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Le blog de Merlin...

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OVNI et toute l'actualité extraterrestre, terrestre, et intraterrestre, toutes les infos cachées et secrètes...


Des bases d'OVNI dans notre système solaire...?

Publié par MERLIN sur 22 Septembre 2008, 05:32am

Catégories : #Mysteres

L'hypothèse selon laquelle il existerait des bases d'OVNI dans notre système solaire, voire même peut-être sur, ou dans notre planète, semble être la seule permettant d'expliquer la densité des observations de ces cinquante dernières années.

D'après certains chercheurs, la moyenne annuelle du nombre d'observations d'OVNI est telle qu'il est impossible d'accepter une origine extra-terrestre pour ce phénomène. Le nombre d'appareils sillonnant un volume déterminé d'espace est beaucoup trop élevé pour être admissible. Les chiffres semblent, il est vrai, leur donner raison.


Il serait en effet présomptueux de considérer que seule notre planète intéresse ces visiteurs, ce qui pose le problème du nombre d'appareils nécessaires à leur civilisation pour visiter ne serait-ce qu'une toute petite parcelle de notre galaxie.


En conséquence, si l'on ne veut pas rejeter en bloc l'hypothèse extra-terrestre des OVNI, il faut bien admettre que notre planète constitue un lieu privilégié pour ces visiteurs. Or quelle raison particulière est donc capable d'attirer les OVNI vers notre planète ?

- La Terre serait-elle située le long d'une autoroute de l'espace ?

- Sont-ils ici pour nous surveiller et nous empêcher de faire des bêtises qui pourraient par contrecoup leur porter préjudice ? Une telle explication peut justifier leur intérêt pour nos réalisations technologiques et, en particulier, pour tout ce qui concerne le domaine du nucléaire.

- Possédons-nous quelque chose qui leur est nécessaire et exploitent-ils notre planète incognito ?

C'est ce qu'il semblerait également d'apres le livre : les Alliés de l'humanité.


Qui donc a bien pu exploiter ces mines de cuivre dans la région des Grands Lacs, particulièrement près du Lac Supérieur au Canada, il y a 5 000 ou 6 000 ans ?


Les Indiens n'ont aucune tradition qui se rapporte à ces mines et pas le plus petit vestige d'habitation, ni le moindre squelette n'ont pu être mis à jour. Mais le plus fantastique est peut-être cette route de l'uranium qui a traversée l'Europe de l'Ouest de la Cornouaille jusqu'à la Crète, il y a plus de 1 000 ans. Que pouvaient donc bien faire les Crétois de l'antiquité avec de l'oxyde d'uranium ?


- Sommes-nous à la veille d'une invasion massive et d'une mise à sac des richesses de notre planète ?

Certaines informations récentes pourraient, hélas, accréditer une telle hypothèse.

Dans tous les cas envisagés ci-dessus, il est logique de penser qu’ils aient pu créer les infrastructures nécessaires pour les recevoir et permettant le ravitaillement et l’entretien de leur flotte.

Une telle hypothèse peut d’ailleurs être valable pour une origine non extra-terrestre des OVNI.


Des voyageurs temporels auraient pu installer des bases dans des zones éloignées et discrètes et les occuper à certaines périodes qu’ils considèrent comme charnière de leur histoire leur permettant de maintenir un contrôle voire une influence sur nos actions.


Même dans le cas d’univers parallèles, on peut penser que des zones de maintenance et peut-être de surveillance des portes ont pu être créées dans notre univers afin de parer à tous les risques inhérents aux transferts entre les deux mondes.


Voici un élément qui pourrait corroborer l’origine extra-terrestre des OVNI, ainsi que l’existence de bases peu éloignées de notre planète.


Il y a eu différentes "vagues" d'ovni à travers les ages, mais la vague importante d’OVNI de 1947 est interessante, soit deux ans après l’explosion de la première bombe atomique. Or, il suffisait, avant le démantèlement du plateau d’Albion, que les autorités ouvrent un silo équipé d’un missile pour que 48 heures plus tard, un ou plusieurs OVNI soient observés dans ce secteur.

D’où pouvaient-ils bien provenir ?


De bases dans notre système solaire, de bases sur la Lune, de bases à l'interieur de notre Terre, de bases cachées dans nos océans ?


