Le maïs celui par qui le malheur est arrivé…
Ce sujet du maïs, pourrait sembler anodin au premier abord, mais vous verrez vite que non, ce sujet est incroyable, il est traité ici en 3 partie, qui sont toutes les 3 assez impréssionnante, sans même parler du maïs trangénique, ou OGM, ceci est un autre sujet traité juste avant.
Les jardiniers Extra-Terrestres…
Par Christian Macé
On est pris de vertige à la lecture du livre prémonitoire de Jean Sendy "La lune clé de la Bible", paru aux éditions "J’ai lu" en 1969.
Voici la présentation qui en avait été faite au dernier paragraphe :
Pour finir, Jean Sendy nous propose une preuve expérimentale de son extraordinaire hypothèse : si les "Célestes" ont bien colonisé la terre au temps de Moïse, des traces de leurs bases nous attendent sur la lune, qui sera alors la "clé de la Bible"." Fin de citation.
L’auteur évoque aux pages 117 et 118 l’origine mystérieuse de certaines de nos céréales...
Peut-être bien des expériences d’adaptation venues d’ailleurs !
Il est bon de rappeler, à ce propos, le mythe du maïs, que les Amérindiens affirmaient être un "don des Célestes". Le maïs est le type même de la graminée d’agriculteur : grains fortement attachés à l’épi, tégument très facile à détacher.
Abandonné à lui-même, un champ de maïs est voué à la disparition, les grains qui ne sont pas mangés par les oiseaux pourrissent sur l’épi. Or, il n’existe pas de maïs sauvage, et on n’a jamais trouvé de plante qui puisse passer pour "l’ancêtre sauvage" du maïs.
Les botanistes ont, de mille façons, tenté de faire revenir le maïs moderne à l’état sauvage ; ils parviennent à le faire dégénérer, mais ils n’ont jamais obtenu une plante "sauvage", c’est-à-dire capable de perpétuer l’espèce sans l’aide de l’agriculteur. (Le blé sauvage existe, le blé cultivé revient facilement à l’état sauvage ; aucune légende ne présente le blé (ni le riz) comme un "don des dieux" : les "dieux", dans les civilisations du blé et du riz, n’ont fait qu’enseigner l’agriculture.)
Le maïs s’obstine à confirmer son mythe, de Célestes ayant apporté une graminée qui n’existe pas sur notre planète à l’état sauvage ;
Le blé et le riz s’obstinent à confirmer leur mythe, de Célestes ayant enseigné l’art de transformer en graminée d’agriculteur une graminée terrestre sauvage.
On ne peut d’ailleurs manquer de faire des constatations troublantes avec les manipulations génétiques exercées à l’heure actuelle, entre autres, sur... le maïs et le riz !
"La lune clé de la Bible" de Jean Sendy confirmé !
Le 5 février 1971 les astronautes d’Apollo 14 déposèrent sur la lune à Fra Mauro, dans l’Océan des tempêtes, le premier verset de la Bible écrit en 16 langues !
Voici ce qu’en dit feu Alfred Nahon dans son remarquable ouvrage "La lune et ses défis à la science", éd. Mont-Blanc, paru en 1973, pages 51 et 52 :
"Pourquoi le 1er verset de la Bible ?
Parce qu’il dit : "Au commencement, Dieu créa le ciel et la terre" ?
Non, mais parce qu’il signifie, dans la version originale en hébreu :
"Au commencement, les Elohim créèrent les cieux et la terre". Les Elohim, c’est-à-dire les dieux, les Célestes, les "anges", ces "géants qui trouvèrent belles les filles des hommes", ces "cosmonautes d’ailleurs", autrement dit...
Pourquoi sur Fra Mauro ?
Rappelons qu’un astronome, Robert Curtis, photographia une croix de Malte lumineuse dans Fra Mauro, le 26 novembre 1956... " .
Plus loin, pages 90 et 91 : "Chaque bras de la croix mesure plusieurs miles de long. Ils sont d’égale longueur et se croisent très exactement à angle droit... Ces photos ont été publiées dans le numéro de juin 1958, page 414, de Sky and Télescope, magazine d’astronomie de l’Université de Harvard.
Quant à Apollo 14, malgré toutes les précautions prises, le film qui montrait le retour des cosmonautes du cratère Cone (Fra Mauro) fut lui aussi "oublié" sur la lune... Sa projection, dans un petit coin de la NASA, a dû être passionnante. Robert Curtis, lorsqu’il a appris cet "oubli", a souri dans sa barbe.
L’équipage d’Apollo 14 avait aussi déposé près de Fra Mauro, une station scientifique ALSEP automatique avec générateur nucléaire de 63 W, qui convertit en électricité la chaleur dégagée par le plutonium 238.
Or, ce laboratoire lunaire s’arrêta de fonctionner pendant un mois, puis s’est remis à marcher mieux qu’auparavant, pour des raisons indéterminées annonça alors la NASA !
L’administration de l’espace a indiqué dans un communiqué que les appareils scientifiques montés à bord du laboratoire avaient cessé d’envoyer des informations le 18 janvier 1976 et avaient recommencé à transmettre le 19 février. L’engin, qui avait été déposé en février 1971, peut normalement fonctionner encore 2 ou 3 ans.
