Rosetta vient de survoler pour la dernière fois la Terre…
L’année dernière l'astéroïde Steins avait été survolé avec succès…
Le survol de Rosetta au-dessus de l'astéroïde Steins a été qualifié de très réussi par l'Agence spatiale européenne. La sonde a acquis de nombreuses données et pris les premiers clichés de la surface de cet astéroïde. Voir photos ici : http://www.flashespace.com/html/sept08/steinsNB.htm
L'Agence spatiale européenne avait dévoilé au cours d'une conférence de presse à l'ESOC les premières images acquises pendant ce survol. Elles montrent un astéroïde qui se caractérise par une forme en diamant, un très grand cratère d'impact de 2 km de diamètre, au regard de la taille de Steins (4,6 km) ainsi qu'une chaine de petis cratères.
Les instruments de Rosetta ont étudié le mouvement orbital, la rotation, la forme et la densité de l'astéroïde. À l'approche de Steins, la sonde a étendu son champ d'investigation à l'examen des propriétés et caractéristiques de la surface de l'astre ainsi qu'à l'analyse de la composition chimique et minéralogique des terrains, de leur âge relatif et des effets du vent solaire à leur surface.
Rosetta vient de survoler pour la dernière fois la Terre aujourd’hui…
La sonde Rosetta effectue actuellement sa dernière visite de la Terre. La sonde, fabriquée par Astrium, pour le compte de l’Agence spatiale européenne, réalisera le 13 novembre sa quatrième et dernière manoeuvre de gravicélération planétaire, en se servant de la force gravitationnelle de la Terre pour acquérir la vitesse nécessaire à son long périple jusqu’à la comète 67P/Tchourioumov- Guerassimenko.
Le 13 novembre à 08h45 CET, Rosetta survolera la Terre juste au sud de l’île indonésienne de Java à quelque 2500 km d’altitude, et prendra une accélération de près de 13 000 km/h pour atteindre une vitesse avoisinant les 61 000 km/h.
La sonde scientifique aura alors parcouru 4,5 milliards de kilomètres depuis son lancement le 2 mars 2004. Sa prochaine escale scientifique sera l’astéroïde 21-Lutèce, qu’elle atteindra le 10 juillet prochain, après quoi elle se mettra en hibernation pour une longue période (de juillet 2011 à janvier 2014).
A son « réveil », la sonde mettra le cap sur sa destination finale, la comète 67P/Tchourioumov-Guerassimenko, pour un rendez-vous fixé en mai 2014. Du début jusqu’à la fin, son odyssée aura duré dix ans et couvert plus de six milliards de kilomètres.
Une fois sur place et à près d’un kilomètre de distance de la comète, l’orbiteur y larguera le petit atterrisseur ultrasophistiqué Philae. Equipé d’un mini-laboratoire d’analyse chimique et d’un bouquet d’instruments de mesure de précision, l’atterrisseur examinera la surface de l’astre et fournira des informations sur la composition de son noyau.
Ensuite, Rosetta passera une année entière à examiner de près la comète à mesure qu’elle se rapprochera du Soleil à 135 000 km/h. Pour les planétologues, la mission Rosetta s’apparente à un voyage dans le temps remontant aux origines du système solaire. Contrairement aux planètes, où la tectonique et l’érosion ont constamment altéré la roche, les comètes sont constituées d’une matière qui est restée vierge depuis la naissance de ces corps célestes voici environ 4,6 milliards d’années.
Grâce à cette mission, les scientifiques espèrent donc entrouvrir pour la première fois les archives congelées que renferme une comète.
Rosetta a été développée pour l’ESA par un consortium industriel européen comprenant plus de 70 entreprises et emmené par Astrium (Friedrichshafen). Astrium (UK) a fourni la plate-forme et Astrium (F), la suite avionique.
Steins n'est pas le premier astéroïde survolé par une sonde. Dans le passé de nombreux astéroïdes ont été approchés pour des missions plus ou moins longues d'observation. NEAR-Shoemaker est une de ces missions et a tourner pendant 1 an autour d'Eros avec comme bilan un retour scientifique significatif et de très belles images de la surface de cet astéroïde.
Voir ici : http://www.flashespace.com/html/aout05/eros.htm
Regardons un peu les belles et étranges photos de l’astéroide Eros…
Éros est un astéroïde de type S de la famille des Amors, découvert le 13 août 1898 par l'astronome allemand Gustav Witt, il est le premier de cette famille à être découvert.
La sonde NEAR Shoemaker, avait été lancée le 17 février 1996 par la NASA, pour atteindre l'astéroïde Éros. Entre avril et octobre 2000, cette sonde a établi une cartographie complète de la surface d'Éros pour finalement s'y poser le 12 février 2001, ce qui n'était pas prévu au départ de la mission, en prenant quelques clichés de la surface.
Ses dimensions sont de 33 kms X 13 X 13.
Astéroïde Éros survolé par la sonde NEAR Shoemaker, le 19 septembre 2000.