De nombreux chercheurs ont déjà pressentis l’existence de bases sur ou à proximité de notre planète.

La plus déroutante de ces hypothèses nous est fournie par deux scientifiques russes, membres de l’académie des sciences soviétique : Mikhail Vasin et Alexander Chtcherbakov.

La Lune est-elle une création de l'intelligence ?


Bien des gens se sont demandés autrefois si les canaux de Mars n’étaient pas l’œuvre d’ingénieurs cosmiques, mais pour quelque étrange raison, il ne leur est jamais arrivé de se poser les mêmes questions à propos des particularités du paysage lunaire, pourtant beaucoup plus proche d'eux. Et tous les arguments concernant les possibilités de l'existence d'une vie intelligente sur d'autres corps célestes sont limités à l’idée que des civilisations doivent nécessairement vivre sur la surface d'une planète et qu'il est hors de question d'en considérer l’intérieur comme un habitat possible.


Mais plus nous pénétrons en détail dans l'information rassemblée par l'homme sur la Lune, plus nous sommes convaincus que pas un seul fait ne vient contrecarrer cette supposition. Qui plus est, de nombreux phénomènes considérés depuis longtemps comme des énigmes lunaires deviennent explicables à la lumière de cette hypothèse.


L'origine de la Lune est un des grands problèmes de cosmogonie. Jusqu'alors trois hypothèses principales se présentent :


- Hypothèse n°1 : la Lune est issue du même nuage de poussière et de gaz que la Terre, et est immédiatement devenue le satellite naturel de la Terre.

Mais comment, alors, expliquer la différence existant entre la densité de la Lune (3,3 g/cm3) et celle de la Terre (5,5 g/cm3) ? En outre, d'après l'analyse des échantillons rapportés par les astronautes américains d'Apollo, la roche lunaire n'a pas la même composition que la roche terrestre.


- Hypothèse n°2 : la Lune faisait autrefois partie de la Terre dont elle s'est détachée.

Cette hypothèse est de nos jours totalement rejetée. La mission Apollo a permis aux astronautes américains de ramener certaines roches qui semblent être beaucoup plus vieilles que l’âge estimé de la Terre.


- Hypothèse n°3 : la Lune a une autre origine, sans doute éloignée de l'origine de la Terre. (peut-être même en dehors du système solaire).

Ce qui signifierait que la Lune n'est pas faite de la même matière que notre planète. Voyageant dans l'univers, elle est arrivée à proximité de la Terre, et, par un effet complexe des forces de gravité, elle s'est retrouvée prise à l’intérieur d'une orbite presque circulaire. Mais une telle capture est statistiquement impossible.

En fait, les savants qui étudient les origine de l'univers aujourd'hui n'ont aucune théorie satisfaisante pour expliquer la création du système Terre-Lune.


- Une autre hypothèse : la Lune est un satellite artificiel de la Terre, mis sur orbite autour de notre planète par des êtres intelligents qui nous sont inconnus.


Si vous deviez lancer un "spoutnik" artificiel, la première condition requise serait qu'il soit creux. Mais il serait naïf d'imaginer quelqu'un capable d'un lancement d'une si grande envergure se contentant de projeter une espèce de grande boule vide sur une trajectoire qui l'amène à proximité de la Terre.

Il est plus vraisemblable que nous somme ici en présence d'un très ancien vaisseau spatial.


Naturellement, la coque d'un tel vaisseau spatial devrait être particulièrement solide afin de résister aux impacts des météorites et aux brusques fluctuations entre chaleur et froid extrême. C'est sans doute une coque à double paroi - à l’intérieur un blindage d'environ 32 km d'épaisseur, et à l’extérieur une sorte de revêtement plus mince, une paroi moins épaisse d'environ 4 800 m. Dans certaines régions, les mers et les cratères, la couche extérieure est très mince, parfois même inexistante.


Puisque le diamètre de la Lune est de 3 478 km, il s'agit, d'une sphère à paroi mince et ce n'est évidemment pas une sphère vide. Il pourrait y avoir toute sorte d'appareils et de machines dans l'espace interne. Mais la plus grande proportion de masse lunaire est concentrée dans la partie centrale, dans le noyau, qui a un diamètre de 3 318 km.

