Guerre froide, course à l'espace, bombe atomique, à la fin c’est toujours la Russie qui gagne… !
Avec le recul de l’histoire, on constate à l’évidence que le gagnant n’est pas celui que l’on croit, et/ ou que l’on nous désigne, et comme nous le verrons, ce n’est pas celui qui gesticule le plus, qui gagne forcément !
Tout commença sous le régime nazi, lorsque les V2, premiers missiles opérationnels et préfiguration des lanceurs de l'ère spatiale, furent mis au point et utilisés par les Allemands à la fin de la deuxième guerre mondiale.
Dès 1944, Soviétiques et Américains firent la chasse aux ingénieurs ayant travaillé sur les projets aéronautiques et spatiaux innovants des nazis. Des savants furent invités à rejoindre un camp ou l'autre dans le climat de guerre froide qui s'installait. Invités, convaincus, payés ou plus généralement et simplement enlevés, tous les arguments en vérité furent utilisés.
La prise de Berlin…
Les Alliés avancent alors plus rapidement que les Soviétiques. Ils sont susceptibles d'arriver à Berlin ou à Prague avant eux. C'est du reste ce que souhaitent Patton, Winston Churchill et Bernard Montgomery, qui craignent un futur conflit avec les Soviétiques.
Mais à la conférence de Yalta, en février 1945, les chefs alliés et Staline, se sont mis d'accord sur leurs zones d'occupation respectives. Le territoire à l'est de l'Elbe, comprenant Berlin, doit revenir à l'Armée rouge. Le commandant en chef des Alliés, Eisenhower, invoquant les accords et souhaitant épargner les vies américaines, arrête l'avancée de ses troupes : elles ne doivent pas dépasser l'Elbe alors que Berlin n'est plus qu'à une centaine de kilomètres.
L'ordre de ne pas passer l'Elbe est donné le 15 avril, soit trois jours après la mort de Roosevelt, alors que des têtes de pont ont déjà été installées et que les chars franchissent le fleuve. Cette décision porte un coup au moral des troupes américaines qui avaient connu jusque-là une avancée fulgurante péniblement contenue par quelques poches de SS.
Du côté soviétique, Staline avait caché à ses alliés et même à ses commandants que Berlin était son objectif militaire, prétendant que son effort principal porterait sur Dresde vers la mi-mai et que seules des troupes de deuxième ordre seraient dirigées vers Berlin.
Staline espérait en réalité dans un premier temps encercler la capitale mi-avril afin d'empêcher toute intervention des Anglais et Américains, puis prendre la ville et mettre la main sur la recherche nucléaire allemande qui y était située.
Les Soviétiques massent autour de Berlin plus de 40 000 pièces d'artilleries, 1 pièce tous les dix mètres !
Les combats sur Berlin débutent le 16 avril avec l'attaque de nuit.
Le 20 avril, après la cérémonie d'anniversaire d'Adolf Hitler, qui fête ses 56 ans, de nombreux hauts dignitaires nazis quittent Berlin précipitamment en abandonnant le Führer. Les Berlinois appellent cet épisode « la fuite des faisans dorés » Ils sont bien entendu capturés par les soviétiques.
Les lance-fusées russes, écrasent les derniers soldats allemands, qui se rendent les uns après les autres. Pendant deux semaines, c’est l’enfer jour et nuit. Seuls résistent jusqu’au bout quelques désespérés et quelques fanatiques, comme les quatre cents SS français de la division Charlemagne, qui font face à cent mille russes.
Le 30 avril 1945, à Berlin, les Russes sont à 300m du Führer bunker. Les SS tentent de brûler les corps supposés d’Hitler et d’Eva Braun. Les Soviétiques feront disparaître les ossements.
Le 2 mai 1945, les Soviétiques plantent le drapeau rouge sur le Reichstag. Les principaux chefs nazis sont capturés.
Pour vaincre l’Allemagne hitlérienne, le sacrifice russe a été immense : 20 millions de civils sont morts et 8 millions de soldats. Près de 15% de la population de l’Union soviétique.
