Alors sommes-nous vraiment seuls...ou pas ?
Les astronomes sont toujours à la recherche de nouvelles planètes et les choses avancent rapidement.
Il y a 400 ans, en 1609, une idée saugrenue frappa l'un des plus brillants esprits de son temps. Pourquoi ne pas utiliser ce gadget dernier cri employé par les marins, le télescope, pour observer les étoiles ? se demanda le savant italien Galilée.
Pour un flash, c'en fut tout un, mais parions qu'à l'instant où il leva sa lunette vers les étoiles, le génie se posa la même question que tous ses semblables : sommes-nous seuls ?
L'année 2009 a été sacrée Année internationale de l'astronomie pour souligner le quadruple centenaire de la lunette astronomique, ce qui serait déjà une belle occasion de faire le point sur cette grande question.
Mais le hasard, qui fait bien les choses quand il s'en donne la peine, a voulu que cet anniversaire tombe en pleine effervescence, à un moment où le début de l'ombre d'une réponse n'apparaît plus si lointain.
«Quelqu'un qui est dans la phase active de sa vie présentement a des bonnes chances de voir, un jour, l'annonce qu'on a détecté une planète comparable à la Terre quelque part et qu'il y a des évidences de vie à sa surface. Ce qui est quand même assez fascinant, quand on y pense», avance René Doyon, directeur de l'Observatoire du Mont-Mégantic et astrophysicien de l'Université de Montréal, spécialisé dans la recherche d'exoplanètes ( planètes situées hors du système solaire.)
Évidemment, on n'en est pas encore là. À l'heure actuelle, les astronomes en sont encore à l'étape de chercher de nouvelles planètes. Mais les choses avancent à une vitesse impressionnante.
La toute première exoplanète a été découverte somme toute récemment, en 1995.
Or, on n'en connaît maintenant pas moins de 330, et le meilleur reste à venir. La France a lancé fin 2006 un satellite nommé COROT consacré exclusivement à la recherche d'exoplanètes, et la NASA, qui devrait en envoyer un autre dans l'espace en mars prochain, prévoit que son appareil, Kepler, sera capable de repérer des objets plus petits que la Terre.
En ce moment, la plupart des planètes que nous connaissons sont très grosses, souvent de la taille de Jupiter, qui a 318 fois la masse de la Terre, et généralement proches de leur étoile, à cause de nos méthodes de détection.
Les principales consistent en effet, grosso modo, à observer une étoile jusqu'à ce qu'une planète passe devant, ou à mesurer les infimes oscillations qu'une planète imprime sur son étoile en tournant autour. Dans les deux cas, cependant, la planète doit avoir complété à peu près un tour pour que l'on puisse la déceler, ce qui peut prendre beaucoup de temps pour les corps orbitant loin de leur étoile, dit M. Doyon.
En appliquant ces méthodes à notre système solaire, par exemple, il faudrait attendre deux ans avant de deviner la présence de Mars, 12 ans pour Jupiter, 29 pour Saturne et 84 pour Uranus.
«C'est pour cette raison qu'il faut essayer de prendre des images directes des systèmes planétaires», dit notre astronome. Mais cela prend des instruments d'une sensibilité inouïe.
N'empêche, en juin dernier, une équipe de l'Université Notre-Dame, en Indiana, a annoncé la découverte de la plus petite planète connue jusqu'à présent, la dénommée «MOA-2007-BLG-192-L b», qui ne pèse que 3,3 fois plus que la Terre.
Et déjà, dit M. Doyon, on commence à avoir des statistiques sur les planètes de faible masse, qui semblent montrer qu'elles sont plus abondantes que les géantes que nous trouvons habituellement.
Le jour où l'on trouvera une planète semblable à la nôtre, située dans la «zone habitable» de son étoile - c'est-à-dire là où il peut y avoir de l'eau liquide - n'est donc plus aussi loin qu'on l'a déjà cru.
À ce moment, la recherche d'une vie extraterrestre, ne serait-ce qu'unicellulaire, prendra une tournure nouvelle, bien que l'entreprise soit déjà commencée.