 

Ainsi la distance entre le noyau central et la paroi est d'environ 48 km. Avec une telle structure interne, la Lune peut avoir une densité moyenne beaucoup plus faible que celle de la Terre.

Un cuirassé inattaquable... ?

Les formations les plus nombreuses et les plus intéressantes de la surface lunaire sont les cratères. Certains ont moins d'un mètre de diamètre, alors que d'autres atteignent plus de 200 km (le plus grand a 238 km de diamètre). D’où viennent ces cirques qui criblent le sol lunaire ?


On peut émettre deux hypothèses : volcanique ou météoritique. La plupart des savant ont opté pour la seconde.


Dès 1937, Kirill Stanyukovich, un physicien soviétique a écrit une série d’ouvrages dans lesquels il présentait l’idée que les cratères de la Lune étaient le résultat de bombardements qui ont eu lieu il y a plusieurs millions d’années. D’après ce professeur, un objet de grande taille s’écrasant sur la lune doit pénétrer à une profondeur égale à 4 à 5 fois son propre diamètre.


Or, il est surprenant de constater que quelle qu’ai pu être la grosseur et la vélocité des corps qui sont tombés sur la Lune, les trous qui en ont résultés sont à peu près tous de la même profondeur (de 2 à 3 km) tout en variant énormément en diamètre.


Prenons par exemple ce cratère de 238 km. Qu’elle peut être la puissance de l’explosion capable d’envoyer des milliers de tonnes de roches à d’aussi considérables distances ? A première vue, on pourrait s’attendre à trouver ici un cratère extrêmement profond, or il n’en est rien : il n’y a que moins de 5 km au maximum entre le fond et le sommet de ce cratère et encore, un tiers de cette distance est compris par le mur de roches qui forme sa périphérie comme une couronne dentelée.


C’est un trou vraiment trop peu profond pour une telle surface. Par ailleurs le fond en est convexe, selon la courbure de la surface lunaire. Si on se place au centre du cratère, on n’en voit pas les bords : ils sont au-delà de l’horizon !

Un cratère qui ressemble plus à une montagne qu’à un trou, c’est une chose assez surprenante.


Pas vraiment si on considère que lorsque la météorite heurte la couche externe de protection de la Lune, celle-ci joue alors un rôle de tampon, et le météore se heurte alors à une infranchissable barrière. Cette couche blindée de 32 km d’épaisseur est à peine entamée, et l’explosion projette des particules de l’enveloppe de protection très loin du point d’impact.


Etant donné que la couche extérieure de la Lune, a une épaisseur de 4 km, on voit qu’elle est approximativement égale à la profondeur des cratères.

Un vaisseau spatial abandonné... ?


Considérons maintenant les particularités chimiques de la roche lunaire. Lors de leurs analyses, les scientifiques américains ont trouvé du chrome, du titane et du zirconium. Ce sont tous des métaux qui ont des propriétés réfractaires à fort pouvoir de résistance et d’anticorrosion. Une combinaison de ces matériaux donnerait une résistance considérable à la chaleur et aux autres formes d'agression ; sur Terre, on l'utiliserait dans la composition des chemises de hauts fourneaux.


Si il avait fallu inventer un alliage capable de protéger un satellite artificiel géant contre les effets de la température, des radiations cosmiques et des bombardements de météorites, les experts auraient sans doute proposés une combinaison de ce type de matériaux.


Dans ce cas, les raisons pour lesquelles la roche lunaire est un si pauvre conducteur de chaleur ne sont-elles pas évidentes ?

N’était-ce pas cela justement que les créateurs de ce super "spoutnik" de la Terre recherchaient ?


D'un point de vue d’ingénieur, ce vaisseau spatial des temps passés que nous appelons la Lune est superbement construit. C'est sans doute la raison de son extrême longévité. Il est même probable qu'il soit antérieur à notre planète. En tout cas, des morceaux de roches lunaires se sont révélés plus anciens que la plus vieille des roches terrestres ; il est vrai que cela s'applique à l’âge des matériaux et non à l’âge de la structure à laquelle ils appartiennent. .

Il est difficile de déterminer quand la Lune a commencé à briller dans notre ciel mais, d'après certaines estimations, on peut avancer que c’était il y a environ 2 milliards d’années.


