La vie sur Terre remonterait à plus de 4 milliards…
Vue de l'espace, la Terre a l'apparence d'une sphère lisse. La NASA confirme toutefois sur son site web que notre planète possède un très léger bombement à la hauteur de l'équateur.
Le Système solaire s'est formé il y a 4,6 milliards d'années d'un nuage de gaz et de poussières ayant subi l'onde de choc de l'explosion d'une supernovae proche. Cette onde de choc provoqua l'agglomération de particules de poussières du nuage en des grains solides, qui à leur tour s'assemblèrent en des agrégats de plus en plus gros, engendrant au final les objets du Système solaire : planètes, comètes, astéroïdes et lunes ( théorie officielle ).
La période et la rapidité de formation de ces objets étaient difficiles à déterminer. Les analyses géologiques faisaient remonter la formation du cœur métallique de la Terre à 50 millions d'années après l'explosion de la supernova alors que les modèles informatiques indiquaient 20 à 30 millions d'années.
La vie pourtant aurait pu apparaître sur Terre voici plus de 4 milliards d'années et s'y maintenir malgré l'intense bombardement de météorites que notre planète a subi voici 3,9 milliards d'années, selon une étude paraissant dans la revue scientifique britannique Nature.
Quelque 200 millions de milliards de tonnes (2X10 puissance 17) de météorites de toute taille (de 100 m à plus de 100 km de diamètre) sont tombées sur Terre en quelque cent millions d'années, durant cette période d'intense bombardement, soulignent Oleg Abramov et Stephen Mojzsis (Département de Géologie de l'Université du Colorado, États-Unis).
Or, les traces de la plus ancienne forme de vie retrouvée sur Terre remontent à 3,83 milliards d'années, rappellent-ils.
Cet intense bombardement météoritique a-t-il entraîné une vaporisation des océans, une fusion de la croûte continentale et la destruction d'une hypothétique vie plus ancienne, c'est-à-dire une stérilisation de la Terre ?
À l'issue d'une modélisation numérique de cette période d'«intense bombardement tardif» (LHB = Late heavy bombardement), ces géologues estiment que si une vie microbienne souterraine existait, elle a pu persister malgré les impacts.
«La plus grande partie de la croûte terrestre n'a pas fondu ni été significativement métamorphosée, alors que seulement 10% a subi une augmentation de température de plus de 500°C», relèvent-ils.
Et « même si tous les impacts du LHB étaient survenus simultanément, la Terre n'aurait tout de même pas été stérilisée », selon leur modélisation qui prend en compte les températures dans les zones potentiellement habitables jusqu'à 4000 mètres de profondeur.
Durant ce bombardement météoritique, il y aurait « une augmentation significative du volume habitable », pour les populations microbiennes thermophiles et hyperthermophiles, capables de subsister à des températures allant de 50°C à 80°C ou jusqu'à 110°C, tandis que ce volume se réduit pour celles vivant à des températures inférieures à 50°C.
Mais « le volume habitable total reste cependant approximativement le même, à cause du refroidissement relativement rapide de la croûte terrestre près de la surface », résument-ils. Ce refroidissement rapide aurait pu préserver la vie y compris dans l'hypothèse d'une masse cent fois plus importante de météorites tombées sur Terre (2x10 puissance 19 tonnes), ajoutent-ils.
Même l'impact d'un objet de plus de 300 km de diamètre « serait insuffisant pour vaporiser les océans », précisent-ils encore. Et, selon leur modélisation, la présence d'eau sous la surface terrestre aurait pu accélérer le refroidissement et le rétablissement de conditions propices à la vie sous les cratères d'impact.
Ces travaux « autorisent une origine plus précoce de la vie, des centaines de millions d'années plus tôt » que supposé jusque là, relève dans un commentaire une chercheuse de la NASA au Ames Research Center, Lynn Rothschild.
Ils « ouvrent aussi la possibilité que », ajoute cette spécialiste en astrobiologie dans Nature. Des biologistes avaient jusque là imaginé que la vie avait pu apparaître plus d'une fois, si une première forme de vie avait disparu sous l'impact des météorites.
Source : cyberpresse.ca
Cet article est interessant à plus d’un titre.
Tout d’abord il repousse l’age limite de l’apparition de la vie sur Terre de plusieurs centaines de millions d’années, et nous informe qu’avec un nombre d’impact météoritique même double à la réalité qui est pourtant de 200 millions de milliards de tonnes, la vie aurait continuée sur Terre sans aucun problème.
