Ce sujet est extrait du site Ovnis-Direct et d’un article intitulé : Le dossier choc - EDF/ovnis : la "connexion". Un Dossier signé Daniel Robin pour Ovnis-Direct.
Je ne le reprends pas en totalité ici, mais vous pouvez aller le consulter dans son intégralité lien en bas de page.
Voici donc le sujet :
C’est un article daté du 22 janvier 2015 et publié dans le journal Sud Ouest qui m’a décidé à mener cette enquête sur une possible « connexion » EDF/ovnis. Cet article - fort intriguant au demeurant - est intitulé « C’est un ovni, pas un drone qui a survolé la centrale nucléaire ». A lui seul, ce titre représente une révélation d’une portée considérable puisque c’est la première fois, à ma connaissance, qu’un directeur de central nucléaire affirme publiquement que son usine a été survolée par un ovni.
Les propos de Monsieur Pascal Pezzani (directeur du Centre Nucléaire de Production d’Electricité du Blayais situé sur la commune de Braud-et-Saint-Louis en Gironde) qui ont été recueillis par le journal Sud Ouest sont sans équivoque : « Ici, on a pas vu un drone, on a vu un ovni et il n’y a eu aucun impact sur la sûreté de notre site. Notre position est claire, lorsqu’il y a survol du site, on porte plainte et on communique ».
Oui, l’article du Sud Ouest est bien une « révélation fracassante » parce que le public français, habitué à la politique du secret de la part d’EDF vis-à-vis de tout ce qui entoure les « incidents » liés aux centrales nucléaires, n’a pas souvent l’occasion d’entendre un haut responsable de cette importante entreprise d’Etat s’exprimer sur un sujet aussi controversé que celui des ovnis. Rappelons qu’EDF est un mastodonte de la production électrique avec ces 160 000 salariés qui travaillent dans différents pays (en Angleterre notamment), ses 40 millions de clients répartis à travers le monde, et ses 76 milliards d’euros de chiffre d’affaire en 2013.
Je suis donc encore « sous le choc » si je puis dire, lorsque je relis l’article de Sud Ouest. Car de deux choses l’une : soit le directeur de la centrale, Monsieur Pascal Pezzani, à fait une « grosse bourde » en avouant le survol de son usine par un ovni et il a donc été sanctionné pour cette maladresse, soit c’est sciemment qu’il a communiqué cette information avec l’accord de sa hiérarchie, et dans ce cas, c’est un aveu lourd de conséquences. Pour le moment, rien ne me permet de trancher pour l’une ou l’autre de ces solutions.
La Centrale Nucléaire du Blayais est située sur la rive droite de l'estuaire. Elle occupe une surface de 227 hectares, au cœur d'un marais.
Une centrale nucléaire américaine survolée pendant 20 minutes…
Cette affaire de la centrale nucléaire du Blayais me rappelle un autre cas similaire qui s’est déroulé en juin et juillet 1984 à la centrale nucléaire d’Indian Point à une quarantaine de kilomètres au nord de la ville de New-York. Nous extrayons les informations concernant ce dossier du livre de Philip J. Imbrogno intitulé : Contact Ultraterrestre, les recherches d’un enquêteur du paranormal sur l’épidémie secrète d’enlèvements (Ada Editions, publié le 19.01.2012).
La centrale nucléaire d’Indian Point est équipée de trois réacteurs qui produisent environ 2000 MWe (mégawatts électriques). Le site comprend deux réacteurs à eau pressurisée (REP) toujours en exploirtation : Indian Point 2, de 971 MWe nominal, et Indian Point 3, de 984 MWe nominal. Ces réacteurs ont été construits en 1974 et 1976 par la société Westinghouse. Ils appartiennent à la société Entergy Nuclear Northeast, une filiale d’Entergy Corporation. Entergy est resté propriétaire du 1er réacteur construit sur le site : Indian Point 1, réacteur qui est aujourd’hui à l’arrêt. Ce réacteur, construit en 1962 par Consolidated Edison a été arrêté en 1974 et il fait l’objet d’une conservation en l’état (disposition permettant de bénéficier de la décroissance radioactive avant démantèlement). Le site emploie 1500 personnes et bénéficie d’une étroite protection. Notons que l’installation de cette centrale a fait l’objet d’une importante controverse de la part des associations antinucléaires qui ont demandé son arrêt total en 1979.
