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Le blog de Merlin...

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OVNI et toute l'actualité extraterrestre, terrestre, et intraterrestre, toutes les infos cachées et secrètes...


Présence extraterrestre et ovnis les vrais enjeux...Partie 1...

Publié par MERLIN sur 19 Novembre 2008, 11:06am

Catégories : #Révélations...


            Présence extraterrestre et ovnis les vrais enjeux pour l'humanité …
  


Nous y voilà...

Après des siècles d’observation du phénomène ovni, et soixante ans de « black out » sur la réalité extraterrestre, il semble qu’on ait atteint la masse critique de témoignages, d’archives, de films et de photos civils ou militaires.
 


La question n’est plus de savoir si le phénomène existe, si nous sommes seuls dans l’univers, si ces engins aux prouesses technologiques incroyables sont pilotés par une intelligence, si les personnes qui prétendent avoir été enlevées sont démentes, etc.

N’en déplaise aux médias français paralysés par la peur du ridicule et le cartésianisme bon ton : l’heure est à la révélation et à l’avénement d’une réalité qui constitue un choc ontologique sans précédent pour l‘humanité. D’autres races que la nôtre sont en contact avec nous, certaines depuis des millénaires, d’autres depuis des décennies ; certaines bien intentionnées, d’autres non…

 

Qu’en savons-nous ?

 

Ce qu’en racontent les « whistleblowers » ou témoins privilégiés, ces militaires, américains pour la plupart, qui décident depuis quelques années de lever le voile sur ce qu’ils ont vu durant leur carrière, brisant ainsi le sacro-saint « Secret Défense »…

 

Steven Greer : « Le gouvernement de l’ombre garde le secret pour garder le pouvoir »

La position du docteur Steven Greer à l’égard des extraterrestres a le mérite d’être claire. Pour lui, si menace il y a, elle se place du côté des autorités militaires qui simulent des enlèvements afin de générer une aliénophobie dans l’opinion et justifier une militarisation de l’espace.

L’expolitique impose l’ufologie dans les médias

 

Avec la notion « d’exopolitique », le petit monde de l’ufologie s’apprête à quitter les rubriques « folkloriques » des médias pour rejoindre celles de la politique et des grands enjeux planétaires. Il était temps...

 

Michael Salla : « Je crois à une collaboration pacifique possible entre l’humanité et les extraterretres »

 

Docteur en sciences politiques, spécialiste de la politique étrangère américaine, Michael Salla est l’un des principaux promoteurs du concept d’expolitique.

 

Project Camelot : « En parlant, on fait le job du gouvernement »

 

Avec Bill Ryan et Kerry Cassidy, du Project Camelot, nous entrons dans un autre cercle de whistleblowers. Leurs deux témoins vedettes – le microbiologiste Dan Burisch et un autre scientifique connu sous le pseudonyme de Henry Deacon – nous livrent des témoignages en prise directe avec notre avenir...

 

Charles Hall : « j’ai vécu trois ans avec des Grands Blancs »

 

En tant qu’observateur météo pour l’US Air Force, Charles Hall a vécu, entre 1965 et 1967, sur l’immense base de Nellis, dans le Nevada (proche de l’Aire 51), avec ces humanoïdes à la peau crayeuse et aux grands yeux bleus qu’on appelle les Tall Whites ou « Grands Blancs »...

 

Sergent-major Robert Dean : de l’officier modèle au témoin privilégié

 

Dans les années 60, le sergent-major Robert Dean se voit confier un dossier de l’Otan classé « Cosmic Top Secret » dont le contenu va bouleverser sa vie : il s’agit de déterminer si les extraterrestres constituent ou non une menace pour les forces américaines, alors en pleine Guerre froide contre la Russie…

 

« Le sujet extraterrestre, c’est la boîte de Pandore. L’ouvrir, c’est tout faire exploser »

Aujourd’hui retiré dans l’Arizona, Robert Dean aspire à une retraite paisible.

 

 

Ce qui va se jouer, c’est notre liberté et notre identité …

Au regard de tous les témoignages, de toute la littérature documentée accumulée depuis Roswell, nier la réalité de l’intrusion extraterrestre relève de la pure cécité. Tout porte à penser que nous sommes à l’aube d’un « contact » officiel avec ces plus ou moins lointains « cousins » de l’espace et que la partie de cache-cache touche à sa fin.

 

Reste à ne pas céder aux sirènes de la peur comme à celles de l’angélisme…

 

Voici une Interview de Michael Salla, propos recueillis par Karma One .

