Les mystères du manteau inférieur de la Terre…
La Terre est composée d'un coeur métallique et, l'entourant, d'un manteau de silicates. Des géophysiciens du Tokyo Institute of Technology (Japon) ont découvert que le silicate de magnésium, supposé être un constituant majeur du manteau inférieur, subissait une transition de phase à de hautes températures et pressions.
Cette découverte pourrait aider à comprendre la nature d'une discontinuité sismique située à environ 200 kilomètres au-dessus de la frontière coeur-manteau.
Le manteau terrestre est habituellement divisé en trois parties : le manteau supérieur, qui s'étend à une profondeur d'environ 410 kilomètres en dessous de la surface; la zone de transition, entre 410 et 670 kilomètres; et le manteau inférieur, qui s'étend jusqu'à une profondeur de 2898 kilomètres.
Les caractéristiques minéralogiques du manteau supérieur et de la zone de transition sont relativement bien connues. Celles du manteau inférieur demeurent en grande partie un mystère, aucun échantillon de matière en provenance de cette région n'étant disponible.
L'exploration du manteau inférieur est indirecte. Les chercheurs l'étudient grâce à la technique de la tomographie sismique, qui permet de produire des images en 3D des densités et vitesses sismiques. Y ont ainsi été décelés des phénomènes non encore expliqués. Le plus connu d'entre eux est cette discontinuité sismique située à 2700 kilomètres de la surface.
Motohiko Murakami et ses collègues ont analysé, par diffraction des rayons X, à des pressions supérieures à 134 gigapascals et des températures supérieures à 2600 kelvins, le silicate de magnésium artificiellement synthétisé. Dans ces conditions, qui sont celles régnant au niveau de la discontinuité sismique précitée, le silicate de magnésium subit une transition de phase.
L'énigme de la discontinuité ainsi que d'autres caractéristiques du manteau inférieur pourraient être expliquées sur cette base.
Source : CIRS
L'observation directe de l’intérieur du globe est limitée…
Les plus profonds sondages ne dépassent pas une dizaine de kilomètres, ou tout au plus de mémoire les 24 km, alors que le rayon terrestre avoisine 6370 km.
Les scientitfiques ont donc recours à des méthodes indirectes pour connaître la structure et la composition de l'intérieur de la Terre. Les géologues utilisent des méthodes physiques comme la sismologie, qui est l'étude de la propagation des ondes sismiques. Il existe 3 sortes d’ondes :
-Les ondes P (Premières), ondes premières, sont de plus faible amplitude. Ce sont des ondes longitudinales ou de compression-décompression. Elles se propagent dans tous les milieux.
-Les ondes S (Secondes), ondes secondes, sont des ondes transversales ou de cisaillement. Elles ont la particularité de ne pas traverser les liquides.
-Les ondes L (Love) sont tardives et de forte amplitude. Elles sont à l'origine des principaux dégâts et ne se déplacent que dans les couches superficielles du globe.
Et l'analyse des temps d'arrivée des ondes P et S à des stations situées à diverses distances de l'épicentre d'un séisme montre qu'elles arrivent aux stations éloignées plus rapidement que si leur vitesse de propagation était constante.
Or ces ondes se propagent dans la profondeur du globe et non en surface comme les ondes L. Les rais sismiques (analogie avec les rayons lumineux) atteignant les stations éloignées ont parcouru des profondeurs plus grandes que ceux arrivant aux stations proches de l'épicentre.
En conséquence, on peut dire que la vitesse de propagation des ondes P et S augmente avec la profondeur et que la Terre n'est pas homogène. La vitesse de propagation des ondes sismiques augmente avec la densité des matériaux dans lesquels elles se propagent.
On peut supposer que la densité s'accroît avec la profondeur...
Mais cela reste de la supposition bien entendu !
Les ondes P ne sont pas reçues aux stations situées entre 11 500 km et 14 500 km de l'épicentre d'un séisme, soit entre 103° et 142° de distance angulaire. On parle de zone d'ombre. Pour les ondes S, la zone d'ombre est plus importante car elles ne sont pas enregistrées au-delà de 103°.
Ces zones d'ombre ne s'expliquent pas avec un modèle de Terre dont la densité ne fait qu'augmenter régulièrement avec la profondeur.
Il faut donc imaginer la présence en profondeur d'une discontinuité importante séparant deux milieux dont les propriétés sont très différentes. À la traversée de cette discontinuité, les rais sismiques doivent subir une réfraction importante, à l'origine de la non-réception des ondes P entre 103° et 142°.
Cette déviation des rais sismiques à la discontinuité implique une chute de la vitesse de propagation des ondes. Les ondes S, ondes transversales, ne se propagent pas dans les milieux liquides. Leur disparition, au-delà de 103°, indique qu'au niveau de cette discontinuité, on passe d'un milieu solide à un milieu liquide.
Ainsi,la zone d'ombre révèle l'existence de deux enveloppes terrestres très différentes: le noyau et le manteau.
