On se souvient des 2 missions Russes qui ont échouées mystérieusement pour l’exploration de Phobos.
Un accord des agences russe et européenne a été conclu pour l'exploration de Mars et Phobos, le plus grand des deux satellites de Mars.
L'Agence spatiale européenne (ESA) et l'agence spatiale russe Roscosmos ont signé mercredi un accord de coopération sur les projets d'exploration de Mars Exomars et de son satellite naturel Phobos, a indiqué un porte-parole de Roscosmos, cité par l'agence russe Interfax.
Exomars…
L'accord a été signé au salon aéronautique Maks, qui se tient à Joukovski (banlieue de Moscou), par le chef de Roscosmos Anatoli Perminov et celui de l'ESA, Jean-Jacques Dordain, selon cette source.
Dans le cadre du programme Exomars d'exploration robotisée de la planète rouge, le document prévoit notamment l'emploi du lanceur russe Proton et l'achat par l'ESA de pièces russes pour le système de ravitaillement du robot.
L'accord comprend aussi une collaboration dans Phobos-Grunt, un projet russe qui prévoit le lancement en octobre 2009 d'un véhicule sur Phobos, un satellite de Mars, pour y prélever des échantillons. Selon le document, l'ESA met à disposition de la mission ses stations terrestres pour assurer les communications avec l'engin spatial.
Source : (belga/th)
On peut s’étonner d’ailleurs du manque d’intérêt total de la NASA pour l’exploration de Phobos, sans doute savent ils exactement ce qui se cache la bas, tout comme pour notre Lune !
Notons que Phobos a possédé un ‘ quasi-satellite’ pendant quelques mois, quasi satellite que nous pourrions fort justement nommer un vaisseau spatial extraterrestre en orbite autour de Phobos.
Vaisseau qui détruisit la sonde de la mission Russes Phobos 2, voir ici :
Mars attaquée... Et la mission 1, fut ‘’ perdue ‘’ sur le trajet entre la Terre et Mars.
A ce propos dans son roman "Voyage à Laputa" (1727), l'écrivain Jonathan Swift indique, cent cinquante ans avant la découverte de Asaph Hall, l'existence des deux satellites de Mars et il donne même leur période de rotation et leur distance par rapport à la planète. Ce qui est assez troublant non ?
On peut noter également que jamais la NASA ne proposa, et ne propose toujours pas une coopération mondiale pour retourner sur la Lune, ou pour explorer Phobos, ou pour aller poser l’homme sur Mars !
On se doute bien du pourquoi je pense…
Pourquoi la Nasa n'ira pas sur Mars
«Nous n'abandonnons pas Mars», s'est senti obligé de dire le président du comité chargé de faire le ménage dans les options qui s'offrent à la NASA. Mais le fait qu'il sente le besoin de le dire, signifie que les Martiens vont attendre : à court et à moyen terme, une mission vers Mars est irréaliste.
À moins, bien sûr, que la NASA n'ait droit à une hausse spectaculaire de son budget, comparable à ce qui s'était produit dans les années 1960. Mais c'est là un scénario au moins aussi irréaliste que la mission vers Mars...
Au lieu de cela, a déclaré le comité la semaine dernière, lors d'une dernière audience publique qui semblait annoncer à l'avance les conclusions de son futur rapport, les Américains devraient mettre en branle une stratégie étapiste : des missions présentant des défis de plus en plus grands, en vue de se préparer, un jour incertain, un - très hypothétique - séjour sur la planète rouge.
Ces déclarations prudentes contrastent avec l'atmosphère qu'avaient tenté de créer les plus optimistes le mois dernier, à l'occasion du 40e anniversaire du débarquement sur la Lune. Oubliez la Lune, allez directement vers Mars, avait notamment enjoint «Buzz» Aldrin, le deuxième homme à avoir mis le pied sur la Lune.
Idée d'emblée rejetée : «nous pensons qu'une mission directe vers Mars est une mission que nous ne sommes pas préparés à entreprendre, techniquement ou financièrement», a déclaré le président du comité, Norman Augustine, un ancien PDG de la multinationale Lockeed Martin, un partenaire privé de longue date de la NASA.
Ce comité de 10 personnes a pour mission de remettre au président Obama, à la fin du mois, un rapport sur les priorités de la NASA. Parmi les interrogations : est-ce que survivra, intact, le projet de l'ex-président Bush, pour lequel les Américains ont dépensé 9 milliards depuis cinq ans, dans le but de préparer un véhicule susceptible de les ramener sur la Lune en 2020 ?
Un retour sur la Lune, c'est aussi le coeur d'un nouveau livre. Intitulé The Seventh Landing (Le Septième alunissage, puisque six ont eu lieu entre 1969 et 1972), il passe en revue les obstacles, et ils sont plus nombreux qu'on ne l'imagine, de la conception d'un engin Terre-Lune jusqu'à la création d'un véhicule d'alunissage plus polyvalent que jadis, en passant par les bâtiments d'une éventuelle base lunaire. Or, le calendrier est de plus en plus serré :
- une fusée Arès, similaire aux fusées Apollo de jadis, transporterait le successeur des navettes spatiales, appelé Orion, à partir de 2013;
- quelques années plus tard, une version améliorée d'Arès enverrait en orbite l'engin Altair; celui-ci rejoindrait la station spatiale, où amarré ensuite à Orion, il transporterait les astronautes vers la Lune.
