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Le blog de Merlin...

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Laser à rayons x atomique, et explosions nucléaires souterraines secrètes...

Publié par MERLIN sur 12 Août 2015, 18:38pm

Catégories : #Révélations...

Laser à rayons x atomique, et explosions nucléaires souterraines secrètes...

Dans ce sujet sur futura sciences : Le premier laser à rayons x atomique civil est né ! On y apprend des choses intéressantes, jugez vous-même, extrait :

Officiellement, jusqu’à cette année (2012), les physiciens n’avaient jamais pu réaliser un effet laser à rayons X avec des atomes.

 

Officieusement, les choses sont moins claires car en raison des applications militaires potentielles des lasers à rayons X et du programme de Guerre des étoiles qu’avait lancé Ronald Reagan dans les années 1980, certains chercheurs dont Philip Bucksbaum (le directeur du PULSE Institute for Ultrafast Energy Science de l’accélérateur linaire de Stanford, le Slac) soupçonnent que des lasers à rayons X utilisant des atomes aient bel et bien été réalisés pendant cette période.

Pour des raisons de secrets militaires, et parce qu’il faudrait des explosions nucléaires souterraines pour exciter les atomes, la découverte n’aurait pas encore été rendue publique.

On sait que des techniques d’optique adaptative utilisées aujourd’hui couramment en astronomie ont d’abord été développées par des astronomes travaillant pour l’armée américaine, dans le cadre du fameux programme de Guerre des étoiles. On l'appelait aussi L'Initiative de défense stratégique (IDS).

Sujet complet ici : Futura sciences

Cela fait donc plus de 30 ans que les militaires réalisent des explosions nucléaires souterraines en secret pour diverses réalisations, dont celle du laser à rayons x atomique !

 

Cela prouve, une fois de plus si besoin en est, que la recherche militaire à au minimum 30 ans d’avance sur la recherche civile, mais on sait tous ici que c’est bien plus que 30 ans.
 

On peut supposer, qu'ils font la même chose, dans les océans, et dans l'atmosphère, dans le plus grand secret bien entendu, pour réaliser des " armes " et autres applications pour le domaine du militaire bien entendu !

Alors bien sur, après on s'étonne des cancers, véritable fléau du XXe siècle, et autres mutations anormales partout sur la planète, des séismes dans des zones improbables, des Boum sous terrain entendu ici et là partout sur la planète, etc !

Et il n'y a aucune raison que tout cela ai cessé depuis...

 

Ils ont pratiqué des explosions nucléaires par milliers partout sur la planète, sous marine, en sous sol, et dans l'atmosphère, ils en auraient même effectuées dans l'espace en secret ( comète Shoemaker-Levy 9 ) et voulait même bombarder la lune au nucléaire !

 

En effet l'armé US " avait " prévue dans ses projets de bombarder la Lune au nucléaire pour montrer aux Ruskofs leur supériorité !

Mais il semble qu'ils ont tenté le coup tout de même, sauf que...

Dans le livre de Steven Greer " révélation tome 1, on peut lire le témoignage du colonel Dedrickson qui était déjà présent entre autre quand des ovnis, il en a compté 9 au total, ont survolés Washington en juillet 1952.

Il nous affirme qu'au moins à deux occasions les extraterrestres ont détruit des engins nucléaires envoyés dans l'espace, dont un avait été envoyé vers la Lune !


Au début des années 80 les militaires américains ont essayés de placer une bombe nucléaire sur la Lune pour faire des tests, des mesures scientifiques, et d'autres choses, totalement inacceptables pour tout homme normal et quelque peu sensé, et pour les races plus évoluées qui nous côtoient et nous observent, les ETs quoi.

Les ETs ont donc détruit les engins au moment ou ils se dirigeaient vers la Lune !


Ce Colonel nous affirme également que cela a été démontré plusieurs fois, à chaque fois que l’USAF a tenté le coup, les engins ont été détruit par un Ovni, qui suivait les missiles et les faisaient exploser en vol.