Ca c’est la version que l’on nous enseigne, mais l’existence de deux enveloppes très différentes pourrait être : du VIDE.
Du vide, confirmant ainsi l’existence pourtant soupçconnée depuis toujours, que notre Terre est creuse, mais pas seulement notre Terre mais toutes les planètes.
A partir du traitement mathématique des temps de trajet des ondes sismiques enregistrées à des stations réparties sur le globe en réseaux, les géophysiciens ont déterminé le profil des vitesses des ondes Pet S en fonction de la profondeur.
Ce profil aboutit à un modèle sismologique du globe caractérisé par l'existence d'enveloppes concentriques séparées les unes des autres par des discontinuités.
L'enveloppe la plus externe et de loin la moins épaisse est la croûte (continentale et océanique). Elle est séparée du manteau par une discontinuité appelée Moho (discontinuité de Mohorovicic) située en moyenne à 30 km sous les continents et à 6 km sous les océans. Au franchissement de Moho, la vitesse des ondes sismiques augmente brusquement: celle des ondes P passe de 7 à 8 km. S-l.
Le manteau est l'enveloppe s'étendant de Moho jusqu'à une profondeur de 2900 km. La vitesse de propagation des ondes augmente plus ou moins régulièrement avec une exception importante toutefois: entre 100 km et 250-300 km de profondeur en moyenne, il y aune diminution de vitesse des ondes P et encore plus des ondes S; c'est la couche à moindre vitesse.
Les géophysiciens ont l'habitude de distinguer le manteau supérieur (du Moho jusqu'à 670 km) et le manteau inférieur (de 670 à 2900 km) ; la discontinuité située à 670 km est marquée par une augmentation de vitesse des ondes Pet S de l'ordre de 0,3 à 0,5 km. S-l.
La discontinuité de 2900 km (discontinuité de Gutenberg) ou frontière noyau-manteau est une discontinuité majeure de la Terre, interface entre un milieu solide, le manteau, et un milieu liquide, plus dense, le noyau.
Toutefois, le noyau n'est pas liquide dans sa totalité: la partie centrale du noyau, ou graine, est solide et s'étend depuis la profondeur de 5150 km (discontinuité de Lehmann) jusqu'au centre de la Terre.
Voilà pour la théorie officielle, encore une fois, ce qui me surprend beaucoup c’est que comme le précise le Centre International de la Recherche Scientifique ( CIRS) Les caractéristiques minéralogiques du manteau inférieur demeurent un mystère, car aucun échantillon de matière en provenance de cette région n'est ou n’a jamais été disponible.
Donc la, malgré les termes pseudo scientifiques employé pour noyer le poisson, on se rend vite compte que ce ne sont que des suppositions, qui restent de plus bien hasardeuse car par exemple, si on regarde la densité de la Terre, on est obligé d’augmenter la densité du noyau pour faire correspondre les chiffres, et ceci en se basant sur les astéroides !
Jugez vous même :
La densité moyenne de la Terre est de 5,5; celles des croûtes continentale et océanique respectivement de 2,7 et de 2,9 celle du manteau en moyenne de 4,5. Cela conduit à penser que la densité du noyau doit être nettement supérieure à 5-6. Par le calcul, on arrive à une densité de l'ordre de 12, voisine de celle du fer.
L'idée que le noyau est constitué de fer métallique est confirmée par les météorites. Ces pierres tombées du ciel sont dans leur grande majorité des fragments d'objets rocheux du système solaire, les astéroïdes, compris entre les planètes Mars et Jupiter.
Tous les objets rocheux du système solaire s'étant formés à partir des mêmes matériaux au cours de la formation du système solaire, l'analyse des météorites peut renseigner sur la composition interne des planètes. La grande majorité des météorites (85 %) sont des chondrites formées par un assemblage de silicates ferromagnésiens (olivine, pyroxène) et de fer métallique.
Et voilà une fois de plus les théories tirées par les cheveux de nos scientifiques, en effet comment affirmer que les astéroides soient issus du noyau d’une planète ?
Ceci est bien aventureux, et pas très plausible, tout comme l’age du système solaire estimé par nos scientifiques prête à sourire, cette estimation de la composition du noyau de notre Terre par l’observation d’astéroides est infondé, et pas du tout convainquante ne trouvez vous pas ?
De plus, mais la c’est une autre histoire, ces fameux astéroides composant la ceinture d’astéroides entre Mars et Jupiter, ne sont pas placé la par le fait du hasard, ni de façon désordonnée, et cela même reste une fameuse énigme !
Notons au passage que cette ceinture comme par hasard, sépare les 4 planètes dites telluriques que sont Mercure- Vénus- Terre- et Mars, des 4 planètes dites gazeuses que sont Jupiter- Saturme- Uranus- et Neptune. Pluton n’étant pas une gazeuse, elle fait tache, et dérange les scientifiques qui l’ont rétrogradé en ‘’ plutoide ‘’.
