Un autre exemple du phénomène est le cas des momies du désert de Takla Makan en Chine occidentale…
Dans les années 1970 et 1980, on découvrit soudain en Chine les traces imprévues d'une culture caucasienne. L'environnement aride avait préservé les restes d'un peuple aux cheveux blonds et aux yeux bleus ayant vécu en Chine pré-dynastique.
Ils portaient des habits, des bottes, des bas et des chapeaux colorés. Les Chinois n'apprécièrent pas cette trouvaille et s'efforcèrent de la passer sous silence, bien que l'on trouva des restes d'asiatiques aux côtés des momies caucasiennes.
Dans un article du National Geographic en 1996, l'écrivain Thomas B. Allen relate avec ironie sa trouvaille d'un morceau de poterie portant l'emprunte digitale du potier. Lorsqu'il demanda s'il pouvait soumettre le fragment à l'examen d'un anthropologue légiste, le scientifique chinois demanda s'il "serait capable de dire si le potier était de race blanche". Allen dit qu'il n'en était pas sûr, sur quoi le fonctionnaire mit le fragment dans sa poche et s'en alla calmement.
Il semble bien que beaucoup de choses font obstacle à la découverte scientifique et à sa révélation. L'existence de la culture Olmec, au Mexique, a toujours posé un problème. D'où provenait le peuple négroïde représenté sur les têtes colossales ? Pourquoi des Caucasiens sont-ils gravés sur la stèle parmi ce qui représente la civilisation originale du Mexique ?
Pire, pourquoi ne trouve-t-on pas le peuple mexicain indigène parmi les vestiges Olmec ? Un archéologue mexicain trancha récemment la question par une déclaration extravagante : que les têtes Olmec - auxquelles des générations de personnes de tous les groupes ethniques ont reconnu des ressemblances africaines - étaient en réalité des représentations d'une tribu locale.
TROUPES D'ASSAUT POUR LE DARWINISME.
Le public ne semble pas conscient du fait que l'establishment scientifique applique deux poids, deux mesures, lorsqu'il s'agit de diffusion de l'information.
Au fond, les choses se présentent comme ceci :
Les scientifiques ont une éducation et un entraînement poussés, ils sont intellectuellement capable d'exploiter toutes sortes d'informations et ils peuvent faire la distinction critique entre les faits et la fiction, la réalité et la fantaisie. Le public ignare est tout simplement incapable de fonctionner sur ce plan mental élevé.
Le noble idéal du scientifique - observateur entraîné, impartial, apolitique et assembleur de faits établis en un corpus de savoir utile - semble s'être étiolé sous les pressions et exigences du monde réel. La science a apporté beaucoup de bienfaits à la société, mais il est temps de constater qu'elle a aussi un côté sombre, et négatif.
Ces braves gars disciplinés, sous leurs tabliers blancs, ne nous ont-ils pas donné les bombes atomiques et les armes biologiques ? Le temps de l'innocence s'est terminé au moment de la deuxième guerre mondiale.
Le sens hypertrophié de supériorité intellectuelle de l'establishment scientifique est à peine voilé par une façade de relation publique soigneusement montée. Nous pensons toujours voir science et progrès avançant main dans la main. En tant qu'institution dans une société démocratique, la science devrait fonctionner selon les mêmes normes que cette société; elle se devrait ouverte au débat, argument et contre-argument.
Il ne peut y avoir de place à un autoritarisme intouchable. La science moderne répond-t-elle à ces critères ?
A l'automne de 2001, la station PBS diffusa une série intitulée "Evolution". A première vue, ceci ne semble pas porter à conséquence. Cependant, alors que le programme était présenté comme du journalisme d'investigation scientifique pur et objectif, il fut complètement en deçà de la plus élémentaire impartialité.
La série privilégiait fortement la théorie de l'évolution en la présentant comme "un fait scientifique" accepté "pratiquement par tous les scientifiques réputés du monde", et non comme une théorie non exempte de failles et en but à de sérieuses critiques.
Les animateurs ne se donnèrent même pas la peine d'interviewer des scientifiques qui mettent le darwinisme en question; pas nécessairement des "créationistes", mais des chercheurs simplement de bonne foi. Pour faire échec à cette situation, un groupe de cent scientifiques dissidents furent amenés à émettre un communiqué de presse, "Opposition Scientifique au Darwinisme", le jour de la mise sur antenne du premier épisode de la série.