Ce sont les enquêteurs du CUFOS (Center for UFO Studies) qui ont reçu le premier témoignage d’un agent de la sécurité responsable d’un des réacteurs d’Indian Point. Cet agent avait vu un ovni aux proportions gigantesques survolé le site de l’usine. Pour ne pas avoir d’ennuis avec sa hiérarchie, l’employé avait rencontré les enquêteurs du CUFOS de façon très discrète. Ses supérieurs ignoraient donc tout de sa démarche.
Le réacteur qui était sous la responsabilité de cet agent se trouvait dans une zone de haute sécurité qui ne pouvait pas être survolée sans autorisation. L’enquête qui a été menée sur ce cas exceptionnel s’est avérée difficile car le responsable de ce réacteur refusait toute intervention sur le terrain dans l’enceinte de la centrale. Il était interdit de pénétrer le secteur de la centrale et les employés ne devaient pas être questionnés. L’agent a indiqué aux enquêteurs du CUFOS que l’ovni avait été filmé par le matériel technique de surveillance de l’usine.
Ce qui est exceptionnel dans cette affaire c’est qu’il y a eu deux observations distinctes à Indian Point. La première s’est déroulée le 14 juin 1984 vers 22h15. De puissantes lumières ont été vues à proximité de la centrale et elles se sont ensuite dirigées directement vers les réacteurs. Ces lumières avaient la forme d’un « boomerang » et sont restées stationnaires une quinzaine de minutes au-dessus d’installations sensibles. L’ovni planait si bas qu’on pouvait nettement distinguer une masse sombre derrière les lumières. La présence de cette masse sombre a été confirmée lorsqu’un avion de ligne qui décollait (les feux de position de cet avion étaient visibles) a disparu de la vue des témoins (10 témoins et 3 agents de la sécurité) derrière celle-ci.
Dix jours plus tard, c’est-à-dire le 24 juillet 1984, le même objet, ou un objet semblable, est de nouveau apparu. Cette fois-ci, 7 agents de la sécurité l’ont observé pendant 20 minutes et ont pu voir une gigantesque structure qui a dissimulée les étoiles du ciel nocturne. La structure était donc bien solide et matérielle. Elle était aussi grande que trois terrains de football, confiera l’un des témoins. Cette observation fut bien plus alarmante que la première puisque l’objet est resté en vol stationnaire à très basse altitude juste au-dessus des réacteurs. Les agents de sécurité se trouvaient en-dessous de l’engin, leurs armes en main, attendant le signal pour tirer. La garde nationale, contactée, tenta d’identifier l’objet en vain et décida d’envoyer un hélicoptère qui aurait éventuellement ouvert le feu sur l’ovni. Cependant, l’ovni disparut rapidement et aucune tentative de ce genre n’a pu être entreprise.
Dans la centrale, un agent de la sécurité a pu voir l’objet sur les caméras de surveillance. Il avait la forme d’un immense « V ». Il a pu observer dans le détail sa structure. Toute la scène a été filmée par les caméras de surveillance. Il a pu voir des sortes d’ouvertures rappelant celles de dispositifs de mise à feu pour des fusées ou quelque chose de ce genre. Au moment où l’ovni survolait la centrale nucléaire, le système informatique de sécurité, les instruments du poste de contrôle, ainsi que les détecteurs de mouvements ont tous cessés de fonctionner. Sur les trois réacteurs, un seul était actif. L’ovni s’est positionné juste au-dessus de lui comme s’il connaissait l’état du réacteur. Peu de temps après, l’ovni disparaissait en se déplaçant lentement.
