Un chercheur a vaincu le cancer il y a …35 ans déjà… ! Part 1.
Cet article assez long, semble parfois assez technique, mais il vous surprendra, je vous conseil de n’en manquer aucune ligne…
Une nouvelle approche thérapeutique du cancer. Affaire Galilée du XXème Siècle… ?
Auteur: Henri Boiteux, Agrégé de l'Université, Ancien Administrateur de l'Institut de Recherches Scientifiques sur le Cancer (C.N.R.S)
Article publié dans la revue Nexus des mois de Juillet/Août 2004
Talentueux chercheur biochimiste français, Beljanski a mis au point des médicaments enfin efficaces et non toxiques permettant de soigner le cancer au début des années 1980. Infirmant les positions établies du dogme biologique et médical sur cette maladie, sa recherche fut frappée d’un ostracisme implacable.
Ses découvertes, pourtant parfaitement fondées scientifiquement, permirent la guérison de milliers de patients avant que les pressions de l’estabishment médical et de la justice aient raison de l’espoir de les voir mis à disposition du public.
Avant de développer LE SUJET, je tiens à rappeler la situation actuelle dans la lutte contre le cancer. Trois types de thérapies sont pratiquées :
La chirurgie. : technique invasive par excellence, qui peut être mutilante suivant l’organe atteint ; et qui peut se révéler impossible à utiliser ; c’est pourquoi, dès 1896, on a utilisé : Les rayonnements ionisants, X d’abord, puis éventuellement g.
Mais que faire devant des tumeurs inopérables et radiorésistantes ?
Les recherches de médicaments anticancéreux ne donnant rien, des médecins américains ont mis au point en 1942 une troisième thérapie dont ils ont caché la nature véritable en l’intitulant : La chimiothérapie.
L’idée de base est la suivante : chercher et trouver un poison qui soit un peu plus " poison " pour les cellules cancéreuses que pour les cellules saines. Il faut retenir de cette troisième méthode que c’est une thérapie par défaut, devant les échecs pour trouver un véritable médicament anticancéreux, on se résigne à empoisonner le patient.
En toute logique, une telle pratique doit disparaître le jour où l’on découvrira de vrais médicaments anticancéreux sans effets secondaires. Quand on cherche un phénomène (par exemple : un médicament anticancéreux non toxique, ou une différence entre une cellule cancéreuse et une cellule saine) et que l’on ne trouve rien, on est placé devant l’alternative suivante :
Ou le phénomène existe, mais on n’a pas encore trouvé la bonne méthode pour le mettre en évidence, ou le phénomène n’existe pas.
Quand la recherche infructueuse, menée par un grand nombre de cancérologues, dans tous les pays développés, a duré des dizaines et des dizaines d’années, l’esprit est amené inexorablement à privilégier la deuxième conclusion. C’est pourquoi on entend les cancérologues affirmer d’une manière qui réfute d’avance toute objection : il n’y a pas de différence entre une cellule cancéreuse et une cellule saine, tout médicament anticancéreux doit être toxique pour être efficace ; on peut appeler cette affirmation le mythe du poison salvateur.
Et même certains cancérologues disent que cela est démontré, ce qui est contraire à la réalité : une constatation expérimentale négative n’a jamais été une démonstration : ce n’est que la vérité d’un moment. Il faut bien remarquer que ces affirmations sans fondement peuvent par la suite être infirmées. C’est ce qui sera démontré dans cet article.
Voilà donc le tableau de la situation, qui n’est pas brillante, au moment où est annoncé une nouvelle approche thérapeutique contre le cancer.
Qui était Beljanski ?
Mirko BELJANSKI est né le 27 Mars 1923 à Turija (Serbie) dans une famille de travailleurs agricoles. Dès l’école primaire, il travaille avec acharnement (il manifestera cette qualité tout au long de sa vie) et après de brillantes études secondaires, il participe à la Résistance Serbe.