Ce Colonel était responsable de l'inventaire du stock d'armes nucléaires pour l'AEC ( Commission à l'Energie Atomique ), et il accompagnait les équipes de sécurité qui vérifiaient les armes du point de vue de la sécurité.

 

On se souvient de ces vidéos, ou l’on voit clairement des missiles balistiques détruis par des engins non conventionnels et inconnus sur Terre.

Il est souvent fait mention, et à juste titre d’ailleurs, de survols d’ovnis au dessus des sites nucléaires, qu’ils soient civils ou militaires, et ce, partout dans le monde.

 

Mais on comprend bien mieux pourquoi, en y regardant de près. Qu’est-ce que fait l’homme depuis qu’il a découvert la science de l’atome ? Il fait des conneries, des grosses conneries même…

 

Quelques exemples, juste pour donner une idée :

Mais avant tout, il faut savoir qu’il existe une échelle de gradation des accidents nucléaires, établie par l'Agence internationale de l'énergie atomique : l'échelle INES. Elle ne s'applique qu'aux événements civils, elle ne s'applique pas aux accidents et incidents nucléaires militaires, ni aux faits de guerre ou de terrorisme.

 

Certains états ne communiquent pas sur les accidents nucléaires.

 

Certains accidents sont couverts par le secret défense, leurs circonstances et leur gravité (pas de classement selon l'échelle INES) ne sont pas connues avec précision, et parfois pas connues du tout !

 

Et la liste connue, et pourtant impressionnante.

La France par exemple, dont on vante le sérieux et le savoir faire en matière de nucléaire, se révéle être une vraie équipe de branquignoles en fait.

Jugez vous-même cet exemple, on se croirait dans un épisode des pieds nickelés, ou un film des Charlots :

 

Vive la France…

Laser à rayons x atomique, et explosions nucléaires souterraines secrètes...

Les clichés ci-dessous sont authentiques !

 

Le premier mai 1962 les Français ont effectué un essai nucléaire souterrain à In Ecker, au Sahara. Pierre Messmer et Gaston Palewski, ministres, étaient présents (Messmer était à cette époque ministre de la défense).

 

Le tir fut effetué dans une galerie creusée dans un montagne, en forme de spirale, bouchée par du béton armé et par des poutrelles métalliques. Un système avait été aménagé pour permettre à des fils conduisant à des instruments de mesure de passer.

 

Lors de l'explosion le système d'obturation de cet orifice céda et il y eut rejet de matériaux radioactifs à l'extérieur. Ces photos ont été prises quelques instants après la mise à feu.

Ha mince chef, il y a quelque chose qui a foiré ...

Ha mince chef, il y a quelque chose qui a foiré ...

Au premier plan, des observateurs munis de caméras, portant des tenues de protection des plus sommaires. Deux ont la tête découverte. Ils ne sont pas équipés de masques.

 

Le vent rabattit le nuage vers les présents, le phénomène déclenchant une véritable panique. Messmer qui, étant donné la température ambiante avait refusé tout équipement, prit la fuite en voiture mais son chauffeur, au moment où la voiture traversait le nuage radioactif, laissa en fonctionnement l'air conditionné.

 

Les deux ministres furent irradiés. On ne dispose pas du bilan exact de l'accident mais ces photographies donnent une idée de l'importance des rejets.

Laser à rayons x atomique, et explosions nucléaires souterraines secrètes...

Le film sur cet événement fut montré sur France2 lors d'une émission " Irradiés pour la France" en 2005.

 

Les documents projetés et les témoignages recueillis qui furent présentés lors de cette émission son éloquents. Qu'il s'agisse du Sahara ou de Mururoa aucune précation n'était prise pour veiller à la sécurité des militaires. Ceci tranchait avec les précautions prises par les civils, travaillant pour le compte du CEA.

 

Lors des explosions aériennes au Sahara on envoya un hélicoptère survoler le "point zéro" quelques minutes après l'explosion, sans que celui-ci ne soit équipé de capteurs. On envoya aussi un char évoluer au dessus de ce terrain vitrifié par la boule de feu, sans qu'il soit non plus doté de moyens de mesure et que ses servants soient équipés de tenues de protection.