Robert Lamontagne, directeur exécutif de l'Observatoire du Mont-Mégantic, en fait d'ailleurs sa spécialité.
Plusieurs signes, dit-il, peuvent trahir la présence de la vie sur une exoplanète. L'oxygène en serait un bon, puisqu'il s'agit d'un élément très réactif qui s'allie naturellement à toutes sortes de composés. Pour qu'un atmopshère contienne de bonnes quantités d'oxygène, il faut donc une source, comme les plantes.
«Le méthane serait un bon signe aussi», poursuit M. Lamontagne, parce qu'on croit que l'eau et le méthane ont joué un grand rôle dans la chimie terrestre juste avant l'apparition de la vie. Ce gaz est aussi un déchet courant des bactéries vivant en l'absence d'oxygène.
«Mais il faut se méfier, parce qu'on a trouvé du méthane sur des planètes où la vie n'existe pas, comme Jupiter et Saturne. Mais si le méthane est couplé avec de l'eau et/ou de l'oxygène, alors là, ça commencerait à converger vers le fait qu'il y a probablement une activité biologique.»
La découverte de méthane dans certaines régions de Mars en 2004 avait d'ailleurs ramené sur le tapis la question de la vie sur la Planète Rouge, mais le New Scientist avertissait en janvier de l'année suivante qu'on ignorait si ce méthane avait une origine biologique, géologique ou spatiale !?.
Cet épisode avait tout de même rappelé que la vie extraterrestre pourrait être plus proche de nous qu'on le croit...
Une façon sans doute d’habituer le grand public à admettre qu’une vie existe ailleurs, et cet ailleurs serait bien plus près de nous que nous pourrions le penser.
Le nombre de planète découverte tout d’abord est assez imprésionnant à ce jour plus de 330, et ce chiffre est on le sait tous ridicule, puisque il existe des milliards de milliards de planètes !
Ensuite on sait que la présence de méthane sur des planètes couplé avec de l'eau et/ou de l'oxygène démontre à coup sur une activité biologique, donc de la vie, et on le sait tous la encore c’est le cas pour Jupiter, Saturne, Mars ( Officiellement) mais on sait tous qu’il en est ainsi partout sur toutes les planètes qui nous entoure, et même sur la Lune.
L’un de ces 3 composant ( méthane- oxygène- eau ) ou les 3 ensembles, est présent sois disant sur ces planètes uniquement : En partant du Soleil : la Terre la 3e- Mars la 4e - Jupiter la 5e - et Saturne la 6e - on peut y rajouter également la Lune, ce n’est plus un secret d’état depuis un moment déjà, et aussi les lunes de Saturne, et de presque toutes les lunes des planètes.
Alors, comment douter un instant qu’une vie n’est pas présente sur toutes ces planètes, et sur toutes les planètes ailleurs, on le sait tous à présent, LA VIE EST PRESENTE PARTOUT DANS L’ UNIVERS , cela est une évidence, sauf pour les sceptiques grincheux et récalcitrants bien entendu, mais leurs jours de moquerie sont comptés, et c’est une bonne chose.
Car comment vont ils réagir ce jour de la grande révélation ?
Disont que c’est leur problème, car après des années, et des années, à passer à railler ceux qui leur démontrent l'évidence, ils seront contraint de changer leur fusil d’épaule par la force des choses, et ce ne sera pas facile pour eux hélas.
Pourtant même la science en ce moment même, leur donne des signes évident que cela est bien réel, mais même la ils restent sourd et aveugle, alors c’est à n'y rien comprendre franchement.
Ou alors c’est de la bêtise, ou de l’acharnement jusqu ‘au boutisme.
J’obterais tout de même pour la 2e solution, car bien souvent certains de ces sceptiques grincheux, sont tout de même assez intelligent ( mais pas tous, loin s’en faut ).
Alors pour répondre à la question du titre à savoir : Alors sommes-nous vraiment seuls...ou pas ?, c'est à vous de juger, mais la réponse est déjà la pratiquement, et parrait tellement évidente, que nous n'avons pratiquement pas besoin d'une confirmation officielle...
Pratiquement n'importe quel sujet de ce blog vous apporterait une élèment de conviction.
.