Les habitants de la Lune ont probablement pris les mesures nécessaires pour remédier aux effets des bombardements météoritiques, en réparant les déchirures produites dans l'enveloppe protectrice extérieure qui recouvre la couche interne. Pour cela ils ont dû fabriquer une sorte de ciment à partir d'une matière provenant du noyau lunaire et l'amener aux endroits de la surface qui en avaient besoin.


Les astronomes ont récemment découvert des variations dans le champ d'attraction près des grandes mers. La raison en est la suivante : les mers asséchées de la Lune sont en fait les régions où la couche de blindage protectrice était endommagée. Pour remédier aux dommages causés sur ces vastes étendues, le dispositif produisant la matière de réfection devait immédiatement être installé à l'emplacement même afin de le recouvrir de son ciment. Les étendues plates qui en résultent sont ce que les observateurs ont pris pour des mers.


Les stocks de matériaux et d'appareils sont sans doute encore là où ils étaient, et ils sont suffisamment pesants pour donner naissance à ces anomalies de gravitation.

Qu'est-ce que la Lune aujourd'hui ?

Une nécropole colossale, une cité de la mort où toute forme de vie s'est à jamais éteinte ?

Une sorte de vaisseau fantôme cosmique ?

Un vaisseau abandonné par son équipage et piloté de manière automatique ?

En attendant des preuves...

Nous n'avons avancé dans cet article que des justifications, les preuves ne sont malheureusement qu'indirectes à cette hypothèse.


Une idée tout aussi insensée avait été émise en 1959 par le professeur Iosif Chlovsky, éminent savant qui travaillait sur les lunes entourant la planète Mars. Après avoir soigneusement pesé ses preuves, il en concluait que ces lunes étaient creuses et que c'étaient des satellites artificiels.


Les questions soulevées à propos de la Lune donnent suffisamment matière à réflexion ; elles auront peut-être pour résultat d'éclairer quelques unes des nombreuses énigmes lunaires.A présent, bien sur, nous devons attendre les preuves directes qui soutiendront cette thèse, ou qui la réfuteront.


Voici donc les étranges réflexions auxquelles se sont livré ces deux scientifiques russes.

D’autres éléments troublants ...


Il y quelques années, Paul André Mer, technicien français, a émis une hypothèse intéressante. Pour ce technicien, les mascons, ces irrégularités de gravitation lunaire, seraient dus à un artifice technique mis au point par des êtres résidants sous la Lune de manière à recréer une pesanteur artificielle dans certaines zones.


Des sismographes installés sur le sol lunaire lors des missions Apollo semblent nous apporter des éléments de réponse quant à l’étrangeté de la Lune. Une publication de la NASA nous apprend que la Lune vibre comme un gong, lors de chocs importants sur sa surface. Lorsqu'une capsule est abandonnée et va s'écraser, la Lune vibre pendant plusieurs heures et les vibrations atteignent une profondeur de 30 à 40 km, et peuvent être enregistrées à plusieurs centaines de kilomètres. Comme si notre Lune était entourée d'une gigantesque ceinture métallique ! Un élément de plus qui conforte l'hypothèse de nos 2 savants russes.

 

Que se passe-t-il sur la Lune?

Depuis que Galilée a réalisé, en 1609, la lunette qui porte encore son nom de nos jours, les hommes qui observèrent la Lune firent des découvertes pour le moins étranges.


En 1783, Sir John Herschel, un des plus éminents astronomes anglais, observa d'étranges lumières très brillantes pendant qu'une éclipse assombrissait la Lune. Il remarqua de nombreuses fois par la suite d'autres tâches lumineuses et précisa que certaines semblaient indubitablement se déplacer. Une de ces taches ressemblait dans son télescope à une étoile de quatrième grandeur.


En 1843, Schroeter observa un cratère d'environ 10 km de diamètre et de 400 m de profondeur qui fut baptisé Linné. Ce cratère disparut progressivement et de nos jours, ce n'est plus qu'une toute petite dépression.


En 1871, l'astronome Birt déposa à la bibliothèque de la Royal Astronomical Society un rapport qui concernait plus de 1600 observations qu'il avait effectuées de changements de lumières, d'objets qui se mouvaient, de dessins géométriques et de lueurs étranges venant du cratère Platon. Un rapport qui, comme tant d'autres, est tombé dans l'oubli.