 

Comme commente simplement Messmer, Ministre des Armées à l'époque : " les Américains et les Russes faisaient pareil, alors on faisait comme eux ".

Laser à rayons x atomique, et explosions nucléaires souterraines secrètes...

La montagne, complètement cachée par le nuage de matière radioactive…

 

Le pilote de l'hélicoptère devint aveugle. Pire encore, après l'explosion souterraine d'In Ecker on envoya de simples soldats "recueillir des échantillons dans le tunnel en forme de colimaçon". Ceux-là ne firent pas de vieux os. Leur système immunitaire ayant été atteint on dut les placer sous atmosphère stérile et leurs familles ne furent pas autorisées à les approcher.

 

Lors de l'émission de France 2 où Messmer était présent sur le plateau se trouvait également la veuve d'un de ces soldats, rapidement décédé. Elle mentionnait entre autre le fait qu'elle n'avait pas pu bénéficier d'une pension de veuve de guerre, mais que son époux avait été "mis à la retraite à 32 ans".

 

Pendant le même temps un colonel avait bien insisté pour que le secret le plus absolu soit gardé concernant cette affaire "pour des questions de Défense Nationale". Cette pauvre femme, lors de cette émission, réclamait simplement que la mention "mort pour la France" soit mentionnée, concernant son défunt mari.

 

A aucun moment, concernant tout cet ensemble de faits la journaliste de France 2 ne posa à Messmer la question qui aurait du être ainsi formulée :

 

- Enfin, monsieur Messmer, vous étiez Ministre de la Défense Nationale en 1962. Vous l'étiez depuis 1960. Vous étiez donc bien au courant de tous ces faits en 1962, non ?

 

La question était beaucoup plus "molle :

 

- Monsieur Messmer, face à ces témoignages, votre réaction ?

 

L'épouse du soldat décédé " sut aussi très bien se tenir" ( sinon son intervention aurait été coupée au montage, comme le furent toutes celles que je pus faire à la télévision, concernant la question des essais nucléaires souterrains ). A propos de cette demande de mention l'ancien ministre fit cette réponse :

 

- Madame, pour que celle-ci figure sur l'acte il faut que le décès se soit produit en tant de guerre. Or ça n'était pas le cas. Pour qu'elle figure sur les états de service de votre époux il faudrait modifier la loi, ce qui n'est pas de mon ressort.

 

Un soldat ayant travaillé à Mururoa témoigne :

 

- Nous n'étions protégés de rien. Un jour j'ai vu des employés du CEA venir nettoyer des éléments métalliques au bord du lagon intérieur où nous étions en train de nous baigner. Il portaient des combinaisons qui leur couvraient tout le corps, et des masques. Ils nettoyèrent ces pièces avec une sorte de mousse que le vent entraîna vers nous, flottant sur l'eau du lagon. A aucun moment ils ne nous avertirent d'un danger quelconque.

 

Les essais nucléaires relèvent du secret défense. Il était donc impossible d'en faire état avant un délai de prescription de 60 ans. L'adjudant chef Jacques Muller, marié et père de cinq enfants, àgé aujourd'hui de 67 ans témoigne. Il a passé trente trois ans comme pilote d'hélicoptère dans l'Alat, aviation légère de l'Armée de terre.

 

Il était présent lors de cet essai raté, effectué au voisinage de la base d'In Amguel. Il est frappé de cécité depuis 1987 et est persuadé que cette dégradation de son état est lié à son irradiation. Il a cherché des témoins et a finalement obtenu que Pierre Messmer, ancien ministre des armées et présent lors du titre soit entendu au titre d'une commision rogatoire.