Une des énigmes concerne les instruments de mesure des particules chargées de l’environnement lunaire qui n’avaient jamais réussi à marcher pendant le jour et qui fonctionnent maintenant parfaitement !
La question se pose : mais qui donc est à l’oeuvre sur "notre" satellite la lune ?...
Par Christian Macé
Source : http://ovniparanormal.over-blog.com/
Regardons l’origine du maïs d’un peu plus près…
Sur le site futura science voici ce qu’on en dit :
Le mystère de l'origine du maïs résolu ?
Le maïs est une plante domestiquée par l'homme qui n'est pas présente à l'état sauvage ; il existe une controverse scientifique quant à son origine.
La plupart des biologistes considèrent que le Téosinte, une graminée sauvage mexicaine est l'ancêtre du maïs. Cependant, les différences morphologiques très importantes qui existent entre ces deux espèces sont les principaux arguments des détracteurs de cette théorie, qui considèrent qu'elles sont trop complexes pour être le résultat de mutations naturelles ou de la sélection humaine.
Une des différences fondamentales concerne l'organisation des grains : les grains de l'épi de maïs ne sont pas protégés, alors que ceux du Téosinte sont enfermés dans une coque.
Les récents travaux de recherche de l'équipe de John Doebley de l'Université de Madison (WI) éclairent le mystère de la domestication du maïs en apportant une explication de l'étape critique de libération des grains. En étudiant des hybrides du Maïs et de la Téosinte, ils ont montré que celle-ci est contrôlée par un gène unique codant pour un facteur de transcription.
De façon plus générale, ces résultats démontrent qu'une modification génétique réduite sur un seul gène peut induire une différence phénotypique fondamentale.
Source : Futura science.
Que nous dit Wikipédia à ce sujet…
Introduite en Europe au XVIe siècle, elle est aujourd’hui cultivée mondialement et est devenue la première céréale mondiale devant le riz et le blé. Avec l’avènement des semences hybrides dans la première moitié du XXe siècle, puis des semences transgéniques tout récemment, le maïs est le symbole de l’agriculture intensive.
La plante fut divinisée dans les anciennes civilisations d’Amérique centrale et méridionale et était connue chez les tribus d’Amérique du Nord comme l’une des trois sœurs.
Le nom scientifique de l’espèce est Zea mays subsp. mays. Le nom binomial lui a été attribué par Linné en 1753 qui créa un nouveau genre pour cette plante très différente des autres graminées connues à l’époque. Le nom générique, Zea, vient d’un nom grec, zeia, qui désignait dans l’Antiquité une sorte de blé, probablement l’épeautre.
Le maïs possède dix paires de chromosomes (n = 20). La longueur combinée des chromosomes est de 1 500 centiMorgan. Certains chromosomes du maïs présentent des « renflements hétérochromatiniens » :
domaines hétérochromatiques hautement répétitifs qui se teintent en sombre. Ces renflements sont polymorphiques aussi bien dans les souches de maïs que de téosinte. Barbara McClintock utilisa ces renflements comme marqueurs pour démontrer sa théorie des transposons qui lui valut le prix Nobel de physiologie ou médecine en 1983.
Le maïs reste encore aujourd’hui un important organisme modèle pour la génétique et la biologie du développement.
Il existe aux États-Unis un conservatoire de maïs mutants, le Maize Genetics Cooperation - Stock Center, créé par le service de recherches agricoles du ministère américain de l’agriculture et situé dans le département des sciences agronomiques de l’université de l'Illinois à Urbana-Champaign. La collection comprend au total près de 80 000 échantillons. L’essentiel de la collection consiste en plusieurs centaines de gènes identifiés, plus des combinaisons de gênes supplémentaires et d’autres variations héréditaires. Il y a environ 1 000 aberrations chromosomiques (par exemple translocations et inversions) et des cas de nombres anormaux de chromosomes (par exemple tétraploïdes).
En 2005, aux États-Unis, la Fondation nationale des sciences (NSF), le ministère de l’Agriculture et le ministère de l’Énergie ont créé un consortium pour séquencer le génome du maïs. Le séquençage qui résultera de ces recherches sera immédiatement déposé dans la GenBank (banque de gènes), institution publique chargé de conserver les données de séquençage du génome. Le séquençage du génome du maïs a été considéré comme difficile à cause de sa grande taille et des arrangements génétiques complexes. Le génome compte 50 000 à 60 000 gènes répartis parmi les 2,5 milliards de bases (molécules qui forment l’ADN) constituant ses dix chromosomes (à titre de comparaison, le génome humain contient environ 2,9 milliards de bases et 26 000 gènes).
L’histoire du maïs…
Lorsque les Européens découvrirent l’Amérique, le maïs était déjà cultivé du nord au sud du continent depuis les rives du Saint-Laurent (Canada) à celles du Rio de la Plata (Argentine). Le maïs a été vu pour la première fois par Christophe Colomb en 1492 à Cuba. Magellan le trouva à Rio de Janeiro en 1520 et Jacques Cartier rapporta en 1535 que Hochelaga, la future Montréal se trouvait au milieu de champs de maïs, qu’il comparait à du « millet du Brésil ».