Parmi eux se trouvait le candidat au prix Nobel Henry "Fritz" Schaefer. Il plaida pour un débat public sur la théorie de Darwin :
Certains défenseurs du darwinisme adoptent, en matière d'évolution, des critères de preuve que, en tant que scientifiques, ils n'accepteraient jamais en d'autres circonstances.
Nous avons pu constater la même approche "non scientifique" en archéologie et anthropologie, où des "scientifiques" refusent tout simplement de prouver leurs théorie et s'imposent comme seuls ultimes arbitres des "faits".Il faut être naïf pour penser que ceux qui ont participé à la production de cette émission ne se soient pas doutés qu'il n'y aurait aucune présentation d'opposants à la théorie de Darwin.
Richard Milton est un journaliste scientifique. Il avait été un fidèle adhérent à la doctrine darwinienne jusqu'au jour où son instinct investigateur se réveilla. Après avoir passé 20 ans à étudier et à écrire sur l'évolution, il se rendit brusquement compte qu'il y avait plusieurs failles dans la théorie. Il décida d'en avoir le coeur net et de se prouver la théorie à lui-même en suivant le chemin classique de l'enquête journalistique.
Milton entreprit une série de visites au célèbre musée londonien d'Histoire Naturelle. Patiemment, il passa au crible les principes fondamentaux et chaque preuve classique du darwinisme. Il fut perturbé par les résultats. ..
Il découvrit que la théorie ne résistait même pas à la rigueur de l'investigation journalistique de routine. Ce vétéran de l'écriture scientifique prit une mesure audacieuse et publia un livre intitulé : The Facts of Life : Shattering the Myths of Darwinism [Les Faits de la Vie : Les Mythes du Darwinisme Pulvérisés].
Il est clair que, pour lui, le mythe darwinien avait été pulvérisé, mais la sortie de son livre allait briser bien d'autres mythes concernant la science. Milton écrit :
Je fis l'expérience directe de la chasse aux sorcières de la police darwiniste... ce fut très décourageant de me voir qualifié de "cinglé", "stupide" et "en mal d'assistance psychiatrique" par un éminent zoologue d'Oxford (Richard Dawkins), comme seule réponse à une enquête purement scientifique.
Dawkins lança une campagne de correspondance aux éditeurs de journaux, laissant entendre que Milton était un "créationiste" à la mode et qu'il ne convenait pas d'accorder crédit à son travail. Quiconque est un peu attentif à la politique reconnaîtra dans ces manoeuvre une tactique "d'assassinat de caractère" du plus classique machiavélisme. Et cela de la part de Dawkins, scientifique respecté, très influent dans la communauté scientifique par sa réputation et sa qualité.
Comme le raconte Milton, l'affaire se précipita lorsque le Supplément pour l'Education Supérieure du Times de Londres lui demanda d'écrire une critique du darwinisme. Le journal annonça l'article à venir : "la semaine prochaine : Richard Milton attaque".
Dawkins eut vent de ceci et s'empressa de tuer "l'hérésie" dans l'oeuf. Il prit contact avec l'éditrice, Auriol Stevens, accusa Milton de "créationisme", et la convainquit de ne pas publier l'article. Informé de ces manoeuvres de coulisses, Milton fit appel à Stevens. Mais finalement l'éditrice céda aux pressions de Dawkins et rejeta l'article.
Imaginez ce qui arriverait si un politicien ou un bureaucrate utilisait de tels moyens de pression pour faire obstacle à une information dans les médias. Cela soulèverait un scandale énorme. Mais pas avec les scientifiques; vénérés comme des "vaches sacrées" ils semblent se trouver au-dessus de toute critique. Ces affaires entraînent plusieurs conséquences dérangeantes.
La théorie de l'évolution de Darwin est la seule, parmi celles qui sont régulièrement enseignées dans notre système d'écoles publiques, qui n'a jamais été soumise à un examen rigoureux ; et aucune critique n'a jamais été incluse dans les programmes. Ce fait est intéressant, parce qu'un récent sondage a révélé que le public américain souhaite que la théorie de l'évolution soit enseignée à ses enfants.
Cependant, "71% des personnes interrogées déclarent que les professeurs de biologie devraient enseigner à la fois le darwinisme et les éléments qui s'opposent à cette théorie". Malgré tout, aucune mesure n'a jusqu'ici été prise pour rendre effective cette démarche équilibrée.
Curieusement, Richard Dawkins a été nommé Professeur de la Compréhension Publique de la Science à l'université d'Oxford. C'est un troupier d'assaut classique de la "police des idées", en patrouille sur le front des neurones cervicaux. L'establishment scientifique occidental et les masse médias se targuent d'être des forums publics libres de tout préjugé ou censure.