 

« Je crois à une collaboration pacifique possible entre l'humanité et les extraterrestres »

 

 

Docteur en sciences politiques, spécialiste de la politique étrangère américaine, Michael Salla est l'un des principaux promoteurs du concept d'exopolitique. Il explique comment est né ce champ d'études et quel rôle il devrait jouer dans le paysage ufologique international.

 

Karma One :

Vous avez participé à la création du concept contemporain d'exopolitique pour approcher la problématique extraterrestre. Pourquoi avoir créé ce concept ?

 

 

Michael Salla :

Lorsque j'ai commencé à m'intéresser à la question de la vie extraterrestre et à ses implications politiques, j'ai cherché un terme qui puisse décrire au mieux ce type d'exercice d'érudition centrée sur l'analyse. Le terme employé par de nombreux chercheurs était « UFOlogie » ou encore « études ufologiques », mais selon ma propre conception du sujet, cette terminologie n'était pas judicieuse car elle focalisait l'attention sur un phénomène qui devait être matériellement analysé pour être identifié.

 

Par contraste, ce que j'avais découvert était un phénomène déjà identifié et, parce que celui-ci intéressait plutôt la sécurité nationale et la politique, il était bien entendu dissimulé au grand public.

 

À la recherche d'un vocable approprié, j'avais remarqué que le terme « exobiologie » était employé de manière récurrente pour l'étude de la vie extraterrestre par la Nasa et par d'autres scientifiques. Par conséquent, le champ émergeant de l'exobiologie m'a donné un modèle pour un terme adéquat désignant l'étude des faits politiques gravitant autour de la notion de vie extraterrestre, soit en anglais « exopolitics ».

 

Alors que ce terme a été employé d'abord par le futurologue Alfred Webre (ancien conseiller de Jimmy Carter) et par d'autres en 1999/2000, je lui ai conféré une définition conventionnelle de science politique en tant qu'étude des acteurs-clés, des institutions et des processus qui concernent la vie extraterrestre.

 

Karma One :

Est-il possible de travailler avec ce concept « d'exopolitique » alors que les médias conventionnels tendent à considérer les ovnis et les extraterrestres comme des sujets irrationnels, inexistants ou relevant du paranormal ?

 

Quel devrait être l'avenir de l'exopolitique si l'on veut un jour travailler avec les grands médias traditionnels et influencer l'opinion du grand public ?

 

 

Michael Salla :

Le terme « exopolitique » est important car il attire l'attention sur les aspects de sécurité nationale et les implications politiques de la question extraterrestre.

 

Il n'est pas si compliqué de montrer que toutes les enquêtes officielles de l'US Air Force à propos des ovnis ont été influencées par des facteurs de sécurité nationale.

 

Par exemple, la toute première étude, le programme « Sign/Estimate of the Situation » (estimation de la situation) en septembre 1948 n'avait pas la liberté de conclure officiellement en faveur de l'hypothèse extraterrestre pour des raisons de sécurité nationale et donc, d'influencer les médias.

 

Le capitaine Edward Ruppelt, premier directeur du projet Blue Book (livre bleu) a décrit comment le général Hoyt Vandenberg, chef d'état-major de l'Air Force, s'opposa formellement à ce que l'hypothèse extraterrestre soit incluse dans le rapport final. Toutes les copies du rapport original furent ainsi détruites et Ruppelt a pu consulter une copie qui avait échappé au massacre.

 

Dans le rapport « Robertson » de 1953, le problème ovni figurait comme un enjeu de sécurité nationale qui impliquait la désinformation dans les rapports officiels de manière à convaincre le public que les ovnis n'étaient pas réels.

 

Mais on assista à une belle abondance de témoignages issus de la sphère militaire confirmant que des documents avaient été détruits, des preuves écartées et des témoins menacés. Donc, depuis les premiers jours où l'on a marqué un intérêt pour le phénomène ovni, et jusqu'à aujourd'hui, tout fut fait afin d'éviter qu'un lien soit établi entre la sécurité nationale et la question extraterrestre, aspect qui mérite d'être étudié de très près.

 

Les médias ont été complices de la suppression de l'information concernant l'intelligence extraterrestre en suivant strictement les directives gouvernementales ayant trait à la sécurité nationale.

 

 

Karma One :

Le phénomène des témoins privilégiés semble acquérir une importance croissante si bien qu'il pourrait même provoquer des changements majeurs.

 

Michael Salla :

Le nombre de témoins privilégiés qui révèlent leur participation à des projets militaires, gouvernementaux ou industriels classés « Top Secret » concernant l'intelligence extraterrestre ou la technologie qui en découle est très important.