Les détails les plus fins de cette scène mesurent à peine 4 mètres. Pour vous donner une idée de l'échelle, le rocher de gauche de ce groupe mesure environ 60 m de haut. Remarquez l'ombre étirée que projette chacun de ces gros rochers. Enfin, l'horizon incroyablement net donne une indication du nombre de cailloux présents à la surface d'Eros.
A noter que cette image a été prise un peu par hasard ! C'est en fait une vue permettant aux ingénieurs de calculer la position du satellite par rapport à l'astéroïde.
L'énigmatique 'selle' d'Eros..
Les spécialistes ignorent toujours quelle est l'origine de cette structure. Elle a peut-être été formée suite à l'impact qui a engendré le gros cratère de 5,5 km de diamètre situé sur la face opposée. Des analyses complémentaires seront nécessaire pour trancher. Au moment où l'image a été prise (le 22 mars 2000), le fond de cette énorme vallée était toujours plongée dans l'ombre. Il fallut attendre de nombreux mois avant que le Soleil n'en éclaire le plancher.
Alors qu'elle se trouvait à la verticale de la selle d'Eros, la sonde a pris ces quatre clichés qui lui ont permis de réaliser cette scène. La large dépression qui s'étend verticalement à travers l'image se trouvait dans l'ombre lors de précédentes prises de vues.
La région tachetée en bas à droite de l'image laisse clairement apparaître de nombreux rochers d'un diamètre de 50 m, voire plus pour certains. Il s'agit de fragments d'Eros, projetés lors de la formation de cratères d'impact. Les corps à l'origine des cratères d'impact sont le plus souvent pulvérisés par les énormes énergies mises en œuvre.
Leurs plus fins débris retombant alors en pluie fine à la surface, forment ce que les scientifiques appellent régolithe.
Source : Flashespace.com
Partant de la, on peut ainsi démontrer, et constater qu’un rocher de 60 mètres tient tranquillement sur un petit astéroide de 35 Kms X 13, et reste stable, sans être ejecter malgré la rotation de dernier, ce qui démontre clairement que la théorie de la Terre creuse est plausible, et tient la route.
Astéroïde Éros vu par la sonde NEAR Shoemaker à 7 000 km de distance, le 4 février 2000.
En effet cette théorie de la Terre creuse, et de toutes les planètes d’ailleurs, précise que la croute terrestre ferait environ 2 000 Kms d’épaisseur, ce qui est largement suffisant pour nous maintenir bien fixé sur le plancher des vaches, et maintenir tout ce qui se trouve sur la surface, hommes, océans, mers, etc etc…
La lave des volcans ne proviendrait pas non plus d’un hypothétique noyau de fer et nickel en fusion, comme la science veut nous le faire croire, mais elle proviendrait de l’intérieur de cette croute épaisse de 2 000 kms, qui subit des forces de mouvements créant de la lave, en chauffant par le frotement, et la pression.
Il se créerait ainsi à l’intérieur de cette croute terrestre des poches magmatiques, cela est tout à fait plausible et très logique.
D’ailleurs tous les volcans du monde ont une poche magmatique située à quelques kilomètres sous la croute terrestre, par exemple le plus grand d’entre eux, La caldeira de Yellowstone, « supervolcan de Yellowstone », qui est un volcan toujours en activité mesure 45 kilomètres sur 85 kilomètres.
Aujourd'hui, la particularité géologique de Yellowstone est la minceur de la croûte terrestre qui se trouve sous la surface du sol.
En effet, alors que celle-ci est en moyenne de trente kilomètres, ici le magma se trouve à une profondeur comprise entre huit et dix kilomètres. On a déterminé que cette caldeira que l'on croyait totalement éteinte avait été le théâtre de plusieurs éruptions suivant une périodicité tournant autour de 700 000 ans.
De plus le champ magnétique de la terre ne serait pas causé par cet hypothètique noyau de fer en fusion, mais par les océans, c’est une nouvelle hypothèse fort juste qui vient d’être proposée par certains scientifiques.
Même si l’hypothèse ne parle que de variation de ce champ magnétique causé par l’océan mondial, on peut élargir le champ de compréhension, et d’hypothèse et l’adopter pour l’effet global du champ magnétique terrestre.
Le champ magnétique terrestre est-il influencé par l'océan mondial ?
Selon un chercheur américain, les variations séculaires du champ magnétique terrestre ne seraient pas dues à des mouvements internes du noyau terrestre mais à la circulation océanique.
Jusqu'ici, le champ magnétique terrestre est attribué à une cause unique : les mouvements de convection à l'intérieur du noyau métallique liquide (fer et nickel) de notre planète.
Pour expliquer ses variations dans le temps, on invoque donc logiquement des modifications de la circulation à l'intérieur du noyau. Pour l'instant, cette explication semble très solide et peut même expliquer les inversions complètes du champ magnétique terrestre.
Pourtant, Gregory Ryskin, de la Northwestern University (Etats-Unis), propose une autre hypothèse pour les variations à courte échelle, celle du siècle, qui ont pu être mesurées assez précisément pour la période récente. Ce géophysicien fait intervenir un nouvel acteur : les océans. Composés d'eau salée, ils sont conducteurs.