A la fin de la guerre, il lui est proposé une bourse de deux ans pour faire des études supérieures, soit à Moscou, soit à Paris. Il choisit cette dernière où il débarque en Décembre 1945 avec d’autres étudiants yougoslaves (sans connaître un mot de français).
Etant donné son ardeur au travail, il obtient en deux ans une licence de biochimie et qu’on le trouve en 1948 à l’Institut Pasteur de Paris, dans le Service de Chimie Biologique du Professeur Michel Macheboeuf. Il y prépare sa Thèse de Doctorat d’Etat qu’il soutient le 30 Juin 1951 sous le titre : " Etude de souches bactériennes résistantes à des antibiotiques ; comparaison avec des souches sensibles de même espèce ".
A la suite de quoi, il est recruté par le CNRS, ce qui lui permet de rester en France définitivement. Tout serait pour le mieux … mais le Professeur Macheboeuf meurt en Août 1952 et est remplacé par Jacques Monod, ce qui, pour Beljanski, modifie complètement l’atmosphère du Service, comme on le verra plus loin.
Son travail, fort intéressant, sur l’antibiorésistance des bactéries, n’est pas l’objet de cet article. Mais ce thème de travail le conduit à s’intéresser de très près aux deux acides nucléiques : l’acide désoxyribonucléique (ADN) et plus particulièrement à l’acide ribonucléique (ARN). Les résultats qu’il obtient sont tels qu’en 1960, il est co-lauréat du Prix Charles Léopold Mayer de la Société de Chimie Biologique de Paris pour ses travaux sur ces ARN.
Entre autres choses, ces travaux l’amènent à postuler l’existence d’une enzyme permettant de transformer un ARN en ADN dans les bactéries. Par la suite, il retrouve cette enzyme dans des champignons, des œufs de poisson,etc…, c’est à dire dans tout le monde vivant.
Indépendamment de lui, un jeune américain, H. Temin avait déjà trouvé, peu de temps auparavant, en 1970, cette même enzyme dans certains types de virus (" retrovirus "). Temin et Beljanski annoncent l’existence générale de cette enzyme, la transcriptase inverse, au VIème Symposium de Biologie Moléculaire tenu à Baltimore (USA) en Juin 1972. Trois ans après, Temin obtient le Prix Nobel pour sa découverte. Et Beljanski ? Personne n’en parle.
La querelle de la transcriptase inverse bacterienne…
Il faut dire que l’existence de cette transcriptase inverse est une pierre, même une très grosse pierre, dans le jardin de Jacques Monod, supérieur direct de Beljanski de 1952 à 1971, puis Directeur de l’Institut Pasteur jusqu’à sa mort en 1976.
Jacques Monod a obtenu le Prix Nobel parce qu’il a montré que l’ADN est le point de départ des réactions biochimiques qui, par l’intermédiaire de l’ARN, produisent les protéines nécessaires à la vie des cellules donc à la vie tout court. Pour J. Monod c’est l’ADN qui a le rôle primordial dans la vie et le développement de la cellule.
Fort de son succès, il publie un livre " Le Hasard et la Nécessité ", qui sort en 1970 (année de l’annonce par Temin de la réalité de la transcriptase inverse dans certains virus) et dans lequel on trouve le passage suivant:
" Il n’est ni observé, ni d’ailleurs concevable, que l’information soit jamais transférée dans le sens inverse (c’est à dire de l’ARN vers l’ADN). C’est l’un des principes fondamentaux de la biologie moléculaire. "
Jacques Monod avait donc nié à priori la possibilité de transformation de l’ARN en ADN, c’est à dire l’existence de l’enzyme permettant cette transformation. Beljanski a montré au monde entier que Jacques Monod s’est complètement trompé dans son propre domaine de recherche (les bactéries).
Commence alors pour Beljanski une exclusion de la communauté des biologistes français. Car Jacques Monod refuse à priori de s’incliner devant les faits. Au lieu de refaire ou de faire refaire les expériences de Beljanski pour en vérifier les résultats, il s’enferme dans sa vision de la vie de la cellule et refuse d’en discuter : il a édicté son dogme et tout le monde doit s’incliner.