Bien que spectaculaire, l’affaire de la centrale d’Indian Point n’est pas un cas isolé, loin s’en faut. Nous savons maintenant que de nombreuses centrales nucléaires ont été visitées, non seulement aux Etats-Unis, mais aussi dans d’autres pays où ce type de production d’énergie électrique est largement utilisé. De ce point de vue, la France est l’un des pays les plus nucléarisés sur la planète, avec ses 58 réacteurs répartis dans 19 centrales nucléaires (une centrale regroupe plusieurs réacteurs) qui produisent environ 80% de notre électricité et son usine de retraitement de la Hague (Manche) qui est le plus grand site de recyclage des déchets nucléaires au monde.
Notons que l’usine de la Hague abrite des éléments contenant du plutonium qui sont entreposés dans quatre piscines situées dans des bâtiments dont les toitures ne sont pas blindées mais constituées d’une mince couverture en tôle. L’usine de la Hague se présente comme un centre de retraitement récupérant du plutonium qui est la matière (qui n’existe pas à l’état naturel) la plus dangereuse et la plus toxique qui soit.
vues aérienne de la centrale nucléaire d’Indian Point située au nord de la ville de New-York et qui a été survolée par un immense ovni en forme de « V » pendant une vingtaine de minutes environ.
Une convergence troublante…
Mon enquête sur la « connexion » EDF/ovnis repose sur trois types de faits qui ont pour point commun EDF et ses centrales nucléaires. C’est à partir du constat de la réalité d’une convergence entre tous ces faits qu’est née l’idée que l’entreprise EDF pourrait entretenir des liens privilégiés avec le phénomène ovni. Nous verrons aussi que cette « institution nationale » qu’est EDF, offre des caractéristiques spécifiques qui en font une entreprise pas tout à fait comme les autres.
Le premier type de faits est connu des ufologues puisqu’il s’agit de la relation - aujourd’hui bien établie - entre les installations nucléaires (civiles et militaires) et le phénomène ovni. L’indicent de la centrale d’Indian Point que nous avons relaté plus haut, illustre parfaitement cette première catégorie de faits au niveau international. Ajoutons que dès les premiers essais des bombes atomiques américaines qui ont été réalisés dans le cadre du Projet Manhattan, les ovnis étaient présents, et ils n’ont pas cessé de l’être tout au long du développement insensé des armes nucléaires pendant la guerre froide.
Un autre type de fait est la révélation faite par le journal Le Canard enchaîné de la découverte, en 2003, d’un dossier secret de 260 pages consacré aux extraterrestres dans la tour EDF de la défense. Nous reviendrons plus loin sur ce curieux fait-divers qui va dans le sens de la connexion EDF/ovnis.
Enfin, la troisième catégorie de faits concerne la fameuse « affaire des drones non-identifiés » qui défraye la chronique depuis plusieurs mois parce que ces « engins » ont survolé - et survolent peut-être encore en toute impunité - de nombreuses centrales nucléaires françaises. Les autorités (police, gendarmerie, militaires, personnel de sécurité des centrales) ont été jusqu’à présent incapables d’intercepter ces « drones », ni de les détruire, ou même simplement de localiser leurs utilisateurs, alors qu’elles disposent de tous les moyens techniques nécessaires permettant de le faire. Cherchez l’erreur !
Un dossier secret sur les extraterrestres…
Le Canard enchaîné du mercredi 8 avril 2009 a publié un article dans lequel il mettait en évidence les dérives d’EDF en matière d’espionnage de nos concitoyens. L’article, intitulé « EDF avait plus d’une opération d’espionnage au compteur », révélait que des sous-traitants spécialisés dans la « sécurité » et agissant sous contrat avec l’entreprise d’Etat (exemple : Kargus Consultats a signé des contrats avec EDF pour un montant d’environ 50.000 euros) s’était livrés au piratage informatique de l’association écologique Greenpeace. Les enquêteurs ont découvert dans les locaux d’EDF, et plus précisément dans l’armoire de Pierre François (un haut responsable de la « sécurité » chez EDF), un CD-Rom contenant des captures d’écran et des copies de fichiers provenant de l’ordinateur de Yannick Jadot, responsable des campagnes nucléaires de Greenpeace.