 

Parmi eux, nombreux sont ceux qui jouissent d'accréditations de haut niveau, possèdent une solide expérience professionnelle dont l'étendue est bien documentée. Par exemple, le contenu des archives relatives à la carrière du colonel Philip Corso corrobore un grand nombre de ses affirmations concernant son rôle dans la redistribution des technologies d'origine extraterrestre aux industries civiles destinées à générer des percées technologiques.

 

Récemment, Walter Haut, l'officier auteur de la dépêche originale relative au crash d'un disque volant à Roswell, a fait publier un procès-verbal d'authentification après sa mort. Ce procès-verbal d'expertise confirme la réalité du crash de Roswell, des passagers extraterrestres et de la récupération d'un vaisseau.

 

Ces « témoins privilégiés » ont déjà suscité de profonds changements dans notre société parce qu'un nombre croissant de chercheurs ont lancé des enquêtes pour vérifier leurs allégations et a estimé leurs témoignages crédibles.

 

L'effet cumulatif de ces enquêtes forcera de plus en plus les gouvernements à dévoiler les diverses composantes de la vérité.

 

Karma One :

Pensez-vous que ces témoins de l'intérieur puissent constituer également une source de désinformation ? Et comment le grand public peut-il faire la différence entre information et désinformation ?

 

Michael Salla :

C'est une question très importante. Je pense que la meilleure manière de faire le tri entre information exacte et précise et désinformation est de mener une recherche approfondie sur les auteurs et les documents éventuellement impliqués dans leurs affirmations.

 

La désinformation a tendance à ne pas être « sourcée » de manière précise en termes de personnes crédibles affirmant avoir été les témoins de contacts avec des artefacts ou des engins extraterrestres ou bien en possession de documents sur le sujet.

 

Les individus dits crédibles peuvent être interviewés et leur passé professionnel vérifié. D'un autre côté, la désinformation s'épanouit à partir de rumeurs suscitées par tel présumé témoin privilégié préférant garder l'anonymat et dont les propos ne peuvent être confirmés de manière indépendante.

 

Un autre critère s'avère très utile à employer : un témoin privilégié vraiment crédible restera cohérent dans son témoignage au fil des années. Par contraste, ceux qui sont impliqués dans la désinformation ont tendance à varier dans leurs propos, et ne veulent pas être cités « nominativement ».

 

En outre, la désinformation commence lorsqu'une série de rumeurs a pour but de semer le doute et de générer des dissensions parmi les chercheurs.

 

Karma One :

Qui peut se trouver derrière les entreprises de désinformation et pourquoi ?

 

Michael Salla :

Peu après la Seconde Guerre mondiale, les services du contre-espionnage se sont efforcés de semer le doute et la désinformation au sein du grand public à propos de la vie extraterrestre. Cela a été matériellement confirmé par le procès-verbal du témoignage de Walter Haut à propos de l'ordre initial lancé par le général Roger Ramsey visant à lancer des informations contradictoires concernant le crash de Roswell.

 

Walter Haut a soutenu en outre que Ramsey ne faisait que suivre les ordres du Pentagone. De fait, nous comprenons que l'armée américaine, dès cette époque, avait déjà mis en place une procédure de désinformation du public par la tromperie et les mensonges. Ces organismes militaires et gouvernementaux sont devenus de plus en plus sophistiqués avec le temps pour faire définitivement partie du système national de sécurité américain.

 

Par exemple, en 1951, le « Psychological Strategy Board » a été créé pour développer les stratégies de la guerre psychologique au cours de la guerre froide. En réalité, celle-ci a servi d'écran de fumée pour camoufler et mener discrètement une autre campagne de manipulation psychologique du grand public concernant la réalité de la vie extraterrestre.

 

Cette entité gouvernementale a été rebaptisée en 1953 « Operations Coordinations Board » (Bureau de coordination des opérations) et a poursuivi les stratégies de guerres psychologiques par le biais du mensonge, de la désinformation et d'un discrédit systématique.

 

 C'est cette organisation que le président Kennedy a tenté de démanteler avant son assassinat.

 

Karma One :

Et finalement, selon vous et selon vos conceptions du sujet, qui sont les témoins privilégiés les plus crédibles si toutefois ils existent vraiment ?

 

Michael Salla :

Je crois que Walter Haut est au sommet de ma hiérarchie des "whistleblowers" les plus crédibles étant donné qu'il était en poste sur l'aéroport militaire de Roswell et avait une connaissance intime de la vérité à propos du crash. Le fait qu'il était l'officier des relations publiques et également ami intime avec le commandant de la base - le colonel William Blanchard - donne du poids à son témoignage.

 

Il y a deux autres noms que je voudrais ajouter à cette liste parce que de la documentation donne du crédit à leurs affirmations : feu le lieutenant colonel Philip Corso et le commandant sergent-major à la retraite Robert Dean.