A la fin de la guerre, 11 millions de soldats allemands sont encore prisonniers de guerre, dont 3,3 millions en URSS. Un an après la fin de la guerre, la plupart des soldats rentrent chez eux, mais seulement 2 millions de soldats rentrent des goulags et autres camps de prisonniers russes. Dans les années d’après-guerre, 1,3 million de soldats allemands sont prétendus mort au travail, de froid, de faim, et disparaissent dans des camps soviétiques. Les derniers soldats rentrent d’URSS en 1956.
A la fin de la guerre, l’URSS pratique des démontages massifs dans l’industrie allemande. En juillet 1947, seize pays participent à la conférence Marshall, mais certains pays d’Europe de l’Est sont obligés de refuser l’aide américaine sous la pression soviétique. Au total, les États-Unis dépensent plus de 12 milliards de dollars, dont 1,5 milliard en Allemagne de l'Ouest.
Alors que dans le même temps, dans la zone d’occupation soviétique, l’Union soviétique s’octroie des réparations sous la forme de machines-outils et d’infrastructures, et l’Allemagne verse 20 milliards de dollars à l’URSS à titre de réparation.
On connait tous l’opération Paperclip…
Avec l'entrée en guerre des États-Unis, est créé un camp d'internement à Fort Hunt en Virginie en 1942 pour interroger les prisonniers de guerre allemands ayant des connaissances techniques et scientifiques sur le complexe militaro-industriel allemand et ses systèmes d'armes perfectionnés tels les officiers de U-Boot, officiers de l'Afrika Korps ou scientifiques.
Près de 3 400 détenus sont ainsi passés par Fort Hunt entre 1942 et 1946, 600 interrogateurs avaient pour mission de leur soutirer des informations, en particulier sur les avancées technologiques du Reich.
L'Union soviétique chercha aussi à récupérer le savoir des spécialistes allemands encore présents sur le territoire qu'elle occupait. Ce fut le Département 7 (opérations scientifiques) qui fut chargé de l'opération. Tout d'abord, les personnels furent regroupés et purent continuer leurs recherches.
Au bout d'un certain temps, ils furent tous emmenés avec leurs familles dans le cadre d'un déménagement surprise dans plusieurs villes d'Union soviétique où tout avait été préparé pour les recevoir.
Ils furent cependant renvoyés en République démocratique allemande à partir de 1952 lorsque les spécialistes russes qui les entouraient eurent rattrapé leur retard technologique.
Premiers résultats…
Le 4 octobre 1957, Spoutnik-1, le premier satellite terrestre artificiel, est placé sur orbite par l'URSS. Il effectue 1 seule orbite en 96 minutes.
En pleine guerre froide, cette réussite soviétique stupéfie les Américains. Pour arriver à un tel résultat, l'URSS a forcément appris à maîtriser suffisamment la technologie des lanceurs. L'Amérique devient donc potentiellement une cible que l'on peut frapper à grande distance, éventuellement avec des armes nucléaires.
L'éloignement géographique est gommé par cette évolution. Les Américains ne sont pas seulement époustouflés par ce succès soviétique, ils ont peur. Ce sont bien principalement des considérations de défense nationale qui entraîneront les Etats-Unis dans la course à l'espace.
Un mois plus tard, le 3 novembre 1957, Spoutnik-2 emporte en orbite la chienne Laïka, qui trouve la mort dans l'expérience.
Triomphe soviétique…
L'URSS triomphe véritablement le 12 avril 1961 avec Youri Gagarine, le premier homme à parcourir une orbite terrestre, à bord de Vostok-1. Un nouveau choc pour l'Amérique et pour le monde.
Le 5 mai 1961, Alan Shepard devient le premier astronaute américain, le premier aussi à effectuer pour la NASA un vol suborbital, à bord de Freedom-7. Il est rapidement suivi le 21 juillet 1961 par Gus Grissom, à bord de Liberty Bell-7. L'espace se rapproche pour la NASA.
Mais l'URSS enfonce le clou le 6 août 1961 avec la mission Vostok-2 qui permet à Gherman Titov de parcourir 17 orbites terrestres.