Déjà, le New Scientist s'attend à ce que le comité invoque les contraintes budgétaires pour plutôt viser 2018 pour le premier vol d'une capsule Orion vers la station spatiale, et 2028 pour le premier voyage vers la Lune. Léger problème : dans certaines projections, la NASA prévoit cesser de maintenir en vie la station spatiale dès 2016 !
Curieusement, dans tous ces scénarios invoqués depuis un mois, la perspective d'une collaboration internationale ne semble jamais émerger sur les écrans radars. Le nouveau directeur de la NASA, Charles Bolden, l'a évoqué pour des satellites d'observation de la Terre, alors qu'il témoignait devant le Sénat; le directeur scientifique de la NASA, Edward Weiler, a évoqué une collaboration avec l'agence spatiale européenne pour un robot martien. Mais sans plus.
Source : Cyberpress. Agence Science Presse
On le voit clairement un projet enthousiasmant le monde scientifique, le monde politique, et le public en général, comme œuvrer tous ensembles au retour de l’homme sur la Lune, ou aux premiers pas de l’homme sur Mars, n’a jamais été, n’est pas, et ne sera jamais à l’ordre du jour de la NASA, on se demande bien pourquoi ? pourrions nous penser !
Mais le pourquoi est simple, la NASA propose des coopérations sans grand interêt au reste du monde, en évitant soigneusement un coopération pour la Lune et pour Mars et son satelitte Phobos par exemple.
Les raisons sautent aux yeux : la NASA sait pertinement que la vie est présente ailleurs, et qu’une vie intelligente à vécu, et vit au delà de notre environnement terrestre, à savoir sur la Lune et sur Mars et sur toutes les planètes de l’univers.
Photo du fameux vaisseau de 4 kms de long, sur la Lune...
L’information doit rester secrète, même si les Russes, les Européens, les chinois, les Indiens, etc, connaissent cette information. La NASA conserve le seul est unique contact humain qu’il y ait jamais eu,( sur la Lune ) et en tire à coup sur des profits dans les domaines militaires, technologiques, et autres, quelle ne veut surtout pas partager avec le reste du monde !
D’ailleurs, fait étrange s’il en est, la dernière photo infrarouge de Phobos prise par les Russes à été prise trois jours avant la perte de contact, elle révèle les contours à la fois de Phobos et du objet mystérieux, que l’on peut sans aucun doute appeler un vaisseau gigantesque. Les détails des surfaces ne sont pas visible, ce qui est normal en photographie infrarouge.
Si l'objet est à une distance comparable de celle de Phobos, il mesure alors 2 kms de largeur et 20 kms de longueur !
La brillance de sa surface est similaire à celle de Phobos. Les flancs de l'objets sont parfaitement parallèles, il est arrondi aux deux extrémités. Le coté faisant face à Phobos diminue doucement, l'autre extrémité semble avoir une sorte de renflement.
Ca n’est pas pour rien que la NASA prévoit cette année le lancement d’une mission pour bombarder la Lune et effacer toutes traces … ?!
Merci à Morphéus pour cette info en passant.
Le bombardement de la Lune est prévu en octobre 2009 .
La NASA bombardera la lune avec une arme cinétique de 2 tonnes pour créer un cratère profond de large de 5 milles comme pretexte : ‘’ la recherche d’eau ’’. Recherche alléguée et expérience lunaire de colonisation, sont contraire à la loi de l'espace interdisant la modification environnementale des corps célestes.
Le bombardement de lune, un composant de la mission de LCROSS, peut également déclencher un conflit avec des civilisations extraterrestres connues sur la lune comme rendu compte dans des rapports et photos de la NASA et de la NSA (agence de sécurité nationale) et des documents concernant une base extraterrestre du côté caché de la lune.
L'intention d’un bombardement de la lune lors de la mission LCROSS est un acte hostile de la NASA contre des civilisations extraterrestres connues et des règlements sur la lune.
Ainsi alors la NASA, et par prolongation le gouvernement des Etats-Unis, et l’humanité dans son ensemble, sont coupable d’une déclaration de guerre agressive, envers une ou plusieurs races étrangères à la Terre.
Le Traité d'espace extra-atmosphérique des Nations Unis (U.N.), que les États-Unis ont ratifié, exige que « la lune et d'autres corps célestes seront employés par toutes les parties d'états au Traité exclusivement pour des buts pacifiques. On interdira l'établissement des bases militaires, les installations et les fortifications, l'essai de n'importe quel type d'armes et la conduite des manoeuvres militaires sur les corps célestes. » 98 nations ont ratifiées et 125 nations ont signées le Traité d'espace extra-atmosphérique des nations Unis.