Les Méso-Amérindiens (Olmèques, Mayas, Aztèques), peuples du centre de l’Amérique, en étaient très dépendants. Certains Nord-Amérindiens, le connaissaient également : c’est d’eux que nous vient le pop-corn.
La première introduction du maïs en Europe, et dans l’Ancien monde, est certainement due à Christophe Colomb au retour de son premier (4 mars 1493) ou deuxième (11 juin 1496) voyage en Amérique selon son propre témoignage.
Symbolisme…
Centeolt, dieu du maïs chez les Aztèques.
Dans les cultures mexicaines, le maïs est l’expression du soleil, du monde et de l’homme.
Dans le Popol-Vuh, la création du monde n’est achevée qu’après la troisième tentative : le premier homme, détruit par une inondation, était fait d’argile ; le second est dispersé par une grande pluie, il était fait de bois ; seul le troisième est notre père, il est fait de maïs.
Il est le symbole de la prospérité, considérée dans son origine : la semence.
Le maïs et l’alilmentation…
La plante entière peut être consommée par le bétail comme fourrage frais ou sec ou comme ensilage. Le maïs est une plante d’élevage d’embouche, elle permet donc d’engraisser plus rapidement les bovins et augmente ainsi la production de lait des vaches, au détriment de la qualité. La teneur assez faible du maïs en protéines et sa relative pauvreté en lysine et méthionine obligent à avoir recours à des compléments plus riches en azote.
Au niveau mondial, les deux tiers du maïs produit sont utilisés pour l’alimentation animale, 27 % pour l’alimentation humaine.
Il existe néanmoins de fortes disparités entre les continents.
En Europe de l’Ouest, la totalité du maïs ensilage et environ 80 % du maïs grain sont utilisés pour l’alimentation animale (bovins, aviculture et élevage de porcs). L’essentiel des 20 % du maïs grain restant est utilisé en amidonnerie et semoulerie.
Le maïs est l’aliment de prédilection des oies et canards gavés pour la production de foie gras.
Source : Wikipédia.
Voyons maintenant la derniere partie, qui n'est pas la moindre :
Le maïs est celui par qui le malheur est arrivé…
C’est ce que nous dit André Pochon, dans son livre : " Les sillons de la colère ".
Ceux qui ont regardé l'émission, " vue du ciel" de Yann Arthus Bertrand " 6 milliards d'hommes à nourrir " se souviennent de lui, j'en suis certain ...
Jugez plutôt :
Ce maïs originaire du Mexique qui ne pouvait être cultivée que dans le sud-ouest de la France jusqu’à ce que les Américains, aussitôt imités par l’INRA, créent un maïs hybride qui pouvait pousser dans toute la France. Un maïs dont le grain, dans les régions les moins ensoleillées, n’avait toujours pas le temps d’arriver à maturation, mais que l’on pouvait ensiler pour nourrir les bêtes en hiver.
Puis, car commerce oblige, le maïs - ensilage fut présenté comme la plante miracle et devint dans les années 1970 la base de l’alimentation bovine».
Maïs – saccage…
Dans les années 70 à grand renfort de publicité l'on persuade le paysan que le maïs c’est le progrès. La recherche scientifique ne s’intéresse plus qu’au système fourrager à base de maïs. Elle met au point une ration alimentaire qui associe le maïs riche en hydrate de carbone et le soja riche en protéines. Plus de soucis avec les foins, plus de bêtes à surveiller au pâturage.
Au lieu de laisser faire la vache dans son pré, il faut à nouveau labourer, semer, traiter, récolter, transporter, distribuer avec des machines puissantes et performantes, mais à quel prix !
Là où l’on vivait bien avec 20 vaches sur 20 hectares il en faut, désormais 40 sur 40 hectares. Agrandissement des exploitations, disparition de la moitié des familles paysannes en l’espace de dix ans et avec elles les écoles, les artisans et les commerçants de nos bourgs.
Ce même maïs est aussi responsable de la dégradation de l’environnement. Là où les vaches pâturaient à l’abri du vent et de la pluie, grâce aux haies et aux arbres épars, sur des parcelles d’un hectare, les grosses machines exigent du large. Les talus sautent, les haies sont rasées, les parcelles humides sont labourées, le paysage bocager fait place à la morne plaine. Les sols s’érodent, sous l’action du vent et de la pluie, perdant leurs minéraux et leur matière organique.
Facteur aggravant, le maïs-fourrage prend une telle importance qu’on le cultive plusieurs années de suite sur les mêmes parcelles. Cette culture laisse la terre à nu d’octobre à juin, d’où un lessivage total des nitrates polluant les nappes phréatiques et les cours d’eau, sans parler des pesticides et des métaux lourds.
La responsabilité du maïs dans la pollution de l’eau est si nette que la société Vittel interdit la culture du maïs à l’intérieur de son périmètre de protection des sources.
Voir le sujet passionnant dans son entier ici :