Overblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

Le blog de Merlin...

Le blog de Merlin...

OVNI et toute l'actualité extraterrestre, terrestre, et intraterrestre, toutes les infos cachées et secrètes...


Les grands mystères de Mohenjo-Daro...

Publié par MERLIN sur 28 Juillet 2015, 19:47pm

Catégories : #Mysteres

Les grands mystères de Mohenjo-Daro...

On ne lui connaît ni dieux ni maîtres. Son écriture demeure indéchiffrable. Et sa disparition même est un mystère. La civilisation avancée qui, il y a 4 500 ans, habitait Mohenjo-Daro, cette mégapole des rives de l’Indus, au Pakistan, a livré très peu de secrets aux archéologues.

 

Ce site conserve les ruines d'une ville immense de la vallée de l'Indus, entièrement construite en brique crue et remontant au IIIe millénaire av. J.-C. Son acropole, élevée sur d'énormes remblais, ses remparts et la rigueur du plan de sa ville basse témoignent d'un urbanisme strictement planifié.

 

Les fouilles ont révélé, outre les maisons d'habitation comportant souvent une salle de bain, une latrine, un système de drainage des eaux usées, un confort probablement inventé par cette civilisation, ainsi que des greniers.

Les grands mystères de Mohenjo-Daro...

Ce site constitue un véritable mystère, affirment les archéologues, qui auraient juré, avant la découverte de Mohenjo-Daro, qu’aucune véritable civilisation n’avait pu exister dans la vallée de l’Indus, au Pakistan, il y a environ 4 500 ans. Depuis 1921, une succession de découvertes dont la cité d’Harappa puis celle de Mohenjo-Daro ont prouvé l’existence d’une culture jusqu’alors inconnue.

 

La civilisation de la vallée de l’Indus a inventé une écriture à ce jour indéchiffrée et a manifestement marqué la culture indienne. Mais, le plus grand mystère reste l’abandon de ces cités et la disparition de cette civilisation.

 

En 1921, des fouilles débutèrent à Harappa. Les archéologues mirent au jour les maigres vestiges d’une grande cité. En 1922, un archéologue indien qui cherchait les vestiges d’un ancien temple bouddhiste mis au jour à 640 km d’Harappa les ruines d’une civilisation protohistorique.

 

C’est une véritable métropole qui sortit de terre. Mohenjo-Daro, la « colline des morts », fait toujours l’objet de recherches mais aussi de vives controverses. Mais qui était cette civilisation restée si longtemps dans l’ombre ?

Les grands mystères de Mohenjo-Daro...

Il faut imaginer un peuple qui a vécu sur un immense territoire. Ce peuple parlait une langue qui nous est inconnue et utilisait une écriture que nous n’avons toujours pas réussi à déchiffrer. Cette civilisation a construit de grandes villes divisées en quartiers mais avec une logique qui nous échappe. En effet, nous n’avons retrouvé ni temples, ni palais.

 

Les premiers habitants de la vallée de l’Indus ont commencé à édifier des villages vers le VIIe millénaire avant notre ère. Puis, entre 3 200 et 1 800 ans avant notre ère, de grandes villes s’épanouirent. C’est entre 2 700 et 2 600 ans avant notre ère que furent édifiés les imposants murs d’enceinte d’Harappa.

 

Le caractère le plus stupéfiant des villes harappéennes est la complexité de leur urbanisme. Ces villes s’étendaient sur un périmètre de 100 à 200 ha au minimum. Mohenjo-Daro est très bien conçue. On peut la comparer aux grandes villes américaines. D’ailleurs, les archéologues ont surnommé cette cité« le Manhattan de l’âge de bronze ».

Les grands mystères de Mohenjo-Daro...

A proximité, des bains publics avaient été construits. Mohenjo-Daro abritait également ce qu’on a baptisé le « Grand Bain ». C’est une piscine de 12 m de long sur 7 de large et 2,40 m de profondeur. On pense qu’elle servait pour des cérémonies d’immersion car on retrouve les bains rituels dans la religion de l’hindouisme. Les rues étaient bordées de magasins.

 

A l’intérieur des maisons, il y avait généralement un puits et même quelquefois une salle de bain avec un bac à douche. En l’absence de canalisations, ces maisons ne disposaient pas bien sûr de l’eau courante. Par contre, il existait un système d’évacuation des eaux usagées utilisant des conduits d’argile. Ces tuyaux rejoignaient les égouts amovibles, en pierre, à chaque croisement, facilitant l’entretien du système.

 

Ce peuple était apparemment épris d’ordre et d’hygiène. Dans les ruines du site de Mehrgarh, les archéologues ont découvert l’équivalent de nos décharges industrielles. On y mettait les rebuts du travail des peaux, du cuivre, du talc, des coquillages etc… D’autres bâtiments restent énigmatiques.

 

A Harappa et Mohenjo-Daro, il existe deux édifices étranges avec un socle divisé en blocs, qui supportait probablement une construction en bois. On a cru qu’il s’agissait de greniers mais finalement ils restent un mystère.

Les grands mystères de Mohenjo-Daro...
Les grands mystères de Mohenjo-Daro...