« Voilà des années qu’EDF est une maison de coups tordus. Cela tient peut-être au nombre d’anciens militaires, agents de renseignement et autre flics qui viennent y travailler après leur retraite », avouait au Canard enchaîné un cadre de l’entreprise.
Dans le même article du 8 avril 2009, Le Canard enchaîné dévoilait dans un paragraphe intitulé « Alerte aux extraterrestres » que : « Autre ingrédient de la culture policière maison, le recours systématique à des boîtes de sécurité extérieures. Comme le groupe Geos, spécialisé dans la protection des salariés expatriés, avec l’aide occasionnelle de gentils mercenaires. En 2003, Geos a réalisé un audit sur la tour EDF de la Défense. Y étaient signalées diverses failles dans la sécurité interne des locaux. Ainsi, lors d’une inspection nocturne, les enquêteurs avaient mis la main sur un rapport confidentiel de 260 pages consacré aux ... extraterrestres. Encore des ennemis prêts à tout, dont il va falloir s’occuper sérieusement » concluait ironiquement l’article.
Ce fait divers qui pourrait paraître anodin en apparence montre cependant qu’EDF s’intéresse de près au phénomène ovni et qu’en raison de ses relations étroites avec les services de renseignement, l’entreprise bénéficie d’une source d’informations précieuse sur ce sujet controversé. Comme le souligne fort justement Monsieur Troadec, journaliste spécialiste de la question des rapports entre les services de renseignement et le phénomène ovni : « On est quasiment en plein Watergate côté ambiance ! Anecdote que ce dossier sur les ovnis ? Pas si certain. On sait que Le Canard n’a pas pour habitude de publier des informations fausses, et ce n’est pas un poisson d’avril. Il n’a pas été possible d’en savoir plus, mais jamais l’existence de ce dossier n’a été démentie. Si l’affaire était unique on pourrait penser à un épiphénomène. Or l’histoire n’est pas seule en son genre ! ».
le portail d’entrée (une marquise de 24 mètres de diamètre située côté Parvis) de la tour EDF à La Défense (Paris). Est-ce un pur hasard ou le résultat de la fantaisie de l’architecte si l’entrée du bâtiment est comme survolée par une « soucoupe volante » ? En ce qui me concerne, j’y vois une sorte de « clin d’œil » peut-être pas tout à fait innocent de la connexion EDF/ovnis. La tour EDF est un gratte-ciel de bureaux construite en 2001 pour le compte de la société Electricité de France. Elle mesure 165 mètres de haut (ce qui en fait l’une des tours les plus hautes du quartier de La Défense). Le plan de la tour est lenticulaire (document ci-dessous). Dans sa longueur maximale, la tour mesure plus de 70 mètres de long tandis que sa largeur maximale n’excède pas 32 mètres. Le projet a été conçu par l’architecte américain d’origine chinoise, Ieoh Ming Pei, qui est aussi le concepteur de la fameuse et énigmatique Pyramide du Louvre inaugurée le 30 mars 1989.
Dans le cadre de ces mystérieuses manœuvres de drones au-dessus de nos centrales, il faut aussi mentionner plusieurs faits graves et inquiétants qui se sont déroulés à proximité du site militaire nucléaire de L’Ile-Longue situé dans la rade de Brest. C’est le porte-parole de la préfecture maritime, le capitaine de corvette Lionel Delort qui a révélé ces faits à l’AFP. Le site de L’Ile-Longue, situé sur la presqu’île de Crozon, abrite les quatre sous-marins nucléaires lanceurs d’engins (SNLE) de la force de dissuasion française.
La présence de ces drones au-dessus de la base a été détectée par le dispositif et les équipes de protection du site. « Ces détections ont été immédiatement traitées en mobilisant les moyens et les équipes de réaction prévus dans ce cas de figure », a précisé la préfecture maritime qui rappelle aussi que L’Ile-Longue est dans la zone P112 interdite de survol sans autorisation. « Tout survol avéré de drone au-dessus d’installations militaires fait l’objet d’une procédure judiciaire pour déterminer la nature et l’origine du survol et poursuivre leurs auteurs, compte tenu de la nature illégale de ces activités », a indiqué la Marine nationale dans son communiqué.