Fin 1877, une revue scientifique, "L'Astronomie", rapporte que le docteur Klein a remarqué un triangle lumineux sur le sol du cratère Platon, ainsi que d'étranges lumières qui semblaient se déplacer, justement en direction du cratère Platon.


De telles observations n'en finissent pas de se succéder, mais depuis le début des années cinquante, les observations prennent une toute autre tournure. De fantastiques objets sont vus sur notre Lune.


Le 29 Juillet 1953, John O'Neil observait la Lune dans son Télescope lorsqu'il aperçut dans la région de la Mer des Crises une structure longue de 20 km et qui ressemblait à un immense pont. Cette observation fut confirmée par un astronome anglais, le professeur Wilkins qui déclara même avoir aperçu la lumière du Soleil sous cette structure. Ce dernier vit un jour le cratère Aristarque se mettre à briller et à auréoler une lumière qui éclairait tous les détails de ses pentes intérieures.


Il existe aussi un cratère appelé Gassendi dont Wilkins a fait de nombreux dessins extrêmement détaillés. Le fond du cratère est strié par des raies parallèles et l'on voit aussi des triangles et autres formes géométriques. A l'endroit où les lignes se croisent, on peut voir des petits trous ou des dômes suivant l'angle d'éclairement. Certaines de ces stries sembleraient même traverser la paroi du cratère et ressortir de l'autre côté sur quelques kilomètres.


En 1968, des radioamateurs ont capté un message d'Apollo VIII, en orbite autour de la Lune qui signalait un immense ensemble qui ressemble aux ruines d'un édifice composé de sept terrasses. Les soviétiques et les américains possèdent d'étranges photos montrant des structures qui semblent avoir été édifiées par des êtres intelligents, structures où l'on peut distinguer particulièrement des sortes de flèches et des alignements de bornes de pierres.


Il est intéressant de remarquer que la grande majorité des observations étranges effectuées sur la Lune s'effectue dans les plaines sombres et dans les cratères au sol noir.


Des signes sur Mars...

Pour le professeur Chlovsky, les deux satellites de Mars, Phobos et Deïmos sont des satellites artificiels. La densité anormalement faible de ces satellites semblerait bien conforter l'hypothèse que ces deux objets soient creux.

Phobos qui mesure 22 km de diamètre et Deïmos qui mesure 12 km sur 8 km seraient-ils deux astéroïdes évidés et installés en orbite autour de la planète Mars ?


Il y a fort à parier que, même si un jour une sonde habitée se pose sur un de ces deux cailloux, nous n'aurons pas plus de réponse que sur les mystères de la Lune. En Juillet 1976, la sonde Viking I envoie vers la Terre des photos où l'on distingue grossièrement dessinés, le chiffre "2" et les lettres "B" et "G". L'explication officielle veut que se soit en réalité de simples jeux d'ombres.


Sur Mars, on y voir également sur cetaines photos, des pyramides, un visage, un mur énorme une construction surnomée la forteresse, de l'eau, des trous carrés dans des roches, et toute sorte de choses incroyable pour qui a étudié un peu les photos de la NASA.


Il en est de même pour la lune, un dome, des especes de Crop Circle, une ville, des pyramides, un vaisseau géant abandonné, etc etc...


On se demande jusqu'à quand ces secrets bien gardés, vont ils le rester ?