Et pourtant aucun programme de télévision exposant les faiblesses du darwinisme n'a jamais été diffusé sur les antennes du pays natal de Darwin ou en Amérique. Un scientifique qui s'oppose à cette théorie ne réussit pas à se faire publier.
" Les Origines Mystérieuses de l'Homme" n'était pas une attaque frontale contre le darwinisme; cette émission n'avait pour prétention que de présenter des faits qui s'avèrent anormaux à la lumière de la théorie de l'évolution.
Pour en revenir au bastion de l'intégrité intellectuelle, Forest Mims est un journaliste scientifique aguerri et compétent. Il ne s'était jamais trouvé impliqué dans une controverse et fut invité à composer la rubrique la plus lue du prestigieux Scientific American, "Le Scientifique Amateur", une tâche qu'il accepta avec joie.
Mims raconte que Jonathan Piel, l'éditeur de la revue, apprit qu'il écrivait aussi des articles pour certaines revues chrétiennes. L'éditeur fit venir Mims dans son bureau et l'interrogea.
"Croyez-vous en la théorie de l'évolution ?" demanda Piel. Mims répondit : "non, et Stephen Jay Gould non plus". Sa réponse ne modifia pas la décision de Piel d'évincer Mims des colonnes prestigieuses après seulement trois articles.
Tout cela charrie une forte odeur de chasse aux sorcières.
Cet écrivain n'avait jamais divulgué publiquement ses convictions personnelles ; il semble donc que les "troupiers d'assaut" considèrent à présent qu'ils ont ordre de faire en sorte que la pensée "non approuvée" ne soit jamais publiquement révélée.
Ainsi donc, les gouverneurs de la "pensée juste" ne se trouvent pas seulement, comme nous l'avons vu dans plusieurs cas, parmi l'élite de la communauté scientifique ; il y en a aussi parmi les producteurs de télévision et les éditeurs de revues. Ils sont apparemment tous motivés par le singulier souci de promouvoir "l'éducation scientifique du public", comme l'a si pertinemment formulé le président du Cambrian Institute.
Cependant, il y a un deuxième objectif au programme : protéger le public contre la pensée et les idées "non scientifiques" qui pourraient contaminer le mental des masses.
Au début de cet article, nous avons résumé certains de ces sujets tabous; il nous faut ajouter qu'il est également "pernicieux" et "inacceptable" de se livrer à des recherches dans les domaines suivants : les phénomènes paranormaux, les OVNIs, la fusion froide, l'énergie libre et toutes les autres "pseudo-sciences". Cela vous semble-t-il familier ? Percevons-nous les premières cloches d'un fanatisme religieux ?
Qui donc aurait mandaté la science d'une mission d'organisation et de direction de l'instinct de curiosité des citoyens du monde libre ? Il est pratiquement impossible de faire publier, dans un journal scientifique officiel, un rapport de recherche qui aurait des ramifications anti-darwiniennes.
Il est tout aussi impossible que des sujets "tabous" parviennent sur la table d'une rédaction, et ne comptez pas sur l'apparition de votre nom sous le titre de n'importe quel article de Nature si vous n'êtes pas un scientifique accrédité, même si vous êtes un autre Albert Einstein.
Reprenons les bases de cette conspiration; il y a deux filtres :
l'accréditation et l’évaluation collégiale.
La science moderne est devenue un labyrinthe de filtres dressés pour promouvoir certaines théories orthodoxes et pour éliminer les données préjugées inacceptables.
Les preuves et la qualité ne sont plus les principes directeurs ; la conformité et les références au sein de la communauté établie ont remplacé l'objectivité, l'accessibilité et l'ouverture.
Les scientifiques n'hésitent pas à lancer les attaques personnelles les plus extravagantes contre ceux qu'ils perçoivent comme leurs ennemis.
A propos du livre Forbidden Archéology [l'Archéologie Interdite], l'éminent paléontologue Louis Leaky a émis cette phrase acerbe : "Votre bouquin est de la pure fumisterie et ne mérite pas que quiconque, sauf un idiot, ne le prenne au sérieux".
Toujours l'attaque personnelle, les mérites de la recherche et les arguments présentés ne sont ni examinés, ni débattus. C'est un oukase brutal et autoritaire.
Dans une prochaine publication, nous aborderons des cas plus documentés et nous examinerons plus à fond les mécanismes de la conspiration.
Source : Nexus -Traduction André Dufour.
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