Donc si un tel évènement hostile de la NASA devait réellement avoit lieu en octobre 2009, nous pourrions être sur et certain d’être en guerre avec une ou plusieurs races ETs, alors même que l’on nous maintient tous dans l’ignorance de la réalité d’une vie intelligente présente sur la Lune ou ailleurs.
Revenons un instant sur Phobos…
Dans les années 1950 et 1960, l'orbite inhabituelle de Phobos et sa faible densité ont conduit à spéculer qu'il pourrait s'agir d'un objet artificiel creux.
Vers 1958, l'astrophysicien russe Iosef Shklovski, étudiant l'accélération du mouvement orbital de Phobos, suggéra que le satellite était formé d'une mince couche de métal. Shklovsky basa ses analyses sur des estimations de la densité de la haute atmosphère martienne et en déduisit que pour prendre en compte un léger freinage, Phobos devait être très léger ; un calcul conduisit à le modéliser par une sphère d'acier creuse de 16 km de diamètre et de moins de 6 cm d'épaisseur.
En février 1960, dans une lettre au journal Astronautics, Fred Singer, conseiller scientifique du président des États-Unis Eisenhower, soutint la théorie de Shklovsky, allant jusqu'à affirmer que : « ‘’ le but ‘’ de Phobos est probablement de balayer les rayonnements dans l'atmosphère martienne, afin que les Martiens puissent exploiter les alentours de leur planète ».
Par la suite, l'existence de l'accélération ayant conduit à ces assertions fut mise en doute, bien entendu, et le problème avait disparu en 1969, comme par magie.
Voici les explications de la science officielle :
Les études antérieures surestimaient la perte d'altitude de Phobos en utilisant des valeurs de 5 cm/an qui furent par la suite révisées à 1,8 cm/an. Les perturbations de l'accélération du satellite sont désormais attribuées à des effets de marée qui n'étaient pas pris en compte alors.
La masse volumique de Phobos est actuellement évaluée à 1 900 kg/m³, ce qui ne correspond pas à une coquille creuse. En outre, les images obtenues par les sondes spatiales depuis les années 1970 indiquent clairement que Phobos est un objet d'origine naturelle.
C’est vrai qu’en regardant les photos on se rend compte plutôt d’une origine pour le moins non naturelle !
D’ailleurs Phobos et Deimos les deux lunes de Mars sont situées sur des orbites très circulaires très peu inclinées par rapport au plan équatorial de Mars. On attendrait de lunes capturées des orbites excentriques et des inclinaisons aléatoires, ce qui n’est étrangement absolument pas le cas.
D'autre part, les récentes images de Phobos envoyées par la sonde Mars Reconnaissance Orbiter montrent clairement une zone bleue près du bord d'un cratère, sur une surface par ailleurs rouge. Un tel contraste est rare sur un astéroïde. Des astronomes estiment que le bleu correspond à du sol récemment mis à nu, n'ayant pas encore été coloré en rouge !
Pour d'autres, il s'agit d'une matière souterraine totalement différente et inconnu qui surgit à l'extérieur !
Phobos orbite à seulement 6 000 km au-dessus du sol martien, il est donc plus proche de la planète que tout autre satellite naturel du système solaire. Par comparaison, la Lune orbite à 384 000 km de la Terre.
Des sillons ‘’ mystérieux ‘’ s'étendent à la surface de Phobos, mesurant 30 m de profondeur, 100 à 200 m de largeur et jusqu'à 20 km de long. Initialement, on supposait qu'ils résultaient de l'impact ayant formé le cratère Stickney, mais des analyses de données provenant de Mars Express ont révélé une origine indépendante : il s'agit selon la version officielle de dépôts de matériaux déplacés par des impacts provenant de la surface de Mars !
Bien sur, bien sur…
Surtout sur un objet ne possédant quasiment pas de gravité ??!!
Phobos est un corps très irrégulier, de dimensions 27×21,6×18,8 km, bien trop peu massif pour être en équilibre hydrostatique et donc pour avoir pris une forme quasi-sphérique ; il s'agit d'ailleurs de l'un des plus petits satellites naturels du système solaire.
Du simple fait de sa forme, la gravité à sa surface varie d'environ 210 % suivant l'endroit où elle est mesurée. La sonde soviétique Phobos 2 détecta que des gaz s'échappaient de Phobos en quantité faible mais régulière. Malheureusement comme vu plus haut, la sonde tomba en panne avant d'avoir pu déterminer la nature de ce gaz.
Des images provenant de Mars Global Surveyor montrent que Phobos est recouvert d'une couche de régolithe d'au moins 100 m d'épaisseur !
La théorie officielle nous dit qu' elle provient d'impacts avec d'autres corps, mais on ignore comment il a pu adhérer à un objet ne possédant quasiment pas de gravité ??!!.
A vous de juger une nouvelle fois…