 

Le témoignage de Pierre Messmer, du 5 décembre 1995 :

 

J'ai été présent à In- Amguel en Algérie entre le 16 avril et le 14 mai 1962 pour assister à des essais nucléaires (...) J'étais accompagné de M. Gaston Palewski, lui même ministre de la recherche. Un incident est survenu à l'occasion d'un tir souterrain (...) entraînant une fuite de gaz et des poussières radioactives (...) Immédiatement, les personnels exposés ont été ramenés à la base vie et le soir, l'ensemble des personnes présentes sur le site, y compris les deux ministres, ont été soumis aux mesures habituelles de décontamination ainsi qu'à une visite médicale.

 

Les vêtements ont été incinérés. Je me souviens que 4 ou 5 personnes ont été évacuées en métropole mais leur cas ne paraissait pas alarmant. Je ne saurai vous en dire davantage. Je précise à cet égard que l'ensemble des opérations de tirs nucléaires de cette époque sont toujours classifiés secret-défense.

 

L'ancien ministre du général de Gaulle déclarera un peu plus tard devant les caméras de la TSR en livrant d'autres précisions sur cette journée du 1er mai 1962:

 

Nous étions en face d'une pollution extrêmement grave (...) et le vent a tourné d'un seul coup dans notre direction ». M. Messmer poursuit en admettant qu'il y a eut « beaucoup de problèmes d'organisation » et « une certaine panique ». Un témoignage qui recoupe précisément ceux des autres personnes présentes ce jour-là à In- Amguel, dont Jacques Muller, mais aussi, Gaston Palewski. L'ancien ministre de la recherche décédé quelques années plus tard d'une leucémie, et qui a toujours soutenu que le mal qui le terrassait, était la conséquence directe de cet accident nucléaire.

 

Le témoignage de Jacques Muller (qui avait 25 ans à l'époque des faits) :

 

On nous avait convié à venir assister à cet essai. Ça va être joli, nous avait-on expliqué. Nous étions en short et en chemise. Mais lorsque l'explosion s'est produite, une énorme flamme horizontale s'est échappée de la montagne face au PC de commandement (...) ... Alors là, je peux vous dire que l'exode de 1940 à côté, c'était rien. C'était la panique totale, le sauve qui peut général.

 

Le film montre une masse de témoignages de proches de militaires qui furent mêlés à des essais nucléaires, ce qui se termina rapidement par leur décès par cancer. Un officier avait été chargé de faire des prélèvement d'eau, en plongée, sur les lieux mêmes d'explosions souterraines sans combinaison protectrice est aujourd'hui décédé d'un cancer.

 

Ailleurs on voit des pilotes de " Vautours", biréacteurs de l'aéronavale, chargés de foncer à travers les nuages radioactifs, immédiatement après les explosions, pour y faire des prélèvements. Aucun système de mesure de radioactivité à bord des avions, aucun dispositif de protection, si ce n'est des "pare-soleil" pour éviter d'être éblouis par les lueurs.

 

Quand les avions se posent sur le porte-avion, les marins les manipulent à mains nues. L'aberration est partout.

 

Face aux témoignages des irradiés, Messmer joue les étonnés :

 

- Je trouvais étrange que les soldats ne bénéficient pas des mêmes mesures de protections que les civils (...).

 

Pressé de questions par la journaliste il finira par lâcher :

 

  • J'avoue que dans ce cas cité "ils" ont été sans doute un peu imprudents.

 

Je vous conseil fortement cette lecture : La bombe ne dégagea par 20 kilotonnes, mais 50. Les portes blindées cédèrent  qui est le témoignage du Colonel Clavert, qui commandait alors la section du BMDD ( Batterie Mobile de Détection Décontamination ) c’est assez éloquent !

 

Sur le site wikipédia sur cette page vous pourrez consulter la  ‘’ Liste d'accidents nucléaires ‘’ connues et répertoriée.

Laser à rayons x atomique, et explosions nucléaires souterraines secrètes...

Extraits :

 

Un rapport interne de EDF jamais diffusé au grand public fait état d'un relâchement de composés Alpha ( plutonium ) radioactif à l'extérieur de la centrale nucléaire. Ce relâchement a eu lieu lors des opérations de nettoyage visant à débarrasser les particules radioactives du cœur du réacteur, à travers des rejets directement dans la Loire sur une période de 5 années, sans avertir les populations locales.