Même si tout les météorites s’étaient écrasés en même temps ( ce qui est impossible bien entendu ), la vie aurait continuée à croitre.
Même si un météorite de 300 km de diamètre avait percuté la Terre, la vie aurait continuée à croitre également.
C’est vraiment très intéressant, car si on projette cette simulation sur les autres planètes, il en va de même tout normalement, quelles soient plus petites ou plus grandes, cela ne change pas ‘’ l’arithmétique ‘’ du problème.
Ce qui prouve bien, que la vie est présente partout dans l’univers et pas seulement sur notre petite planète bleu, comme on nous le répête trop souvent, d’autant que l’on sait maintenant depuis très peu de temps, que nos deux plus proche voisine, la Lune et Mars par exemple contiennent d’énorme quantité d’eau. Sans doute en est il de même pour toutes les autres planètes, on peu même pratiquement le garantir sans trop prendre de risque.
Et, comme indiqué plus haut dans l’article, la vie est apparue une seule fois sur Terre, et partout ailleurs, et que les planètes ont été continuellement habitée depuis lors.
A ce propos justement de récents articles, expliquent qu’une vie, pour l’instant microbienne, est très fortement probable sur Mars. Comme vu ici :
De la vie sur Mars, on en est presque certain...!
L’humanité dont nous faisons partie vit en surface de sa planète, alors que bien souvent les espèces qui sont évoluées vivent, elles, tout normalement dans l’ intérieur de leur planète. Pour des raisons que tout le monde peut comprendre aisément sans faire de dessin, comme se protéger des innondations, volcans, météorites, et autre tempêtes, cyclones etc…
Une race un peu plus évoluée que nous, ce qui doit être assez courant dans l’univers, peu aisément vivre en sous sol de sa planète et protéger les entrées par des portes magnétique, ou autre système que nous ne connaissons pas encore, empéchant même l’eau d’un déluge d’y pénétrer.
Ceci n’a rien d’extravaguant, ou de surnaturel, ou d’impossible à imaginer même à notre époque, ou on le sait tous, tout est envisageable dans les domaines scientifiques, comme ioniser, ou durcir l’air, ou l’eau, par divers procédés comme la polymérisation par exemple, ou tirer une energie illimité du vide, ceci est possible en théorie depuis très longtemps, et en pratique bien entendu également, mais gardé secret pour le moment.
Cet article peut tout simplement être prit comme une preuve que la vie est apparue partout, et qu’elle survit quoiqu’il se produise dans son entourage, bien entendu nous ne parlons pas de toutes LES vies, mais de LA vie en générale.
Ce genre d’article doit nous ouvrir les yeux, et nous prouve que la vie existe partout ailleurs, et que nous devrions arrêter de nous admirer le nombril en nous prenant pour la race la plus évoluée de notre planète, car sans nul doute possible une race bien plus intelligente que nous éxiste DANS notre planète et dans toutes les planètes et corps celestes de l’univers, notre Lune y compris.
L’évolution de la vie, en rapidité, et en forme, étant différente d’un endroit de l’univers à l’autre sans doute, et d’une planète à une autre.
Comme vu dans cet article (Quand l'Evolution, et la Création, s'accordent parfaitement... ) je ne conteste pas une certaine évolution des espèces, mais simplement l’évolution Darwinienne, érigé en dogme intouchable.
Nous pouvons prendre juste un seul élèment pour contrer cela, qui est, la barrière des espèces, existante et bien réelle et surtout infranchissable.
L’espèce est une population d'organismes vivants capables de se reproduire entre eux et de donner des descendants interféconds. On considère que des êtres vivants appartiennent à la même espèce quand, pris deux à deux et dans des conditions naturelles, ils ont une probabilité d'engendrer au moins un descendant commun fertile.
La science malheureusement, essaie de faire coller les découvertes aux divers paradigmes en vigueur, et quand ça ne colle pas, elle n’hésite pas parfois à mentir, omettre des informations, ou discréditer celui ou celle qui peut prouver le contraire ou contredire les dogmes en place.
Que penser de cette tentative d’ ARNAQUE à l’évolution avec IDA, pour nous faire croire que l’on a trouvé LE chainon manquant ?
Chainon manquant qui ne sera JAMAIS trouvé, puisqu’il n’existe pas…
Voir ici : IDA..., ou l'arnaque au chaînon manquant…
Que penser des persécutions et autres manœuvres parfois ( trop souvent ) en vigueur également ?
