en regarder qu'une fraction minuscule à la fois. Pour donner une idée des distances, Pluton est à environ 30 ua pour le moment.

 

Et rapellons le, comme le souligne Mike Brown découvreur de Sedna , d'après les caractéristiques de Sedna, plusieurs théories suggèrent qu'une planète X doit  influencer son orbite.

 

Pourtant comme on l’a vue plus haut, une planète 5 fois plus grosse que Jupiter, mais presque invisble, puisque ce serait une naine brune pourrait bien exister finalement, la NASA l’avouant à demi mot !

 

En effet elle n'émetrait que dans l'infrarouge, confirmant ainsi comme par hasard, les propos du journaliste et écrivain Marshall Masters, qui dans un de ses livres, appuie la théorie de l'existence de la planète X, qu'il désigne comme Nibiru, dans le système solaire. Mais plus stupéfiant encore, Masters considère que le South Pole Telescope américain en Antarctique fut construit pour observer en secret cette planète.

 

L’Antarctique est un endroit idéal pour les observations astronomiques en infrarouge et en ondes courtes, il présente également l’avantage de pouvoir observer les objets en permanence sans la gêne du cycle jour-nuit.

 

Même si il est impossible d’imaginer qu’ un objet ne peut être vu qu’à partir du pôle Sud, car il pourrait être vu de l’ensemble de l’hémisphère Sud, l’avantage d’une observation en continue est un sérieux argument, et dans l’infrarouge, et en ondes courtes l’argument massue principal.

 

On peut lire sur les sites pseudos scientifiques par exemple, ou sur les blogs des sceptiques absolument pas scientifiques eux, cette phrase interessante, et maintes fois mentionnée pour sois disant clouer le bec des ‘ pro ‘ Nibiru :

Nul ne pourrait cacher Nibiru si elle existait… !

 

Il prennent également comme arguments, les astronomes ont atteint un point qui permet d’affirmer que Nibiru n’existe pas. Une grande planète (ou une naine brune) dans notre système solaire aurait été détectée par les astronomes depuis de nombreuses années, à la fois indirectement par ses perturbations gravitationnelles sur d’autres objets, et par une détection directe dans l’infrarouge.

 

Le Satellite IRAS de la NASA (Infrared Astronomy Satellite) a réalisé la première étude de tout le ciel en 1983, et plusieurs enquêtes ultérieures auraient également vu Nibiru si elle était là. En outre, si une grande masse passait par l’intérieur du système solaire tous les 3600 ans, on verrait ses effets perturbateurs sur les orbites des planètes intérieures, et nous ne le voyons pas.

 

Si une grande planète ou naine brune, se dirigeait vers le système solaire interne en 2012, elle serait déjà suivie par des centaines de milliers d’astronomes, professionnels et amateurs, dans le monde entier.

 

Et pourtant comme vu tout au long de cet article, tout cela ne tient pas ! Les sceptiques doivent hélas revoir leur copie !

  

Et comme le souligne le site Alterinfo,  l’extinction des dinosaures fut loin d’être le pire drame qu’ait connu la vie sur notre planète.

 

 « On considère que la biodiversité actuelle représente tout au plus 1% de toutes les espèces qui ont vécu dans le passé sur la Terre. En clair, cela signifie que 99% des espèces se sont éteintes ».

 

Alors Nibiru, Némésis, Vulcain, etc sont ils des phantasmes d’illuminés, ou pas ?

 

A vous de juger, comme toujours…

 