 

29 septembre 1957, complexe nucléaire Maïak près de la ville d'Oziorsk en Union soviétique. Accident de niveau 6 sur l'échelle INES, il s'agit de l'accident nucléaire le plus grave qui se soit produit en Union soviétique avant la catastrophe de Tchernobyl. Explosion d'un réservoir de déchets nucléaires liquides, libérant un nuage radioactif qui contamine une région entière sur 800 km2. Plus de 200 personnes décèdent, 10 000 personnes sont évacuées et 470 000 personnes sont exposées aux radiations.

 

1972. L'usine de retraitement des combustibles nucléaires à West Valley, New York, ferme après six ans de fonctionnement. Elle laisse derrière elle des réservoirs contenant 2 300 m3 de déchets hautement radioactifs, qui contaminent par la suite le lac Érié et le lac Ontario.

 

30 septembre 1999, Tokaimura, à 160 km de Tokyo au Japon. Accident de niveau 4 sur l'échelle INES. L'introduction dans une cuve de décantation, à la suite d'une erreur de manipulation, d'une quantité anormalement élevée d'uranium (16,6 kg) dépassant très largement la valeur de sécurité (2,3 kg), est à l'origine de la réaction de criticité.

 

Cet accident de criticité a tué deux des ouvriers de la centrale et exposé 439 riverains à des radiations importantes. À 21h, soit 11 heures après le début de l'accident, les autorités décrètent le confinement de 310 000 personnes présentent dans un rayon de 10 km. L'enquête sur l'accident de Tokaimura a montré que les ouvriers de l'usine, gérée par l'entreprise JCO, violaient régulièrement les procédures de sécurité, par exemple en mélangeant l'uranium dans des bassines pour aller plus vite (AFP, 27/04/2000).

 

18 avril 2005, Sellafield, Angleterre. 83 000 litres de combustible liquéfié fortement radioactif, contenant environ 20 tonnes d'uranium et de l'acide nitrique concentré se sont échappés d'une fissure dans un tuyau et se sont répandus dans une cuve en acier inoxydable contenant 200 kg de plutonium dans l'enceinte de l'usine de retraitement Thorp située à Sellafield. L'enquête a montré que la fuite est restée inconnue pendant neuf mois.

 

1952 Chalk River, en Ontario (Canada). Une perte subite de l'eau de refroidissement au cœur d'un réacteur expérimental NRX provoqua une grande impulsion de puissance. Des explosions en série s'ensuivirent, elles propulsèrent le toit de l'enceinte de confinement des gaz qui demeura enfoncé dans la superstructure. Des fuites de gaz et de vapeurs radioactives dans l'atmosphère se produisirent, elles furent accompagnées par le déversement de 4 000 m3 d'eau dans des tranchées peu profondes non loin de la rivière des Outaouais. Le cœur du réacteur étant totalement anéanti, il fallut l'enterrer en tant que déchet radioactif.

Le 10 mars 1956, en mer Méditerranée, après l'échec d'un ravitaillement en carburant, un B-47 porteur d'armes nucléaires disparaît sans laisser de trace.

Et bien d’autres cas, tous plus lamentables et aberrants les uns que les autres !

Mais revenons aux explosions nucléaires secrètes…

 

Laser à rayons x atomique, et explosions nucléaires souterraines secrètes...

En dessous d'une à deux kilotonnes on a été amené à conclure que des explosions pouvaient être opérées en violation des traités dans des milieux comme du granit, des alluvions ou des dépôts salins et que dans ces conditions on ne disposait pas de méthodes fiables permettant de détecter de tels essais avec la technologie actuelle.

Entre ces deux domaines (charges supérieures à dix kilotonnes ou inférieures à 1 kilotonne se situe une plage où si on met en jeu des technique d'atténuation la détection reste problématique.

Voici quels sont les critères qui permettent d'envisager de réaliser des explosions nucléaires furtives.

- Le signal sismologique doit être en dessous du seuil de détectabilité des instruments de surveillance.