Selon le quotidien Le Télégramme, le survol de L’Ile-Longue s’est produit au moment où un sous-marin nucléaire effectuait des mouvements dans la rade. Ce survol aurait provoqué un impressionnant déploiement de forces.
L'île Longue, base sous-marine de la Marine nationale française pour ses sous-marins nucléaires lanceurs d'engins
Le lobby du nucléaire.
Qui dit « empire », dit « caste » qui contrôle de l’intérieur cet « empire ».
En France, le « lobby/empire » du nucléaire est incarné par des personnes qui occupent des postes clés au sein de la fonction publique et des grandes entreprises. Ces personnes sont issues d’établissement prestigieux comme le corps des Mines, l’Ecole polytechnique (France), ou l’Ecole nationale d’administration (ENA). Les deux principaux organismes du lobby nucléaire français sont l’entreprise Electricité de France (EDF) et le syndicat Confédération Générale du Travail (CGT). Ce lobby serait l’un des réseaux les plus influents de la 5ème République. Il serait présent à la fois dans les rangs de la droite comme dans ceux de la gauche (pluralisme politique).[]
Les principaux « acteurs » du lobby nucléaire français seraient les suivants : L’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA), le Commissariat à l’Energie Atomique (CEA), l’Institut de Radioprotection et de Sûreté Nucléaire (IRSN) Le groupe Areva, l’Autorité de Sûreté Nucléaire (ASN), l’Agence Nationale pour la gestion des Déchets Radioactifs (ANDRA), le Haut Comité pour la Transparence et l’Information sur la Sécurité Nucléaire (HCTISN), et la Société Française d’Energie Nucléaire (SFEN).
Dans une interview accordée au site Internet Le Journal de l’Energie (4 décembre 2014) suite à la publication de son livre L’Etat nucléaire (Albin Michel - septembre 2014), Corinne Lepage, ancienne Ministre de l’Environnement, confirme que : « Parce que l’industrie nucléaire est très bien défendue par le pouvoir. Les défenseurs de l’atome sont très présents au sein du gouvernement, très présents au Parlement, très présents dans l’administration française, très présents au sein des grands groupes industriels et économiques, et enfin dans une grande partie du monde académique ». On ne peut être plus clair. Mais, ce qu’il faut bien comprendre c’est que le lobby nucléaire français n’est pas isolé du reste du monde, bien au contraire. L’« empire » français s’inscrit dans un « empire » plus vaste qui s’étend à toute la planète.
Dans son livre intitulé Les mouvements sociaux face au commerce éthique (Editions Hermès/Lavoisier - 2007), le sociologue Thierry Brugvin affirme que : « Depuis la signature, le 28 mai 1959, de l’Accord OMS-AIEA (WHA 12-40), l’OMS paraît soumise à l’Agence Internationale de l’Energie Atomique (AIEA), pour ce qui concerne les risques liés à la radioactivité artificielle, notamment dans l’étude des conséquences sanitaires de l’explosion de Tchernobyl. Cet accord du 28 mai 1959 contraint l’OMS, avant toute déclaration publique portant sur les problèmes de santé liés au nucléaire, à consulter auparavant l’AIEA, afin de régler la question d’un commun accord. L’article III de l’accord prévoit de prendre certaines mesures restrictives pour sauvegarder le caractère confidentiel de certains documents ».
N’oublions pas que L’AIEA est elle-même sous l’influence du lobby de l’industrie nucléaire civile (Areva) et militaire.