Le texte qui suit, est tiré du livre de Bernard Werber : l’encyclopédie du Savoir Relatif et Absolu :
L'écrivain Arthur Koestler décida un jour de consacrer un ouvrage à l'imposture scientifique. Il interrogea des chercheurs qui l'assurèrent que la plus misérable des impostures scientifiques était sans doute celle à laquelle s'était livré le docteur Paul Kamerer.
Kamerer était un biologiste autrichien qui réalisa ses principales découvertes entre 1922 et 1929. Éloquent, charmeur, passionné, il prônait que « tout être vivant est capable de s'adapter à un changement du milieu dans lequel il vit et de transmettre cette adaptation à sa descendance ». Cette théorie était exactement contraire à celle de Darwin.
Aussi, pour prouver le bien-fondé de ses assertions, le docteur Kamerer mit au point une expérience spectaculaire.
Il prit des oeufs de crapaud des montagnes, qui se reproduisent sur la terre ferme, et les déposa dans l'eau. Or, les animaux issus de ces oeufs s'adaptaient et présentaient des caractéristiques de crapauds lacustres. Ils se dotaient ainsi d'une bosse noire copulatoire sur le pouce, bosse qui permettait aux crapauds aquatiques mâles de s'accrocher à la femelle à peau glissante afin de pouvoir copuler dans l'eau.
Cette adaptation au milieu aquatique était transmise à leur progéniture, laquelle naissait directement avec une bosse de couleur foncée au pouce. La vie était donc capable de modifier son programme génétique pour s'adapter au milieu aquatique.
Kamerer défendit sa théorie de par le monde avec un certain succès. Un jour, pourtant, des scientifiques et des universitaires souhaitèrent examiner « objectivement » son expérience. Une large assistance se pressa dans l'amphithéâtre, parmi laquelle de nombreux journalistes. Le docteur Kamerer comptait bien prouver là qu'il n'était pas un charlatan.
La veille de l'expérience, un incendie éclata dans son laboratoire et tous ses crapauds périrent à l'exception d'un seul. Kamerer dut donc se résoudre à présenter cet unique survivant et sa bosse sombre. Les scientifiques examinèrent l'animal à la loupe et s'esclaffèrent. Il était parfaitement visible que les taches noires de la bosse du pouce du crapaud avaient été artificiellement dessinées par injection d'encre de Chine sous la peau.
La supercherie était éventée. La salle était hilare.
En une minute, Kamerer perdit toute crédibilité et toute chance de voir ses travaux reconnus. Rejeté de tous, il fut mis au ban de sa profession. Les darwinistes avaient gagné.
Kamerer quitta la salle sous les huées. Désespéré, il se réfugia dans une forêt où il se tira une balle dans la bouche, non sans avoir laissé derrière lui un texte lapidaire dans lequel il réaffirmait l'authenticité de ses expériences et déclarait « vouloir mourir dans la nature plutôt que parmi les hommes ». Ce suicide acheva de le discréditer.
Pourtant, à l'occasion de recherches pour son ouvrage L'Étreinte du crapaud, Arthur Koestler rencontra l'ancien assistant de Kamerer. L'homme lui révéla avoir été à l'origine du désastre. C'était lui qui, à l'incitation d'un groupe de savants darwiniens, avait mis le feu au laboratoire et remplacé le dernier crapaud mutant par un autre, ordinaire, auquel il avait injecté de l'encre de Chine dans le pouce.
Fin.
Comme on peut le constater la dignité et la vie d’un homme ne pèse pas bien lourd pour certains scientifiques, qui n’hésitent pas à discréditer des savants de bonne fois, mais dont les travaux vont à l’encontre des croyances et paradigmes en vigueur…
C'est comme toujours, à vous de juger...
Voir également ces divers sujets liés :
L’évolution contestée dans les écoles…
Structure ADN, preuves d’une intervention externe …
LUCA…L’ancêtre de la vie sur Terre …!?
Une cellule presque extraterrestre...
Evolution : Science ou Croyance... ?
Deux explosions de biodiversité avant le Cambrien… !
Un nouveau voile se lève, sur les origines de la vie...
De la vie sur Mars dans un lointain passé ! (c’est évident)…
La vie sur Terre serait apparue 700 millions d'années plus tôt...
Evolution ou création...? un indice...
Le chainon manquant découvert...!