C’est ce qu’ont compris tous ceux qui gravitent autour de lui, à l’exception de Beljanski. Il faut remarquer que la conclusion " c’est l’un des principes fondamentaux de la biologie moléculaire " déborde largement le domaine des bactéries qui est l’objet des travaux de J. Monod. D’après lui, ce principe s’applique à tout le domaine du vivant, qu’il soit animal ou végétal. J. Monod ne fait pas dans le détail.
Puisque Beljanski a infirmé l’affirmation de J. Monod, celui-ci fait savoir aux biologistes que Beljanski est un mauvais chercheur ; il est inutile de tenir compte de ses travaux, donc de lire ses publications. Cela n’empêche pas Beljanski de continuer ses recherches, même si ses conditions de travail sont devenues difficiles car Monod l’a parqué dans une pièce en sous-sol en lui enlevant des moyens de travail (par exemple l’utilisation de l’animalerie). Il est aidé par son épouse, seule technicienne à sa disposition, que Monod n’ai osé lui retirer.
La “Révolution” de Beljanski sur les caractéristiques des cellules cancéreuses
Son travail sur les bactéries l'amène à s'occuper de cancer.Il faut reconnaître que Beljanski a un très gros avantage sur les cancérologues de profession: il n'a pas fait d'études de cancérologie. Mais d'une part c'est un excellent biochimiste, et d'autre part il n'a aucune idée à priori sur le cancer. Il semble même qu'il ignore les affirmations rappelées dans l'introduction.
Deux ans environ après la découverte de la transcriptase inverse, Beljanski fait savoir qu’il a découvert une différence physico-chimique entre une cellule cancéreuse et une cellule saine, et que cette différence se situe dans l’ADN de la cellule : l’ADN d’une cellule cancéreuse n’est pas identique en tout point à l’ADN d’une cellule saine.
Sans le savoir, il brise un tabou ! Pour les cancérologues, il est impossible de laisser passer cette idée sans vérification. Pour une fois, on va contrôler ce qu’annonce Beljanski.
Comme personne ne lit ses publications, on ignore quelle est cette modification. Les cancérologues n’imaginent pas d’autre modification que celle de la séquence des nucléotides formant les deux hélices de l’ADN. C’est le Professeur Le Pecq qui se charge de cette vérification. Au début de 1978, il publie un article dans lequel il prouve que les séquences des nucléotides des cellules cancéreuses et celles des cellules saines sont identiques.
Voilà la preuve que Beljanski s’est trompé, comme il s’est déjà trompé au sujet de la transcriptase inverse bactérienne1 , aux dires de Monod. Ce dernier, décédé en 1976, avait bien raison de dire que Beljjanski est un mauvais chercheur dont les travaux n’ont aucune valeur. Et avec une très bonne conscience, le Directeur de l’Institut Pasteur renvoie Beljanski brutalement et sans préavis.
Beljanski est totalement pris à contre-pied car il est entièrement d’accord avec le résultat du Professeur Le Pecq, et même cela le conforte dans sa vision de la cellule cancéreuse. Il n’imagine pas une seconde l’interprétation donnée par la " nomenklatura " de la biologie au résultat du Professeur Le Pecq. Car la différence n’est pas dans la séquence de la chaîne des nucléotides formant chacune des hélices de l’ADN (structure primaire), mais dans les liaisons entre deux nucléotides se faisant face dans chacune des hélices (structure secondaire).
L’ensemble peut être considéré comme une échelle dont les liaisons entre nucléotides face à face forment les barreaux. Par suite de considérations biochimiques, Beljanski montre que la différence entre cellule cancéreuse et cellule saine se situe dans la structure secondaire : les liaisons entre nucléotides se faisant face sont rompues sur une certaine longueur. Beljanski appelle ces cellules des cellules déstabilisées.
S’il en est ainsi, tout physico-chimiste sait qu’il doit y avoir une modification du spectre d’absorption de la lumière visible ou ultraviolette, car ce domaine d’absorption est intimement lié aux liaisons chimiques de toute molécule : toute modification de liaison chimique induit une modification du spectre d’absorption.