La NASA peine à mettre au point son lanceur, la fusée Atlas, qui pose d'importants problèmes de sécurité. La date du lancement de la première mission orbitale est plusieurs fois reportée.
Triomphe américain, la Mission Mercury-6.
Enfin, le 20 février 1962, John Glenn, à bord de Friendship-7, effectue la première mission spatiale des Américains. Au cours d'un vol de 4 heures 55 minutes, Glenn accomplit 3 orbites terrestres.
L'homme qui gagne, l'homme qui perd…
Du 16 au 19 juin 1963, au cours de la mission Vostok-6 qui dure 2 jours 22 heures et 41 minutes, Valentina Terechkova devient la première femme de l'espace. Elle effectue 48 orbites terrestres. La durée de ce vol spatial soviétique dépasse le temps total passé jusqu'alors dans l'espace par les Américains.
Entre temps, John F. Kennedy lance le programme Apollo le 25 mai 1961…
Le programme avait pour objectif de poser un homme sur la Lune avant la fin de la décennie. Le 21 juillet 1969, cet objectif était atteint par deux des trois membres d'équipage de la mission Apollo 11, Neil Armstrong et Buzz Aldrin.
En moins de 10 ans, partant pratiquement de zéro, car aucun vol orbital américain n'avait encore été réalisé en mai 1961, on nous fait croire que les américains réussissent l’exploit de poser l’homme sur la Lune en 1969, et de les ramener !
Souvenons-nous de l'incendie au sol du vaisseau spatial Apollo 1 dont l'équipage périt brûlé et qui entraîna un report de près de deux ans du calendrier.
Juste avant le lancement du programme Apollo, les Soviétiques, qui disposent d'une avance importante et d'une fusée fiable pouvant emporter une grosse charge utile, continuent de multiplier les premières : Premier être vivant placé en orbite avec la chienne Laïka (Spoutnik 2), premier satellite à échapper à l'attraction terrestre (Luna 1), premier satellite à s'écraser sur la Lune (Luna 2), première photo de la face cachée de la Lune (Luna 3), premier être vivant à revenir vivant après un séjour dans l'espace (les chiens Belka et Strelka de Spoutnik 5), premier survol de Vénus (Venera 1).
On peut se poser la question du pourquoi les soviétiques ne sont jamais allées se poser sur la Lune ?
Peut-être tout simplement parce que cela était impossible pour l’époque…
Les states seraient allés sur la Lune, avec des ordinateurs de bords moins performant qu’une vulgaire calculatrice des années 2000 !
Comparer sa puissance de calcul à ce que nous connaissions en 2009 par exemple, soit 40 ans plus tard, est instructif. La fréquence d’horloge est de 2 Mhz quand nos ordinateurs personnels dépassent en 2009 les 3 Ghz. Sa mémoire vive était de 4 Ko, soit 4096 caractères, quand en 2009 le standard est plutôt de 4 Go.
L’ensemble des programmes devait tenir sur une mémoire morte (la ROM) de 32 Ko, alors que nos disques durs dépassent les 500 Go en 2009. Pour la programmer, pas de langage évolué, juste un assembleur très proche de la machine. Imaginez donc que sur votre bureau ou même dans votre poche, vous avez une puissance bien supérieure à ce dont les ‘’héros’’ de Apollo 11 disposaient pour aller sur la lune !
Heureusement les calculateurs dont la Nasa disposait au sol étaient un peu plus puissants. Un peu seulement car là encore leur puissance vous ferait sourire. Tout comme leurs capacités de communication d’ailleurs.
Dans un communiqué de presse envoyé à l’époque aux journalistes, la Nasa vante en effet la ligne à « haute vitesse » de transmission de données mise en place entre le centre spatial de Houston et le centre de la Nasa dans le Maryland. Une haute vitesse qui signifie 2400 bauds, soit 3333 fois moins qu’une ligne ADSL citadine en 2009.
Quant à la communication entre Apollo 11 et Houston, elle s’effectuait par ondes UHF, qui transmettaient des données à la vitesse de 1200 bauds, soit 150 caractères par seconde.