Revenons en à nos astéroides qui confirment pour nos scientifiques la composition du noyau Terrestre. Pendant le début du système solaire, les astéroïdes ont subi un certain degré de fusion, permettant à leurs éléments d'être partiellement ou complètement différenciés par masse.
Certains corps initiaux pourraient avoir connu une période de volcanisme explosif et des océans de magma. Cependant, du fait de leur petite taille, cette période de fusion fut brève (par rapport aux planètes) et s'est généralement terminée il y a 4,5 milliards d'années après avoir duré entre quelques dizaines à une centaine de millions d'années.
La ceinture d'astéroïdes comprend principalement trois catégories d'astéroïdes. Dans la partie externe, près de l'orbite de Jupiter, les astéroïdes riches en carbone prédominent. Ces astéroïdes de type C incluent plus de 75% de tous les astéroïdes visibles. Ils sont plus rouges que les autres astéroïdes et possède un albédo très faible.
Leur composition de surface est similaire aux météorites chondrites carbonées. Du point de vue chimique, leur spectre indique une composition analogue à celle du système solaire primitif, sans les éléments légers et volatils, comme la glace par exemple.
Vers la portion interne de la ceinture, aux alentours de 2,5 UA du Soleil, les astéroïdes de type S (silicates) sont plus courants. Le spectre de leur surface révèle la présence de silicates et de quelques métaux, mais aucun composé carboné significatif. Ils sont donc constitués de matériaux profondément modifiés depuis les débuts du système solaire.
Leur mécanisme de formation supposé inclut une phase de fusion qui a provoqué une différenciation de masse. Ils possèdent un albédo relativement élevé et forment 17% du total.
Une troisième catégorie, regroupant 10% du total, est celle des astéroïdes de type M (riches en métaux). Leur spectre ressemble à celui d'un alliage fer-nickel, avec une apparence blanche ou légèrement rouge et aucune caractéristique d'absorption.
On pense que certains astéroïdes de type M se sont formés dans les noyaux métalliques d'objets plus gros qui ont été fragmentés par collision. Cependant, certains composés silicates peuvent produire une apparence similaire ; par exemple, l'astéroïde de type M Kalliope ne semble pas être composé principalement de métal.
À l'intérieur de la ceinture, la distribution des astéroïdes de type M culmine à 2,7 UA du Soleil. On ignore si tous les astéroïdes de type M ont une composition similaire ou s'il s'agit d'un label regroupant plusieurs variétés n'appartenant pas aux classes C et S.
La ceinture d'astéroïdes ne contient que peu d'astéroïdes de type V, basaltiques, un fait dont on ne connait pas la raison, encore un grand mystère. Les théories de formation des astéroïdes prédisent que des objets de la taille de Vesta ou plus grands devraient former des croûtes et des manteaux, lesquels seraient principalement composés de roche basaltiques.
Plus de la moitié des astéroïdes devraient alors être composés de basalte ou d'olivine. Les observations suggèrent que 99% du basalte prédit n'existe pas.
La plupart des scientifiques considèrent que la ceinture d'astéroïdes est composée de résidus du système solaire primitif qui n'ont jamais formés de planète.
À l'origine, il avait été avancé que la ceinture proviendrait de la fragmentation d'une planète (nommée Phaéton). Cette hypothèse est tombée en désuétude à cause d'un certain nombre de problèmes…
Le premier concerne l'énorme énergie nécessaire. Un autre est la faible masse totale de la ceinture, qui n'est qu'une fraction de celle de la Lune. Enfin, les différences de composition chimique entre les astéroïdes sont difficiles à expliquer si tous proviennent du même corps…
Comme on peut le voir la Terre et l’espace nous laissent, ainsi que les scientifques avec beaucoup d’interrogations et de mystères, et ils repondent à ces interrogations par des suppositions qui se contredisent les unes les autres, mais bon en y regardant vite et en noyant les théories avec des propos sois disant scientifiques, tout le monde n’y voient que du feu.
Souvenons nous des incohérences flagrante concernant déjà la Lune, il en va de même pour les astéroides, pour le Soleil, et pour toutes les planètes ici ou ailleurs et même de la notre la Terre.
Il y aurait encore beaucoup à dire sur les incohérences concernant notre planète, sur nos océans, etc etc, mais pour aujourd’hui, restons en la.
Les mystères terrestres sont déjà trop nombreux, et non résolus, aussi bien en ce qui concerne la composition interne de la Terre, que de ce qu’il y a au dessus, comme les océans par exemple, et l’on veut nous persuader de notre intelligence et de nos sois disant connaissances de l’univers !!
Comme je dis toujours, un belle théorie d’aujourd’hui et toujours remise en cause par une découverte de demain.
Et l’on constate que trop souvent une théorie scientifique d’aujourd’hui, contredit une autre théorie d’aujourd ‘hui hélas, preuve s’il en fallait une, de notre ignorance, et de notre prétention.
A chacun de juger…