Cette modification n’est pas dans le domaine visible car cela aurait induit une différence de couleur, ou tout au moins de teinte, ce qui aurait permis de distinguer immédiatement et depuis toujours une cellule cancéreuse d’une cellule saine. On sait qu’il n’en est rien (c’est le premier dogme des cancérologues – voir l’Introduction).
C’est effectivement dans l’ultra-violet et en travaillant dans des conditions très rigoureuses décrites dans une longue publication de 19832 que Beljanski constate que l’ADN d’une cellule déstabilisée a une absorption plus élevée de 30% que celle de l’ADN d’une cellule saine (hyperchromaticité de l’ADN d’une cellule déstabilisée). Cette propriété lui permet de suivre l’évolution des cellules.
Il constate qu’une cellule déstabilisée ne donne naissance qu’à des cellules déstabilisées, et se reproduit beaucoup pus vite qu’une cellule normale. C’est bien la définition d’une cellule cancéreuse..
On peut faire aussi le raisonnement en sens inverse, en partant des deux résultats expérimentaux :
Les cellules " déstabilisées " n’ont pas la même absorption que les cellules saines : donc il y a une modification des liaisons chimiques ; puisque les cellules destabilisées ont un coefficient d’absorpton plus élevé que les cellules saines, on en déduit que les cellules déstabilisées ont des liaisons ouvertes.
Puisque, d’après Le Pecq, les séquences de nucléotides sont les mêmes dans les cellules déstabilisées que dans les cellules saines, il est évident que les liaisons ouvertes se trouvent dans la structure secondaire.
Par ses raisonnements de biochimiste, Beljanski montre que les liaisons ouvertes ne se situent pas au hasard, mais séparent les deux hélices sur une certaine longueur. Il montre que cela a pour conséquence de resserer l’ADN aux deux extrémités de cette partie ouverte, de modifier des enzymes, etc…etc…
Maintenant que Beljanski est capable de distinguer un ADN cancéreux d’un ADN sain, il peut étudier les propriétés de l’ADN cancéreux.
Il en déduit un test de cancérogénéité fiable à 100% et rapide (contrairement au test d’Ames des cancérologues patentés) qu’il appelle oncotest et qui lui permet de distinguer très rapidement et sans erreur un ADN cancéreux d’un ADN sain. Cela lui permet de vérifier si une molécule est cancérigène ou non ou si une molécule détruit ou non un ADN cancéreux.
D’autre part Beljanski a l’intuition que les cancers végétaux et les cancers animaux (donc humains) ont la même origine, ce qu’il a pu vérifier quand il a découvert la structure de l’ADN cancéreux. C’est pourquoi il s’est occupé du cancer des plantes. Parmi les bactéries sur lesquelles il a étudié la résistance aux antibiotiques, il s’est intéressé à la bactérie agrobacterium tumefaciens, qui, injectée dans la plaie d’un végétal, y induit une maladie appelée crown-gall dont Beljanski montre qu’elle a toutes les caractéristiques d’un cancer.
Les anticancéreux de Beljanski…
ll constate que certaines espèces végétales résistent à cette bactérie. D’ici que ces espèces contiennent une molécule anticancéreuse, il n’y a qu’un pas que Beljanski franchit rapidement. Avec l’aide de l’oncotest, il découvre toute une catégorie de molécules anticancéreuses : ce sont des alcaloïdes de la classe des béta-carbolines, du genre flavanones et flavonoïdes tels que, par exemple, l’alstonine (provenant du Rowolfia vomitoria), la serpentine, la sempervirine ou la flavopereirine (provenant d’une espèce de poirier du Brésil).
Ces alcaloïdes réagissent sur les sites ouverts de l’ADN cancéreux et empêchent toute reproduction. La cellule cancéreuse meurt sans descendance. Le patient qui prend régulièrement un de ces alcaloïdes est guéri définitivement de son cancer. De plus, ces alcaloïdes ne réagissent que sur les sites ouverts des ADN. Ils ne touchent donc pas les cellules saines. De plus ils ne présentent aucune toxicité aux doses thérapeutiques.