- La profondeur à laquelle est effectué le test doit être suffisante pour assurer le confinement des produits radioactifs après l'explosion de telle manière que les systèmes de détection des produits radioactifs ne puissent mettre le phénomène en évidence, en le différenciant des signaux d'origine naturelle.

- L'aménagement du site d'essai doit pouvoir échapper à toute surveillance par satellite.

 

Il est d’une évidence certaine que tous les pays ont connaissances de cela, et que tous pratiquent en cachette ces explosions nucléaires interdites !

 

Des dépôts de sel à des profondeurs modérées (100-1500 mètres) offrent des caractéristiques idéales à la fois pour l'atténuation et le confinement, ceci du fait des propriété rhéologiques du sel. En effet le sel reste compact vis à vis de charges de courte durée, alors qu'il offre des propriétés de plasticité et d'imperméabilité sur de longues périodes de temps.

 

Les USA et l'URSS ont effectué des explosions nucléaires souterraines à faible signature dans des cavités ménagées dans du sel, atteignant des puissances de 10 kilotonnes. En 1999 Davis & Sykes en ont conclu que cette technique de mise à feu dans du sel était le moyen le plus commode qu'une nation pouvait utiliser pour mener des essais nucléaires souterrains furtifs.

 

Les industries du pétrole et en général les secteurs qui s'occupent de l' énergie ont creusé des milliers de cavernes de ce genre pour assurer le stockage d'hydrocarbures comme le pétrole brut, le propane, le butane, l'éthylène aussi bien que de l'air comprimé. D'après Kedrovskiy, 1974, l'Union Soviétique a pour sa part créé de nombreuses cavités de ce genre à l' aide d'explosions nucléaires.

Enfonçons le clou : Une explosion de charge nucléaire de moins d'une kilotonne :

On peut obtenir une totale atténuation d'explosions ayant au maximum cette puissance à condition d'opérer dans des cavités ayant un diamètre de :

 

25 mètres dans du sel.  20 mètres dans une roche dure…

Un grand nombre de telles cavités existent ou on été ménagées de par le monde dans de nombreux pays. Leur creusement ne posent pas de problèmes techniques insurmontables et ces travaux restent d'un coût très modéré par rapport au coût de développement du programme nucléaire lui-même.

 

Se pose alors le problème du confinement. Le meilleur résultat est obtenu avec le sel. Après, c'est selon. Quand il s'agit de roches dures de bons résultats en matière de confinement peuvent être obtenus si on a pris des précautions en choisissant le site, la nature des roches et opéré à une profondeur convenable.

 

On peut aussi tester l'efficacité de la caverne en faisant détoner une charge chimique avant de procéder à l'explosion nucléaire et ainsi faire des vérifications d'étanchéité. C'est ce qui a été fait lors du développement des techniques d'explosions nucléaires furtives dans le site du Nevada.

 

Le site de ces explosions nucléaires souterraines devra être choisi de manière à minimiser les possibilités de détections par sismographe (une région à activité sismique relativement forte permettra de mieux cacher le signal dans le bruit de fond local).

 

Des explosions à forte atténuation (fully decoupled) correspondant à des charges inférieures à la kilotonne donneront des signaux correspondant à des magnitudes sismiques inférieures à 2,6.

 

Remarque : Une activité de foudroyage de galerie à Gardanne, à mille mètres de profondeur donne des signaux de magnitude 3. Donc, s'il y avait explosion nucléaire furtives leur signature sismique pourrait être assimilée à ce type d'activité.

 

En conclusion, pour l'ensemble des pays de l'hémisphère nord un événement d'une magnitude aussi faible passerait totalement inaperçu vis à vis du système international de surveillance (CTBT).

 

Dorénavant quand vous entendrez un puissant boum, dont l’origine semble indéterminée, il ne sera pas forcément cosmique. Mais sans doute et très probablement sous-terrain, car quand les militaires veulent quelque chose, ils feront tout et n’importe quoi pour l’obtenir, sans ce soucier 1 seconde des conséquences sur le vivant quel qu’il soit… !