Plus surprenant encore…
Toute la puissance informatique de la mission Apollo dans une seule requête Google !
Les ingénieurs de Google se sont amusés à trouver ce qui, aujourd'hui, peut être comparé à la puissance informatique nécessaire à l'intégralité du programme spatial américain Apollo dans les années 1960.
La mort récente de l'astronaute Neil Armstrong a incité Udi Manber et Peter Norvig, deux directeurs de la Recherche chez Google, à se replonger dans les archives de l'informatique. Sur leur blog Inside Search, ils ont procédé à un "retour vers le futur" en comparant l'incomparable, la puissance informatique d'hier et d'aujourd'hui.
"L'Apollo Guidance Computer, l'ordinateur de vol du module lunaire de 1969, exécutait les instructions à une vitesse de 40 kHz (soit 0,00004 GHz), à peu près 100 000 fois moins vite qu'un ordinateur portable haut de gamme aujourd'hui", expliquent-ils à propos de la mission spatiale qui a envoyé Neil Armstrong et Buzz Aldrin sur la Lune. "Au sol, la Nasa avait accès aux ordinateurs les plus performants de l'époque, cinq unités centrales IBM 360/75".
Les deux ingénieurs comparent cette puissance informatique à celle d'aujourd'hui, et le constat est surprenant pour les non-avertis : "La puissance du temps de calcul nécessité par une recherche Google à l'heure actuelle correspond à celle nécessaire à l'ensemble du programme spatial Apollo, qui a duré 11 ans et a lancé 17 missions", affirment-ils.
En d'autres termes, quand on entre une requête simple sur le moteur de recherche le plus utilisé au monde, on met en mouvement la même quantité de puissance informatique qui a permis d'envoyer Neil Armstrong sur la Lune... en quelques millisecondes seulement !
Sur le direct télévisé supposé des astronautes sur la Lune en ce mois de juillet 1969, Jean Luc Godard le premier est passé au journal de TF1 en disant : Ce direct est un faux !
Quand Neil Armstrong refusait de jurer sur la Bible qu’il a marché sur la Lune…
De plus, il faut savoir qu’un astronaute, exposé sans protection, aux radiations des ceintures de Van Allen subirait plusieurs millions de rads par heure, or 500 rads sont généralement mortels. Mais heureusement les astronautes des missions Apollo étaient protégés… !
La ceinture de radiations de Van Allen, est une zone toroïdale de la magnétosphère de la Terre entourant l'équateur magnétique et contenant une grande densité de particules énergétiques. La rencontre de ces particules avec les molécules de la haute atmosphère terrestre est à l'origine des aurores polaires.
On peut, en réalité, considérer qu'elle est constituée de deux zones distinctes appelées « ceinture intérieure » et « ceinture extérieure ». La première, située entre 700 km et 10 000 km d'altitude, est constituée principalement de protons à haute énergie (jusqu'à plusieurs centaines de MeV à des débits de fluence de plusieurs dizaines de milliers de protons par centimètre carré et par seconde dans les zones les plus intenses) provenant du vent solaire et du rayonnement cosmique, piégés par le champ magnétique terrestre.
1 MeV = 106 eV. La température ambiante (~20 °C) correspond à 1/40 d'électron-volt (0,025 eV).
Pendant ce temps-là, les russes…
Entre 1970 et 1973 pendant seize mois, les Russes ont téléguidé depuis la Terre deux petits robots sur la Lune.
Ce succès, resté confidentiel pendant 20 ans, est l'un des plus grands exploits technologiques de l'histoire de l'URSS : le résultat d'un programme secret lancé par Krouchtchev en 1961.
Lunokhod 1 fonctionna pendant 11 mois au cours desquels il effectua un parcours d'une dizaine de kilomètres, pris 20.000 photos et réalisa 500 tests sur le sol lunaire.
40 ans après son alunissage, Lunokhod 1 répond encore aux Terriens…
Un tir laser dirigé vers le robot lunaire soviétique perdu de vue en 1971 s'est soldé par le retour d'un puissant signal lumineux réfléchi par le rétro-réflecteur de l'engin.