Les courants océaniques sont donc susceptibles de produire un champ magnétique, selon lui non négligeable.
En calculant ce champ à partir des données connues sur la circulation au sein de l'océan mondial, Ryskin, dans un article publié dans le New Journal of Physics, affirme retrouver assez bien les valeurs acceptées des variations séculaires récentes du champ magnétique terrestre.
De plus, explique-t-il, les résultats montrent, plus précisément, une excellente corrélation temporelle entre l'ampleur de la circulation nord-atlantique (dont le Gulf Stream, ) et les variations séculaires observées en Europe de l'ouest.
Selon Ryskin, ses résultats expliquent bien, en particulier, les « secousses géomagnétiques », des variations brutales du champ magnétique observées à plusieurs reprises durant la seconde moitié du vingtième siècle.
Le lien entre le climat et le magnétisme ?
Il en déduit qu'au fil des millions d'années, les mouvements des continents entraînés par la tectonique des plaques ont eu un important impact sur le champ magnétique en modifiant profondément la circulation océanique globale. Et d'imaginer que la dernière inversion complète, qui a interverti les pôles magnétiques il y a 780.000 ans, pourrait avoir été provoquée par la déviation des principaux courants.
Au passage, l'explication pourrait donner une réponse à l'apparente corrélation entre les variations séculaires du champ magnétique et le climat, révélée récemment.
En effet, circulation océanique et climat global sont liés de plusieurs manières.
Tout d'abord, les deux s'influencent mutuellement. Le réchauffement actuel, par exemple, pourrait modifier certains courants, et, à l'inverse, on sait que la douceur de l'Europe de l'ouest comparativement aux même latitudes sur le continent américain est due au Gulf Stream et à son apport d'eau chaude.
Enfin, un phénomène extérieur, comme le mouvement de continents, peut modifier à la fois le climat et la circulation océanique.
Scientifiquement plausible, en bon accord avec les observations et conduisant à une nouvelle lecture des données du paléomagnétisme, ce mécanisme reste pour l'instant une belle hypothèse à vérifier...
Source : Futura-Sciences
Notons pour conclure, que les caractéristiques minéralogiques terrestre du manteau dit supérieur et de la zone de transition sont ‘’ relativement ‘’ bien connues. Celles du manteau inférieur cependant demeurent en grande partie un mystère, aucun échantillon de matière en provenance de cette région n'étant disponible. Région se situant je le rappelle à environ 2 900 Kms de profondeur.
Pas très loin des 2 000 Kms de croute avancée par la théorie de la Terre creuse.
La terre ayant un diamètre de 12 756,2 kilomètres, il reste plus de 8 000 Kms du diamètre terrestre totalement inconnu et libre d’espace.
De la proviendrait la majorité des ovnis que l’on observent pas milliers chaque année à travers le monde, et qui s’enfoncent dans les océans, mers, lacs, montagnes, etc d’une façon complétement incompréhensible pour nous.
Une race bien plus évoluée que nous spirituellement, et technologiquement, y vivrait complétement à l’abri de nos folies humaine, ce monde inconnu c’est celui de l’Agartha avec Shamballa sa capitale.
Cette race néanmoins, serait en communication avec notre monde extérieur, par l’entremise des moines bouddhistes tibétains, qui sont des sages,et qui dispensent cette sagesse à travers le monde.
Je vous conseil à ce propos l’excellent livre de Allec MacLellan , ‘’ le monde perdu de l’Agartha ‘’.
Depuis des siècles, divers chercheurs ont continuellement voulu connaître la vérité sur l'ancienne légende d'un royaume souterrain et secret, qui serait relié à tous les continents de la Terre par l'intermédiaire d'un vaste réseau de tunnels et de galeries.
Les habitants de ce royaume digne d'une utopie sont censés ne plus avoir de lien avec le monde connu depuis des temps immémoriaux, et seraient les gardiens d'une énergie secrète appelée "Vril" qui leur assurerait la maîtrise de l'homme et de la nature.
Des déserts empreints de mystère de l'immensité asiatique aux jungles d'Amérique du sud, en passant par diverses légendes plus proches de nous touchant aux mondes souterrains - sans oublier les parcours de certains personnages pour qui l'aventure représentait un mode d'existence -, se croisent ici les figures d'une même "famille" comme, entre autres, Joseph Alexandre Saint-Yves d'Alvevdre, Lord Edward George Earle Bulwer Lytton, Helena Petrovna Blavatsky et Louis Jacolliot d'une part - et Ferdinand Ossendowski et Nicholas Roerich d'autre part.
Immense succès de librairie dans le monde anglophone, "Le monde perdu de l'Agharta" a été traduit dans de nombreuses langues, à l'exception du français toutefois - choses qui est maintenant faite, à l'adresse de tous ceux qui cherchent et pour leur plus grand plaisir.
Libérez-vous de vos idées reçues et laissez-vous emporter dans un voyage après lequel vous ne verrez plus jamais cette planète comme avant !
Comme toujours c’est à vous de juger ensuite…