Les chercheurs sont parvenus jusqu’ici à identifier environ 400 pictogrammes et à découvrir qu’ils s’écrivaient de droite à gauche. Ces sceaux en stéatite polie et cuite au four, de forme et de taille variée, sont recouverts de figures humaines ou animales. L’inscription donne probablement le nom du porteur du sceau tandis que l’animal représenté désigne son appartenance à un groupe social.

 

Parmi les animaux gravés sur les sceaux et les amulettes, on retrouve le rhinocéros, le crocodile, l’éléphant mais le plus représenté est une créature fabuleuse unicorne. Mais faute de textes plus longs, il n’a pas été possible d’en apprendre davantage.

Les grands mystères de Mohenjo-Daro...
Les grands mystères de Mohenjo-Daro...

Parallèlement à ce problème, des squelettes portent la trace de blessures à l’arme blanche. Il y aurait donc bien eu un conflit. Les fouilles relatives à cette époque ont révélé des destructions, des incendies et des squelettes sans sépulture. On constate en parallèle un retour en arrière dans la technique de céramique par exemple. Cependant, les squelettes sont fort peu nombreux et on a retrouvé aucun fragment d’armes.

 

Une explosion nucléaire ?

 

Plus récemment, une théorie assez révolutionnaire a été énoncée. Les scientifiques Davneport et Vincenti ont déclaré que la ville de Mohenjo-Daro avait été ravagée suite à une explosion nucléaire. Ils ont trouvé de grosses strates de glaise et de verre vert. Les archéologues supposent qu’une très forte température a fait fondre de la glaise et du sable qui ont durci immédiatement après. De semblables strates de verre vert ont été retrouvées dans le désert du Nevada après chaque explosion nucléaire.

 

L’analyse moderne a confirmé que des fragments de la ville avaient fondu au contact d’une très haute température. Les douzaines de squelettes qui ont été trouvés dans la région de Mohenjo-Daro présentent une radioactivité excédant la norme de presque 50 fois. Ces analyses scientifiques nous ramènent à la grande épopée indienne, le Mahabharata. Elle contient des mentions d’une arme prodigieuse aux effets dévastateurs.

 

Un des passages parle d’une « coquille », qui étincelait comme le feu, mais sans dégager de fumée. « Quand la coquille a touché le sol, le ciel est devenu obscur, les tornades et les tempêtes ont ravagé les villes. Une horrible explosion a brûlé des milliers de gens et d’animaux, les réduisant en cendres. »

Les grands mystères de Mohenjo-Daro...

« Ghurka surgit dans son puissant vimana et détruisit les trois cités des Vrishis et des Andhakas  avec un projectile unique chargé de toute la puissance de l’Univers.  Une colonne incandescente de fumée et de flammes aussi lumineuse que dix mille soleils s ‘éleva dans toute sa splendeur.

 

Corps calcinés, cause inconnue. Peut-être volcanique ? Peut-être pas ?C’était une arme inconnue, une foudre de fer, un gigantesque messager de mort qui réduisit en cendres la race entière des Vrishis et des Andhakas. Les cadavres étaient tellement brûlés qu’ils étaient méconnaissables.

 

Leurs cheveux et leurs ongles tombaient ; la poterie se cassait sans raison apparente et les oiseaux devenaient blancs. Au bout de quelques heures, toute nourriture était infectée … Pour échapper à ce feu les soldats se jetaient dans les rivières pour laver leur corps et leur équipement… »

 

Voici ce que nous raconte le Mahabharata, un texte sacré védique écrit il y a des milliers d’années. Pas besoin d’être ingénieur atomiste pour y reconnaître la description exacte d’une irradiation nucléaire. Il est hautement improbable qu’en décrivant une arme imaginaire, l’auteur du Mahabharata ait énuméré les effets bien réels d’une bombe nucléaire. On doit donc en conclure, bon gré mal gré, que la technologie nucléaire n’est pas une invention moderne.

 

Bien entendu, la science actuelle n’admet pas qu’une culture préhistorique ait utilisé des OVNIs pour larguer des bombes nucléaires, encore qu’il existe plusieurs indices assez probants.

Les grands mystères de Mohenjo-Daro...

Comme toujours c'est à vous de juger...

 

 

Cet article a été vu :

Pour être informé des derniers articles, inscrivez vous :
Commenter cet article
C
Suivre
Répondre
S
Cette arme s'appelle "l'arme de brahma" et je trouve dommage que Siva soit associé, sur la photo, à cette explosion nucléaire.. L'archonte qui se fait passer pour Dieu, mentionné dans l'ancien testament, c'est ce brahma après avoir été chassé de l'Inde ancienne.<br /> Brahma devait se marier avec sa parèdre Sara-swati à Vârânasî. Celle-ci ayant du retard, brahma décida de se marier avec une fille qui passait par là. Et les noces préparées pour saraswati eurent lieu avec une autre... Un des nombreux pechés de ce deva gêrant de l'univers.<br /> Chassé, il partit à l'ouest avec les brahmans (les religieux) et se fit connaitre comme Abraham. Il fondat une dynastie avec sara (sans swati) et sa servante qui est la fameuse épousée de Benares (ancienne Vârânasî)..<br /> Cet ex-deva, cet archonte maudit est le diable qui est le mensonge depuis le commencement. Tous les temples qui lui étaient consacrés furent détruits dans l' Inde ancienne (-6000 ans) et ce n'est pas un hasard...
Répondre