Localisé avec précision par LRO, Lunokhod 1 a fait l'objet d'une expérience de contact lumineux par les américains. Le robot soviétique dispose en effet d'un rétro-réflecteur qui renvoie la lumière exactement dans la direction d'où elle provient. Les astronomes de l'Observatoire d'Apache Point au Nouveau-Mexique ont utilisé leur télescope de 3,5 mètres de diamètre pour envoyer un faisceau laser en direction du site lunaire de Lunokhod 1.
A leur grande surprise, ils ont capté en retour un signal lumineux particulièrement fort…
Pour Tom Murphy, de l'Université de San Diego (Californie), « le retour du premier essai laser se composait de 2.000 photons. Après 40 ans de silence, ce robot a beaucoup à nous dire ». Par comparaison, le meilleur signal lumineux renvoyé par un rétro-réflecteur lunaire était jusqu'à présent de 750 photons (pour Lunokhod 2), loin devant les trois réflecteurs des missions Apollo 11, 14 et 15.
Les scientifiques se demandent bien pourquoi le premier robot soviétique renvoie 2,5 fois plus de photons que son jumeau, alors que son rétro-réflecteur devrait être recouvert de poussière lunaire.
Exemple de tir laser en direction de la Lune depuis l'Observatoire du Cerga.
Alors que dans le même temps les roches lunaire sont déclarées être des fakes, du moins pour l’une d’entre elle !
Roche lunaire Fake révélé…
La roche de '’ rock lune ‘’ avait été exposée pendant des décennies. Un morceau précieux au musée national néerlandais, une roche supposée provenir de la lune du premier homme sur la Lune, n'est rien de plus que du bois pétrifié, affirment les conservateurs.
Il a été donné à l'ancien Premier ministre Willem Drees au cours d'une tournée de bonne entente entre les trois astronautes d'Apollo-11, peu après leur mission sur la lune en 1969.
Lorsque M. Drees est mort, la roche a ensuite été exposée au musée d'Amsterdam. Elle était assurée pour près de 500 000 dollars, mais des tests ont prouvé qu'elle était fausse.
Xandra van Gelder, qui a supervisé l'enquête qui a démontrée que la pièce était un faux, a dit, cité par l'agence de nouvelles Associated Press : «Nous pouvons en rire."
Le "roc" avait été initialement examinée par la Nasa, a t-elle ajouté. L'organisme américain a donné des pierres de lune à plus de 100 pays à la suite des missions lunaires dans les années 1970.
Des responsables américains ont déclaré qu'ils n'avaient aucune explication pour la découverte du fake néerlandais.
Y aurait-il également des forêts sur la Lune ? Voir ici
Décidément on se demande comment la NASA a pu envoyer des hommes dans l'espace, puis sur la Lune, et être aussi négligée avec tout le reste, les photos truquées, les vidéos perdues, les échantillons fakes, les plans de fusée perdus, les déclarations erronées, les résultats d'études, les annonces mensongères etc etc...
Terminons avec la plus grosse et la plus puissante bombe atomique jamais fabriquée par l'homme, c'est la Tsar Bomba, fabriquée par les russes, et qu'ils firent exploser, elle avait une puissance de 50 mégatonnes et était une bombe atomique à hydrogène...
La détonation développa une boule de feu de 7 km de diamètre. L’éclair de l’explosion fut visible à plus de 1 000 km du point d’impact et le champignon atomique en résultant parvint à une altitude de 64 km avec un diamètre de 40 km... La chaleur fut ressentie à 300 km.
Elle devait au départ être testée à 100 mégatonnes, mais ramenée à 50 afin selon les mots de Khrouchtchev, « de ne pas briser tous les miroirs de Moscou ». !
De nos jours rien n’a changé, les States mentent toujours à tous les niveaux, provoquent des attentats et des guerres partout sur la planète, espionnent sans vergogne la terre entière, manipulent les dirigeants, les opinions, les médias des pays alliés, et la Russie telle la force tranquille, domine toujours le monde, mais d’une façon juste plus voyante que par le passé…
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