 

Sources : Ataraxie.free / Wikipédia / jp-petit.org / Futura Sciences.

 

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Comme toujours c'est à vous de juger...

 

 

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C
Une info intéressante pour ceux qui ont encore un esprit patriotique absurde. Je pense notamment à tous ces militaires qui, sans réagir, ou sans le savoir, sont les premières victimes. La radioactivité existe aussi en fabrication de certains obus, avec l'uranium appauvri. L'obus est plus performant... mais bien sur, on se moque de l'effet, sur la santé des soldats, une fois explosé sur le champ de tir.<br /> Comme disait Coluche : il suffirait (en parlant d'une chanson) de ne pas l'acheter, pour ne plus l'entendre. Pour les militaires, c'est pareil. Pourquoi ils ne réagissent pas en refusant ces essais ou un champs de bataille en toute sécurité ? Ils sont "cons" comme nos élus, ces gars là ! Une bêtise humaine à tout les étages !
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M
Bonjour crami25<br /> <br /> Je pense que les militaires ne font pas exceptions(sauf quelques haut-gradés) comme la plupart des humains. Ils ont fait confiance à nos dirigeants, et le font encore pour une bonne part.<br /> <br /> Mais cela a changer, et l'effet boule de neige commence à apparaître. Notre civilisation est à un tournant majeur.<br /> <br /> Nous devons changer, ou nous disparaîtrons tous!
M
Bonjour Mario,<br /> <br /> Cette pub de merde est imposée par overblog, je ne peux malheureusement rien y faire.<br /> J'ai moi aussi dès que je clique quelque par sur mon blog, 2 page de pub de merde qui s'ouvrent.<br /> Cela est très énervant et a été signalé a overblog par nombre d'admin de blog, mais comme ça rapporte des sous, ils font la sourde oreille...et nous on doit se taper des pubs de merde !
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C
Adblock plus est ça sera fini !
M
Merci.<br /> <br /> Je vais essayer d'être plus rapide, et fermer la 1ere avant que la 2e ouvre :)
M
Bonjour Merlin, je suis Québécois.<br /> <br /> Il est étrange que presque qu'à chaque fois que je me branche sur votre site je reçois un pop-up(publicité), et même parfois il est assez virulent pour que je doive éteindre ma machine.<br /> <br /> Pourriez-vous me renseigner, sinon je ne reviendrez plus, et j'aime bien lire les sites comme le votre, que j'appelle affectueusement la 'résistance'. On manque de héros dans notre monde de fous!!!<br /> <br /> Merci
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M
Bonjour Zen,<br /> C'est lamentable, mais à peine surprenant en même temps.<br /> La valeur de l'être humain ne pèse pas bien lourd face à la possibilité de profits colossaux...<br /> Merci pour ce triste, mais éloquent témoignage.
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Z
Zen,<br /> Bonjour Merlin,<br /> Merci pour vos articles.<br /> Juste pour la petite histoire, cela se passe dans les années 60.<br /> Mon père travaillait dans des mines d'extraction d'uranium (comme soudeur). Il portait un badge formé de 2 lames d'or, qui lorsqu'elles se rapprochaient signifiait qu'il était temps de sortir (je ne connait pas la fiabilité de cet "ustensile"), de toute façon il y avait un anti-poison !!, qui consistait à boire un litre de lait par jour (il étaient obligé de le boire =assurance au cas où ? ou simplement "psychologique). Cela c’était LA sécurité.<br /> Encore mieux, ma mère à développé une leucémie. cette leucémie était due à la radio-activité, cependant, elle ne travaillait pas à la mine.<br /> On a appris bien plus tard, que lorsqu'un incendie se développait dans la mine, c'était l'eau d'alimentation de la (petite) ville qui était utilisée. L'eau étant peu abondante, elle était récupérée, filtrée et renvoyée dans le réseau.<br /> Dingue, incroyable, pas possible, allez, l'être humain n'a que peu valeur.<br /> Zen
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