Thierry Brugvin souligne que pour les projets de recherche : « Régler la question d’un commun accord avec l’AIEA, conduit à censurer l’expression de l’OMS dans le domaine des accidents nucléaires (…) ». Cette situation explique pourquoi en 1995, l’AIEA contestait les morts et les cancers de la thyroïde chez les enfants vivant à proximité de la centrale de Tchernobyl. Le Médecin chef de la Fédération de Russie signalait, en 2001, que 10% des 184.000 liquidateurs russes étaient décédés et qu’un tiers était devenus invalides. L’Ukraine a fourni 260.000 liquidateurs. Selon le communiqué de presse de l’ambassade d’Ukraine à Paris, publié le 25 avril 2005, 94,2% d’entre eux étaient malades en 2004. Lors des Conférences de Kiev en 2001, on apprenait que 10% de ces travailleurs sélectionnés étaient décédés (la moitié étant de jeunes militaires), et qu’un tiers d’entre eux était gravement invalide, leur situation se détériorant rapidement.
La World Nuclear Association (WNA) regroupe la plupart des entreprises de l’industrie nucléaire dans le monde. Cette organisation fait la promotion de ses activités sur son site web (http://world-nuclear.org) et publie régulièrement des données sur la production mondiale d’électricité d’origine nucléaire.
Aujourd’hui, le lobby nucléaire essaye de nous faire croire que la catastrophe de Fukushima est déjà « oubliée » et que les « enseignements » de ce drame ont même permis de rendre « plus sûre » le nucléaire, et que celui-ci est appelée à un avenir « radieux ».
Il est évident que cette grossière désinformation ne saurait être confortée par une courbe qui démontre clairement le contraire : alors que l’atome générait près de 17% de l’électricité mondiale en 2000, cette part est aujourd’hui inférieure à 10%.
Le lobby du nucléaire s’accroche désespérément à l’hypothèse de la remise en service d’une partie des réacteurs japonais mais, même si cette décision irresponsable était prise, elle ne ferait que retarder la chute brutale et irréversible de l’atome. La plupart des 400 réacteurs en service sur la planète sont anciens et les fermetures définitives se succèdent à un rythme bien plus élevé que les rares mises en service de nouveaux réacteurs. La réalité est implacable : le nucléaire est une énergie qui devient marginale alors qu’elle impose aux populations des dangers extrêmes (catastrophes, déchets radioactifs, contaminations, prolifération à des fins militaires, etc..), des problèmes insolubles (démantèlement des installations, déchets radioactifs) et laisse à nos enfants des factures incommensurables.
Malgré les pressions et les accords douteux utilisés, sans le moindre scrupule, par le puissant lobby du nucléaire pour imposer son idéologie, nous constatons que l’« empire » mondial de cette industrie mortifère vacille. C’est un fait : la production mondiale d’électricité à partir de l’énergie nucléaire diminue de façon significative et le lobby du nucléaire tente de masquer par la censure cet effondrement irréversible.
Dans ce contexte très défavorable pour l’industrie du nucléaire au niveau mondial, la connexion EDF/ovnis intervient comme un paramètre supplémentaire, imprévu et mal maitrisé par l’entreprise concernée, qui sème le trouble dans les esprits.
Incapable de contrôler le flux d’informations concernant cette étrange « connexion », EDF, par l’intermédiaire des responsables de ses centrales (voir ci-dessus les propos de Monsieur Pascal Pezzani directeur du Centre Nucléaire de Production d’Electricité du Blayais), fini par avouer que ses usines sont survolées par des ovnis.
S’agit-il d’un aveu d’impuissance face à une réalité qui ne peut plus être dissimulée, ou une divulgation sciemment préparée ? Après ce que nous venons d’exposer sur les méthodes peu orthodoxes de l’« empire » EDF, il me semble que c’est parce qu’il ne peut plus faire autrement qu’il a dévoilé - à contre cœur sans doute - quelques indices sur l’une des plus grandes énigmes de ce siècle.
Source d’origine, et article en entier : http://http://ovnis-direct.com/edfovnis-la-connexion-555210.html
Comme toujours bien sur, c'est à vous de juger...
Voir également ce sujet : Ce sont des ovnis qui survolent nos centrales nucléaire...
Ci dessous 2 vidéos qui montrent des "ovnis" qui survolent des sites nucléaires sensibles...