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P
J ' ai lu de nombreux articles sur les Aliens sur ce blog et une question me taraude l ' esprit :<br /> Comment des civilisations aussi avancées qui utilisent des moyens non seulement performant mais certainement non polluants pour nous rendre visite ou pour séjourner ur notre planète peuvent elles accepter que les terriens detrusient leur propre planète aussi stupidement ? ??<br /> Pourquoi n ' interviennent ils pas massivement pour mettre un terme à ces destructions. <br /> C'est là un mystère pour moi parfaitement incompréhensible. <br /> Merci Merlin de me donner ton avis car je pense que cette situation ne te laisse pas indifférent.
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L
<br /> <br /> 1 gourou a confirmé l'existence d'individus vivants à l'intérieur de la lune, dans l'une de ses conférences sur l'astrologie.Lire le livre de Don Wilson et ceux de Maurice Chatelain, anciens<br /> directeurs a la NASA.Il suffit de changer d'état d'esprit pour constituer des images acceptables grace aux morceaux de puzzle que vous assemblez patiemment.<br /> <br /> <br /> <br />
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C
<br /> <br /> Voilà un article qui est la synthèse de plusieurs autres...<br /> <br /> <br /> Il reste néanmoins très intéressant, et permet à tout profane de s'y intéresser.<br /> <br /> <br /> Je rie à penser que si tout ça est vrai, nos amis ou ennemis ET doivent faire bien plus attention à leurs faits et gestes, car depuis un certains temps, ils sont observable. Chose qui<br /> pendant longtemps, avant, n'était pas le cas.<br /> <br /> <br /> <br />
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D
<br /> Il faudrait lire les dossiers pour la science sur les exoplanètes sur la formation des systemes solaires vous verrez c'est très instructif .....<br /> <br /> <br />
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M
Pourquoi pas? Après tout tant qu'on n'a pas fait de forage de 32 ou 40 km de prfondeur on restera sur une variante du Chat de Shröedingger (on la considère creuse et pleine en même temps).Par contre, sans rien remettre en doute, ne serait-il pas envisageable pour la question du sismographe de penser que la donnée est erronée?Je m'explique: ce pauvre cailloux/vaisseau spatial n'a pas d'atmosphère, à cette distance du soleil, on peut deviner une certaine température positive au soleil (bien plus que sur terre ;-) ) et une température bien froide à l'ombre, on atteint donc facilement des écarts de température assez extrêmes, comme on n'en a pas sur terre.Et alors?Ben les secousses enregistrées sont peut-être tout simplement les craquements de l'écorce lunaire dûes à la dialtation et la rétractation des roches. Pas suffisant? Pourquoi ne pas penser que la Terre joue un rôle, après tout la Lune fait bien nos marées, imaginez ce que la Terre doit donner là-bas :-sConcernant les photos de la sonde Viking, je trouverais ça drôlement étonnant que les extra-terrestres utilisent le même alphabet que nous et la même numération de surccroît (B et G pour Battlestar Galactica?), là c'est nous faire un peu trop d'honneur et risquer la faute d'ethnocentrisme.Maintenant, Lune creuse ou pleine, habitée ou non, je remarque 2 choses:La première est une évidente proximité avec la Terre, les Lunes ne sont pas forcément un phénomène rare mais nous aurions très bien pu ne pas en avoir. Si extra-terrestre il y a c'est aussi un bon point de ravitaillement.La deuxième est que même sans être rare, combien de Lunes montrent toujours la même face tout en gravitant autour d'une planète habitée? Je n'en sais fichtre rien mais faut avouer qu'avoir une face perpétuellement cachée est pratique pour la jouer discret.Pour ce qui est de la profondeur des cratères, je ne suis pas géologue ni expert pour autant, je remarque que nombre d'entre eux (et c'est facile, je la prends souvent en photo avec le matériel adéquat) possèdent le petit monticule au centre, caractéristique des impacts plus des refroidissements rapides.Loin de moi l'idée de vouloir polémiquer, simplement je me dis que certaines peuvent probablement être bêtement expliquées.Et oui, je pense que la vie extra-terrestre existe, penser le contraire serait comme d'admettre que la Terre est plate.Maintenant de penser que la Terre est près d'une autoroute, la dernière fois que j'ai entendu ça c'était dans H2G2 et je pense que la réponse est 42 ;-)
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H
Je pense que tu aurais pu également abordé la face cachée de la lune.Excellente synthèse sinon.
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N
Les secrts sont ils tjs aussi secrets ... On connait pas mal de chose, mais seulement une minorité y croit ... malheureusement!
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W
Très intéressant, cet article, merci !'Erenouvelle" ajoute cet élément (sans donner de source hélas..) : "Les Mayas ont laissé des documents d’après lesquels c’est Vénus et non<br /> pas la Lune qui brillait la nuit au-dessus de leurs têtes."...
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S
Excellent.J'étais persuadé que la lune ne venait pas de la terre, et le fait de savoir qu'elle est surement creuse (elle aussi), devient encore plus passionnant.Avec ce genre d'info, la lune sort de la bannalité ;)
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