En résumé dans le domaine de la lutte anticancéreuse, Beljanski :
a trouvé la différence entre cellule cancéreuse et cellule saine ;
a assimilé cancers végétaux et cancers animaux ;
a trouvé ces " introuvables " médicaments anticancéreux non toxiques.
C’est bien joli de dire que ces molécules se lient aux ADN cancéreux, encore faut-il qu’elles atteignent ces ADN. Or ceux-ci se trouvent à l’intérieur du noyau ou à l’intérieur des nucléoles, lesquels sont limités par des membranes et se trouvent eux-mêmes à l’intérieur de la cellule, elle-même entourée d’une membrane. Il faut donc que ces molécules traversent ces membranes sans être modifiées.
C’est pourquoi Beljanski a toujours dit et écrit (mais on ne le lit pas) que la prise de ces molécules doit être accompagnée d’une radiothérapie modérée ou d’une chimiothérapie elle aussi modérée, dont le rôle n’est pas de détruire les cellules mais simplement de percer les membranes pour permettre le passage de ces molécules. Beljanski a toujours parlé de synergie de ses molécules avec les traitements classiques.
S’il n’a pas été suivi en France, ses travaux ont été reconnus à l’étranger. C’est ainsi que le Professeur Maurice Stroun de Genève et le Docteur Philippe Anker ont déduit des travaux de Beljanski une méthode de détection du cancer par analyse du plasma sanguin..
Les médicaments complémentaires…
En dehors de ces alcaloïdes, Beljanski a mis au point deux autres médicaments intéressant les cancéreux : le RLB (ou Real Build) et le Bioparyl (ou Gingko V).
Beljanski a mis au point le RLB (= Remonte leucocytes Beljanski) après avoir lu dans une revue scientifique un article dans lequel deux chercheurs disaient avoir trouvé des traces d’oligonucléotides (ARN très courts) fixés sur les molécules d’ADN venant d’achever leur réplication. Il en déduit que tout semble indiquer que la réplication d’ADN nécessite la présence de ces ARN très courts.
C’est à partir de cette hypothèse qu’à la suite de tout un processus intellectuel (et un travail matériel), il a mis au point ce médicament : c’est un petit ARN issu de la bactérie Escherichia coli, traité de façon à faciliter la multiplication des globules blancs et des plaquettes non cancéreux, mais sans toucher aux globules blancs et aux plaquettes cancéreux, s’il y en a.
Ce résultat est intéressant, car on sait que les cellules sanguines se renouvellent rapidement et sont sensibles aux rayonnements et aux produits de chimiothérapie. L’emploi de ces thérapies conduit à une diminution de ces cellules qui peut être catastrophique. La prise de doses de RLB permet de faire remonter les taux de globules blancs et de plaquettes. Ceci a été vérifié officiellement dans le service du Professeur Léon Schwarzenberg.
Le Bioparyl provient d’un arbre d’origine japonaise : le Gingko biloba. Il faut dire que ce type d’arbre, présent à Hiroshima et Nagasaki, a manifesté une vitalité étonnante. Après destruction par la chaleur, les rayons X et les rayons Y, ces arbres ont repoussé d’eux-mêmes au bout d’un certain temps sans avoir été replantés. Cela veut dire que la racine a résisté à ces rayons. D’où l’idée que cet arbre contient une molécule protégeant du rayonnement. Beljanski l’a cherchée, l’a trouvée, et en a fait un médicament.
La prise de Bioparyl permet de résister aux effets secondaires de la radiothérapie (et de la curiethérapie), en particulier d’éviter les fibroses consécutives à ces rayons. Cela a été vérifié dans le Service du Professeur Lucien Israël qui en a dit le plus grand bien dans une émission sur France-Inter en 1989.
Fin de la partie 1
La suite ici :
Un chercheur vaincu le cancer il y a …35 ans déjà… ! Part 2.
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