 

Karma One :

Feu Jim Keith, un journaliste d'investigation spécialisé dans le « mind control » et les ovnis, Helmut Lammer ou aujourd'hui Steven Greer affirment que les extraterrestres n'enlèvent pas les gens.

 

Greer explique que ces enlèvements sont perpétrés par une faction du gouvernement de l'ombre obsédé par le « mind control » afin de générer auprès du public un sentiment de peur et nous préparer à une guerre contre les extraterrestres dans la droite ligne du scénario de la guerre contre le terrorisme. Que pensez-vous de cette hypothèse ?

 

Michael Salla :

Je suis à la fois en désaccord et en accord avec certaines parties de l'analyse de Greer sur le phénomène des abductions. D'abord, parlons de mon désaccord.

 

Il existe des preuves abondantes de l'existence d'authentiques enlèvements pratiqués par certains extraterrestres qui s'adonnent à des procédures médicales invasives sur des humains et qui s'avèrent avoir un effet traumatique profond. Tout cela est très bien documenté par les travaux du Dr John Mack (« Ni fous, ni menteurs : enquête sur les enlevés ») et du Pr David Jacobs qui ont personnellement examiné des centaines de cas d'enlèvements.

 

Je suis en désaccord avec l'analyse de Greer selon laquelle ces abductions sont exclusivement le résultat d'enlèvements militaires - le phénomène « Milabs » (military abductions) - dans lequel les victimes sont sujettes à des procédures de « mind control » qui impliquent l'incrustation de faux souvenirs d'extraterrestres ou une exposition à de faux extraterrestres qui seraient des formes de vie robotiques.

 

Le travail du Dr Helmut Lammer sur le phénomène « Milabs » admet par ailleurs la possibilité qu'il soit suivi par d'authentiques expériences d'enlèvements perpétrés par des extraterrestres. Ce travail n'exclut pas la possibilité que les extraterrestres jouent un rôle important.

 

Je considère personnellement que le phénomène « Milabs » ne concerne qu'un pourcentage relativement faible de personnes qui sont enlevées dans des buts de surveillance et d'études. Il serait logique que le gouvernement de l'ombre étudie des individus enlevés par des extraterrestres pour découvrir quelles sont leurs dernières motivations et techniques, tenter de les répliquer au mieux et, bien entendu, pour camoufler leur propre intervention.

 

En revanche, je suis d'accord sur le fait que le phénomène des enlèvements est devenu une partie intégrante d'un programme de désinformation ayant pour but d'instiller la peur dans le grand public. En favorisant la publicité des récits d'enlèvements traumatiques et invasifs et en occultant systématiquement les témoignages de contacts positifs impliquant des extraterrestres, dont beaucoup ont d'ailleurs une apparence très humaine, on induit dans l'esprit du public une tonalité biaisée du contact.

 

La réaction psychologique collective aux enlèvements extraterrestres invasifs va alors consister à filtrer l'information concernant les extraterrestres lorsque celle-ci s'avèrera trop dérangeante. La désinformation et le ridicule sont par conséquent devenus des réponses collectives standard face aux preuves de vie extraterrestre qui mettent le public mal à l'aise.

 

C'est une réaction de défense classique. Nous devons nous souvenir que le gouvernement secret a employé des stratégies de guerres psychologiques contre le grand public dès le début de l'émergence du phénomène, à la fin des années 40. Donc, en ce sens, je suis en accord avec Greer sur le fait que les enlèvements sont devenus un facteur de désinformation qui survient, non pas en tant que mises en scène fictives, mais en terme d'exagération.

 

On empêche ainsi les expériences de contacts extraterrestres d'entrer dans un débat public et donc de les comprendre.

 

Karma One :

Pensez-vous que les prochaines élections présidentielles vont jouer un rôle dans la révélation de la présence extraterrestre et l'emploi des technologies qui en découlent ?

Retrouvez la suite passionnante de cet interview, dans la partie 2, avec de véritables révélations !
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Commenter cet article
C
<br /> <br /> Les liens conduisent à une série de propos religieux sur le coran. En dehors du faite qu'il est difficile de capter tout le message éloqué partiellement en arabe..., il semblerait que<br /> c'est du "hors" sujet.<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> Ca me conduit à penser comme Merlin, sans partir dans l'injure, cependant.<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> <br />
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M
Je pense que tu portes tres mal ton pseudo car tu es vraiment un endormi du cerveau mon pauvre !!
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R
redescend sur terre et regarde sa avant de parler d'extra terrestre http://www.dailymotion.com/OLI7D et là suite est là http://www.dailymotion.com/DEATH-ROAD
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