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C
<br /> <br /> Je vois dans cet article, 2 sujets qui en fin de compte, pouvait séparément, faire l'objet de 2 articles.<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> Pour l'extinction des dinosaures, il s'agit toujours d'une météorite, suivant l'idée officielle. Rien de changé à ce propos, si ce n'est, l'explication possible d'une origine. Ce qui<br /> reste intéressant, malgré tout, à spéculer.<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> Et pour Nibiru, ça se précise un peu, si on prend argent comptant, ce que dit la Nasa... <br /> <br /> <br /> <br />
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A
<br /> <br /> (suite) en 1987 un diagramme publié dasn l'ouvrage News science and invention encyclopédia mointrait la position des sondes Pionner 10 et Pionner 11 par rapport à deux corps celeste<br /> officiellement non répertorié: un soleil éteint à 537 UA et un planétoïde situé  à 0.05 Ua <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br />
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A
<br /> <br /> Bonjour à vous, je me permet quelques annotations ou compléments d'information.<br /> <br /> <br /> J4ai à ce jour écrit un livre scientifique toujours pas publié malheureusement, car en corus de lecture dans les maisons d'edition. Mes recherches m'ont permis de découvrir la réelle existence du<br /> 2e soleil de notre système solaire. Cela dit rien d'étonnant à cela vu que 95 % des systeme solaire découverts sont de type gémellaires ( 2 soleils). Notre soleil est une naine jaune et est<br /> l'étoile primaire. Le deuxième soleil baptisé par certains Némésis est une naine brune situé à 537 UA et dont la période de révolution combiné autour de notre soleil est de 30 000 ans. De<br /> nombreux élémtens explique ces chiffres mais je ne vais pas m'eterniser pour l'instant du moins sur les détails. sachez seulement q'une sonde américaine a découvert cette naine brune en 1987.<br /> Voici l'élément d'information:<br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br />
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M
<br /> <br /> Merci à Max, un membre de notre forum pour cette info qui enfonce le clou :<br /> <br /> <br /> Preuves persistantes d’un compagnon du soleil de masse Jovienne dans le Nuage d’Oort.<br /> Nous présentons une analyse ajournée dynamique et statistique des preuves cométaires du nuage d’Oort externe suggérant qu’il y a autour du soleil une étoile double non-serrée de<br /> masse Jovienne.<br /> <br /> Les résultats soutiennent l’hypothèse de l’existence d’un compagnon de masse 1-4 M_Jup orbitant dans la région la plus interne du nuage d’Oort externe.<br /> <br /> Notre prédiction la plus restrictive est que les angles de l’orientation de l’orbite normaux dans les coordonnées galactiques sont centrés sur la longitude galactique du nœud ascendant Omega =<br /> 319 degrés et l’inclination galactique i = 103 degrés (ou dans la direction opposée) avec une incertitude dans la direction normale sous-tendant 2% du ciel.<br /> <br /> Une analyse statistique bayésienne suggère que la probabilité de l’hypothèse du compagnon est comparable ou plus importante que la probabilité de l’hypothèse nulle d’un hasard statistique.<br /> <br /> Un tel compagnon a également pu produire l’objet Sedna détaché de la ceinture de Kuiper.<br /> <br /> La compagnon présumé pourrait être facilement détecté par le télescope spatial Wide-field Infrared Survey Explorer (WISE) [NdT : "Explorateur pour l’Etude à Grand champ dans<br /> l’Infrarouge"], récemment lancé.<br /> <br /> Télécharger l’article en entier ici (en anglais, PDF)<br /> <br /> <br /> <br />
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R
<br /> Plutôt qu'un commentaire, c'est une question qui me revient en lisant cet article (et peut-être y a-t-il un rapport) : quel est le 2ème foyer autour duquel tournent les planètes de notre système,<br /> le 1er étant le Soleil? Puisque la révolution des planètes est elliptique, ce 2ème foyer doit bien avoir une réalité astronomique ... mais laquelle?<br /> Merci pour vos lumières <br /> <br /> <br />
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P
<br /> <br /> Nibubu<br />     Pas tres d'accord avec toi , car un " vaisseau planete " pres des petites planetes telluriques , fait que l'energie degagee de ces engins , detruisent les planetes en question<br /> ( source : Aschtar Sheran ) . Ce qui signifie que si tu as raison sur Nibiru , il n'est surement pas la .Et comme dirait H.F.Thiefaine, "Encore plus loin , Ailleur ! " .<br />             A plus les potes <br /> !                                                   <br /> pierre<br /> <br /> <br /> <br />
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N
<br /> ne pas confondre Nibiru qui est un vaisseau 'planète', qui est pres du soleil, en attendant de pouvoir intervenir,<br /> comme pour le Phenix et tutti canti, si probleme sur terre<br /> (guerre nucléaire) et Herkobulus débaptisé en Némésis, merci <br /> <br /> <br />
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P
<br /> Bien , bien , que de questions , et de mysteres dans notre environnement proche . Il semblerait que la zone situee entre Jupiter et Mars, dite zone des asteroides , etait occupee par une planete<br /> qui fut detruite lors d'une guerre il y a 12000 ans . Cette planetes'appelait Marduke . Elle avait un satellite qui errat un moment dans le systeme solaire et vint se stabiliser entre Mercure et la<br /> Terre , depuit elle s'appelle Venus . Pour une expliquation plus claire , voir le livre de Velikovsky , " MONDES EN COLLISIONS " . Le deluge fut sans doute provoque par elle .<br />    Maintenant , sur intrenet , aucune photo recente de Jupiter ( avant janvier 2009) n'existe . Curieux non?  Aurait on un deuxiemme soleil dans le systeme? <br />    Quand a Nibiru, elle se cache bien , ou alors c'est une grosse desinformation savament orchestree .<br />    A<br /> plus                                                        <br /> pierre<br /> <br /> <br />
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